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⌜FB⌝ Faites-vous partie de la bourse? J’aimerais faire un investissement Feat. Elijah

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Mieszko Buczkowski
Cent
J'ai posté : 148 messages et j'ai : 195 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Aaron Taylor-Johnson et pour finir je crédite : Magma. ze fabulous (ava) bat'phanie (sign)

Mieszko Buczkowski
Sam 11 Avr - 19:50
Life is short and so is money

Elijah & Mieszko


Une journée franchement étrange se dessinais sous les pieds de Mieszko. Quoi que dans son monde à lui, si on prenait le temps de l’observer, ce n’était que le quotidien pour lui. La normalité ne faisait pas partie de son dictionnaire, à celui-là. Mais déjà, il n’avait pas très bien dormi, avec ses rêves épuisants impliquant la poursuite d’un éléphant volant qui était en fait son cousin ayant volé l’argent du gouvernement. On voyait le genre. Donc si ce matin il avait une tête de merde pire que d’habitude c’était pour une raison. Une qui excluait ses petits malheurs accumulés qui le faisait passer pour un maladroit, mais aussi un malchanceux lorsque son café fit un drôle de son en y rajoutant le lait. Une île flottante blanche qui lui indiquait que la date sur les produits existait pour une raison. Mais dans son univers en particulier, ce n’était pas bien grave. Il allait se le chercher autrement, son café et puis c’est tout. Le tout avait commencé par une douche froide, et avait fini par des vêtements et un bruit de porte qui se referme sur son appartement. Aujourd’hui il n’y avait rien de particulier sur son t-shirt, parce qu’il l’avait mis en envers, oui. Mais avec sa veste, c’était presque du ni-vu, ni connu, si l’on ne portait pas attention à son col. En aurait-il eu quelque chose à faire de toute manière ? Pas le moins du monde. Il existait bien pire dans ce monde en termes d’humiliation, pour qu’il ne s’en fasse avec des coutures apparentes. Il avait d’ailleurs le nez bien plongé dans son téléphone à observer ses investissements parce qu’il n’avait rien de mieux à faire, honnêtement. La bourse avait un peu de mal, mais rien de catastrophique pour qu’il ne fasse une crise et ne parte en courant pleurer toutes les larmes de son corps dans son lit. Hum.

Par contre, le prix de son café fancy, un peu plus. Vive Starbucks. Ou pas pour le portefeuille. Fort heureusement que c’était exceptionnel, car il se voyait bien vite vivre dans une boîte en carton fait de verre Starbucks s’il devait s’en prendre un à chaque jour. Oui il exagérait, mais il le faisait très souvent par la faute de son imagination. A se dire que pour afficher un prix pareil pour du vieux jus de black beans, il devait y avoir un trafic de cocaïne quelque part, ou alors ils en mettaient tout simplement dans leurs cafés, pour rendre les clients accros. C’était une hypothèse à creuser. Et il comptait bien le faire, un jour, lorsqu’il aurait le temps parmi ses plans et obsessions criminelles. Tout ça pour dire qu’il avait eu ce qu’il voulait, pour au final poser ses fesses contre une chaise à se demander combien de culs avaient pu s’y poser avant le sien. Des questions existentielles quoi, comme d’habitude. Mais il y avait bel et bien un autre cul dans les parages, qui vint faire son apparition dans son espace personnel. Mieszko n’était pas le genre à détester les humains, relevant son regard pour rencontrer cette jeunesse, curieux de savoir ce qu’il lui voulait. À son allure ? Il n’avait rien d’un mendiant. Malgré qu’il eu préparé un choix d’accent dans sa tête pour dans le cas suivant où il lui demanderait un truc.

Il était très loin de s’imaginer que ce jeune inconnu allait lui proposer un montant à 4 chiffres, pour être son ami. Les yeux de notre polonais qui cherchent vivement la caméra, le prank, quelque chose, un indice, pour il n’y découvrir rien du tout. Il ne semblait pas blaguer, celui-là. « 1000$ ? Pour être ton ami? » Comme quoi il n’arrivait pas à y croire. Peut-être était-ce cette fameuse attrape téléphonique, qui vous disait avoir gagné un voyage, mais que l’on devait payer une somme pour imprimer les billets. « Au moins 1500$ À prendre ou à laisser, pour payer mon café tu vois. » Un maître de l’exagération et des hyperboles mesdames et messieurs. « Alors c’est comme ça qu’on se sent quand on est une pute de luxe… » Avait-il dit à lui-même, en simple constatation, rigolant de celle-ci. C’était amical, après tout, n’est-ce pas? Donc rien qui impliquait réellement l’aspect pute. Il pourrait garder ses vêtements, si ce n’était pas génial tout ça.
 
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Elijah Machowicz
psi admin
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Elijah Machowicz
Mer 29 Avr - 0:56

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Mieszko & Elijah ♣ Midnight ronkers. City slickers. Gunmen and maniacs. All will feature on the freakshow. And I can't do nothing 'bout that, no … But if you hurt what's mine, I'll sure as hell retaliate
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Là, tu te sens bien. Dans ce café précisément, tu retrouves ta bonne humeur et la légèreté dont tu as parfois besoin dans le cataclysme que représente ta vie. Tu apprécies particulièrement l’ambiance qui se dégage de l’établissement. L’odeur du café cajolant tes narines, le bruit des machines préparant des breuvages aux saveurs différentes et corsés. Le brouhaha des clients et de leurs rires enjoués. Oui, ça te fait du bien, ça te donne l’impression d’être un jeune homme lambda, sans histoire, sans emmerdes à l’image de tous ces individus. Oh bien sûr, tu ne te leurres pas, tu sais qu’au fond, chacun de ces individus à son vécu et le sourire que la majorité arbore, n’est pas toujours réel ou véridique. Mais tu aimes bien te voiler parfois la face pour affronter tes journées. Des journées que t’avais toi-même rendu délicates, bercées dans les faux-semblants. Tu pouvais parfaitement être un simple étudiant, doué avec les lettres et les expressions. Tu pouvais être un gosse de riche qui, d’un claquement de doigt, peut s’offrir le monde sur un plateau d’argent. Non, trop facile ou plutôt trop barbant. Toi, t’as besoin d’adrénaline et ça ne se limite pas à une course sur le dos d’une moto hors de prix. L’adrénaline recherchée, se dessine dans l’amour du danger, le genre qui peut carrément t’envoyer derrière les barreaux. Heureusement que maman est là. Maman qui règle tous tes soucis. Maman qui paie toutes tes amendes. Maman que tu fais chanter sans aucun état d’âme. Cette même mère qui vient de t’envoyer un texto, te proposant de prendre le café ensemble. Pire encore, elle est “en route vers le Starbucks” parce qu’elle te connait bien malgré ce que tu puisses y penser. Et ça, ça t’énerve. Tu voulais bien profiter de cette matinée en toute tranquillité. Tu voulais pas la voir et jouer au jeu de la mère et du fils qui s’envoient des politesse alors qu’ils se détestent plus que de raison.

Vite, il te faut une idée. C’est ça, une idée qui pourrait l’enrager même si cette perspective te semble impossible. T’as l’impression que rien ne la choque, cette bonne femme. Quand tu te montres fier d’une connerie effectuée, elle se ramène avec son sourire typique qui veut clairement dire “tu peux mieux faire”. C’est devenu presque un jeu malsain entre vous et toi, Elijah, tu n’as pas encore dit ton dernier mot. Que faire ? Tu jettes un rapide coup d’oeil à l’ensemble de l’établissement et quand tes yeux rencontrent un homme assit tout seul, un sourire machiavélique s’impose à tes ourlets. Ca y est, tu la tiens ton idée de génie. Maintenant, il faut “juste” qu’il accepte de jouer le jeu. Juste. Hum, tu penses avoir l’arme secrète pour qu’il accepte. Tu te lèves alors, emportant avec toi ton café que tu poses sans ménagement sur la table où le brun était assis. Un petit sourire rapide et la proposition tombe ; Hey ! Ca te dit d’avoir 1000$ pour être mon ami ? “Ami”. Certes, ce n’est pas ce que tu voulais exactement dire. Mais chaque chose en son temps. Faut d’abord tatonner le terrain et voir s’il te prend pour un fou. Il semble examiner la question avant de négocier. Là, tu écarquilles les yeux, non pas à cause de la somme demandée mais à cause de la rapidité avec laquelle il accepte. Hm. Attends-moi là tu veux. Tu te redresses alors pour sortir de l’établissement et t’approcher d’un distributeur automatique. La somme dans ta poche, tu reviens sur tes pas, glissant l’argent vers le jeune homme. Voilà, on a notre accord et rassure-toi, tu vas garder tes fringues, faudrait juste jouer le jeu face à ma mère. Tu tournes la tête vers la porte d’entrée. Quand on parle du loup. Qui vient d’arriver. Une femme distinguée et qui pue le luxe. Parfois tu te demandes si l’odeur de son pisse n’est pas similaire au dernier parfum de Givenchy. Mère, t’as été rapide. Je te présente mon amoureux. Bingo. C’est la surprise que t’avais justement préparé à ta mère ; lui faire croire que tu es homosexuel et en plus en couple avec cet homme … dont tu ignores le prénom. Zut, t’as pas pensé à lui poser cette question. Tu trouveras bien un moyen et puis, il y a de fortes chances qu’elle dégage avant même de connaître la suite. Enfin, c’est ce que tu pensais jusqu’au moment où, après un petit instant de silence, elle esquisse un sourire et tend sa main vers l’étranger. Ravie de vous rencontrer, je me prénomme Helda et vous êtes ? Si tu n’étais pas si abasourdi, t’aurais sûrement grincé des dents. Comment cela fait-il ? Normalement tous les parents de la terre entière, ressente une certaine frustration à savoir que leur enfant est homosexuel. Comment diable cette blonde ne réagit pas comme le commun des mortels. Tu noies ton désespoir dans ton café en te disant qu’enfin de compte, tu viens de perdre 1500 balles pour rien. Merde.


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Mieszko Buczkowski
Cent
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Mieszko Buczkowski
Ven 15 Mai - 23:00
Life is short and so is money

Elijah & Mieszko


La surprise qui l’avait frappé, a un niveau tel qui pourrait rendre jaloux et minable son lait ayant subis le même sort dans son café. Si notre enquêteur était persuadé d’un prank, à la recherche des caméras, son œil bien observateur fut amèrement déçu. Ou alors était-ce des humains qu’il devait chercher. Dans le genre une petite bande de jeunesse rigolant de loin en regardant la scène. Toujours rien. Étrange. Un doute persistait, la raison première pour laquelle, à son tour, il s’était permis de faire une blague. Du moins ce l’était pour lui, cette histoire de rajouter un prix bien plus salé, pourquoi ne pas s’en amuser après tout. Si tel était le cas du prank, il aurait de quoi les fournir pour le spectacle. Mais après fallait expliquer la réaction de cette jeunesse surprise de sa réponse plus qu’amusée. Dans quoi venait-il réellement de mettre les pieds ? Il devait attendre avant de le découvrir. De quoi le laisser seul dans sa tête et ses nombreux calculs et analyses qui ne faisaient que le mener dans les directions les plus loufoques les unes que les autres. Il se perdait dans son monde bien à lui, accompagné de sa boisson. Un monde qui lui était parfois utile dans son métier, tout comme pouvait-il être une malédiction. Pouvez-vous croire en à peines quelques minutes, il en était venu à arriver à l’area 51. Comment ? Aucune idée. Il était préférable avec lui de ne pas toujours chercher à comprendre. Sauf si notre passion dans la vie était de perdre son temps, bien entendu.

Il y en avait un qui, d’ailleurs, avait un drôle de passe-temps, qu’il n’avait au bout du compte, toujours pas réussi à bien déceler lorsqu’il le sorti de la noyade de ses songes. De nouveaux indices qui se dessine face à ce mystère : ce jeune homme venait d’acheter un mensonge pour sa mère, en prime d’être atrocement riche. Avoir su, il aurait demandé plus. Juste pour savoir jusqu’ou il était près à se rendre, qui aurait pu lui permettre d’évaluer un peu mieux la situation. La première chose qu’il eu dit en voyant la mère en question ? « Merde. » Un simple mot qui résumais bien le reste. Il n’avait absolument rien contre les riches, simplement faisait-il parti du petit peuple qui risquait d’en outre plus d’un car il avait osé prendre la fourchette du milieu ou la mauvaise cuillère. Il n’avait pas de diplôme dans l’art de vivre. Il avait à peine eu le temps de murmurer au jeune homme : « Pourquoi moi? T’aurais pu prendre le mec veston cravate à 6 heures. J’ai pas 36 ballais de coincés entre mes fesses. » Comme quoi le langage de son boulot ne le quittait pas toujours avec ses directions selon l'horloge. Il n’avait pas respiré dans sa phrase, pour permettre d’y introduire le fond de sa pensée tout en calculant les pas de la dame qui s’approchaient. Ce n’était là, qu’une partie de ses pensées qui n’auraient pas le temps de complètement s’exprimer, avant d’être poussé sur scène et de commencer le spectacle. Sans son consentement il avait changé de rôle en prime. Il faut croire qu’Elijah était tombé sur la bonne personne qui en apparence, était idéal pour ce rôle. Il avait gardé sa surprise de l’annonce bien interne, malgré qu’il s’était exprimé en marmonnant « J’ai oublié de lire les petits caractères au contrat avant de signer, définitivement. » Double surprise au menu, dans tous les cas, certainement plus pour Mie que la mère qui réagissait plutôt bien à l’annonce.

Il lui avait son plus beau des sourires par la suite, ne réfléchissant pas le moins du monde avant d’agir comme si cette fameuse Helda, faisait partie de la royauté. Il avait dit mère et non mom’ maman et ce genre de petit surnom du genre plus familial. Il n’avait pas pris de chance, et avait opté pour une petite révérence et un baiser sur le dos de sa main. Faut croire que ses vieux ancêtres venaient de le posséder pendant quelques courtes secondes. « Miesko. Mais vous pouvez me donner le surnom qui vous chante, la plupart de mes collègues me surnomme Mike. Enchanté de faire enfin votre connaissance Helda. J’avais si hâte de rencontrer la génitrice de cette charmante créature que vous avez procréé. » Si la surprise fut sa première réaction, sa seconde fut de se dire qu’il allait s’amuser comme un vrai petit fou avec cette situation pour le moins très loin d’être ordinaire. « Il vous a parlé de moi ? J’espère que notre première rencontre ne vous a pas trop choqué. Ça peut donner une mauvaise impression. Les strips clubs ont une mauvaise réputation parfois aux yeux des gens. » Il riait, le con, amusé de sa propre connerie. Il avait mentalement sorti le popcorn pour observer la suite des choses. Blaguait-il ou pas? Il comptait bien laisser l’inconnu se démerder avec le reste. Sinon c’est pas drôle.
 
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Elijah Machowicz
psi admin
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Elijah Machowicz
Mer 20 Mai - 0:58

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Depuis le temps que tu as appris une leçon enseignée par ta mère. Elle est simple et claire ; tous les coups sont permis pour faire flancher l’autre. Ca a commencé depuis un long moment. Précisément depuis ton accident de la route et surtout la révélation de l’identité de ton père biologique. T’étais blessé, trahis de savoir qu’elle vous cachait la vérité sans se lasser. Toi, Elijah, tu n’as pas voulu faire comme le commun des mortels et montrer tes faiblesses avec une crise de larmes et de lamentations. Non, ce tableau émotionnel, ne fait pas partie de votre famille. Vous êtes l’image même de la froideur, du snobisme et les faux-semblants. Tu as ainsi choisi un autre chemin pour lui faire regretter son choix, à savoir l’emmerder tous les jours, sans répit, sans en avoir marre. Tu vois bien que parfois tu la fatigues plus que de raison. Tu ressens parfois la victoire se rapprocher de toi mais à chaque fois elle s’éclipse quand ta mère rebondit, reprenant du poils de la bête. Helda Machowicz est une femme forte et imperturbable, une image loin d’être mensongère, elle l’est réellement. Cette fois, tu décides de la pousser davantage dans ses retranchements en lui faisant croire ton homosexualité. D’ailleurs quand l’homme à tes côtés te dit que tu aurais dû choisir quelqu’un de bien plus friqué, tu réponds rapidement avant que ta mère ne se poste devant vous. Au contraire mon choix est parfait. Je veux pas que t’ai de ballais dans le cul, si tu veux foutre le bordel ... n’hésite pas. A peine as-tu eu le temps de finir ton phrase qu’un sourire faussement joyeux se dessine sur tes lèvres. Mère. Oui, elle est juste la femme qui t’a porté neuf mois dans ses entrailles. Celle qui t’a mis au monde. Cela s’arrête là. Elle n’est pas une figure maternelle aimante comme on en voit à la télé. Elle n’avait pas de temps libre pour jouer avec toi ou te raconter une histoire pour t’endormir. Elle s’était limitée à t’apprendre des leçons sur la vie comme la loi du plus fort. Une règle qui te colle à la peau au point d’en user contre elle.

Elle qui sourit chaleureusement lorsque l’homme lui fait une révérence, laissant un baiser sur le dos de sa main. Si toi tu es passablement choqué de ce spectacle, elle … elle semble apprécier la bienséance de l’étranger. Elle ne semble pas si hautaine comme à son habitude ce qui te pousse sérieusement à te demander si finalement, tu as bien eu l’idée du siècle. Ce qui te choque le plus c’est son visage impassible à l’annonce de ton homosexualité. Bon sang, elle n’est même pas perturbée ou bien, a-t-elle bien appris à cacher ses sentiments si elle ressent vraiment ce genre de choses. Ca y est Elijah, tu es dépité et ce n’est pas un euphémisme. Tu noies ton désarroi en prenant une gorgée de café bien corsé. Tu deviens subitement silencieux, regardant tes deux vis à vis à tour de rôle. Ledit Miesko s’en sort plutôt bien si tu crois les traits détendus de ta mère. Elle se contente juste de hausser un sourcil en répétant Charmante créature … bien sûr, il l’est. Tu ressens l’insulte jusqu’à la moelle même si elle n’a rien dit de vilain. Tu lis juste entre les lignes. Tu lis dans le regard qu’elle te lance. T’as presque l’impression qu’elle se demande comment un jeune homme si bien élevé comme Miesko peut s’allier à un être de ta médiocrité. Encore un coup de sa part et elle pourra te mettre chaos dans ton propre jeu. Tu la détestes. C’est la suite qui te pousse à regarder le brun les yeux écarquillés. Il n’a pas osé de parler de strip club ! La surprise passée, tu retiens un rire en glissant une main sur ta bouche. Bien joué Mike, bien joué ! Tu as presque envie de l’applaudir loin d’imaginer une seule seconde la prochaine répartie de ta génitrice. Elle qui s’assit correctement sur la chaise, ses mains aux ongles parfaitement manucurés posés soigneusement sur ses genoux. Oh un strip club ? Tient, cette image me rappelle étrangement un film. Vous savez, Mike qui bosse dans ce genre d’établissement et qui tombe sous le charme d’une jeune femme. Je présume que la jeune femme dans cette histoire est mon fils. Cette … charmante créature. Encore un regard, de nouvelles insultes. Sauf que cette fois elle te tend une perche que tu ne peux ignorer. Qui te dit que ce n’était pas moi le danseur cette soirée là ? Et maintenant tu la nargues avec un nouveau mensonge ; la possibilité que tu sois un strip-teaseur. Une alternative qui semble bien l’amuser tout à coup. Oh Elijah … Tu peux me faire croire tout ce que tu veux excepté le fait que tu saches onduler correctement. Là, tu lèves les yeux au ciel. A croire qu’elle a une réponse à tout. A absolument tout et ça te gonfle sérieusement, la preuve avec ton pied qui commence à tapoter rapidement contre le sol. Elle ? Elle est fidèle à elle-même, souriante et passablement curieuse aussi. Et comment vous avez décidé de vous mettre ensemble ? Il baise super bien. Et voilà, vous offrez un échantillon de votre fabuleuse relation même si cette fois, elle essaie d’inclure Miesko dans la conversation faisant comme si elle ne t’a pas entendu. Alors Mike comment mon cher fils vous a t-il charmé ? Et maintenant, tu n’existes plus. Elle te regarde plus, elle te calcule plus. Elle se contente de changer son champ de vision le temps de commander un café avant d’observer le brun à tes côtés. Un brun qui semble monopoliser tout son intérêt.


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Mieszko Buczkowski
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Mieszko Buczkowski
Sam 30 Mai - 16:29
Life is short and so is money

Elijah & Mieszko


Alors que lui ne comprenait pas, se voyant comme un bien mauvais choix, il apprenait à la toute dernière seconde qu’il était en fait, parfait. Oui c’était bien un petit sourire tout heureux du compliment, avec cette petite vague de fierté qui venait d’envahir ses traits le temps d’un instant. Une petite déconcentration sur l’objectif, à savoir pourquoi ce jeune homme était si pressé de lui donner ce montant qu’il jugeait astronomique, et pourquoi avait-il besoin du parfait contraire de ce que cette dame pouvait bien représenter. Avait-il le temps de revêtir sa peau de détective? Pas vraiment. Il lui avait bel et bien dit, qu’il pouvait foutre le bordel, spécifiquement. Quoi qu’il y arrivait malgré tout, dans son métier, parfois, à foutre le bordel verbalement parlant, ou en voulant se prendre pour un mec dans un film d’action pour au final briser bien plus qu’une simple vitre. Hum. Bref. Il ne ferait rien de tout ceci, dans tous les cas. Sauf s’amuser et laisser son trouble de lobe frontal, s’amuser comme bon lui semble. Il ne comptait pas perdre son temps à essayer de deviner ce qui se passait et plutôt laisser les choses aller.

Ça c’était avant d’être prit un peu au dépourvu par la présentation du jeune homme il allait devoir lui trouver un surnom d’ailleurs, ignorant un détail essentiel à cette mission de 1500$. Une déstabilisation qui allait jusqu’à la révérence, ne réfléchissant pas plus que cela pour porter ses gestes et paroles en cet instant. Il aurait dû pourtant. Son cerveau ayant eu le temps de lui souligner qu’il venait de manquer sa chance de se faire passer pour Viktor Abakoumov, sa dernière création qui n’avait jamais eu la chance de revêtir lors d’une mission dans le NYPD. Une prochaine fois, qui sait. Ce qui venait de lui donner la charmante idée de sous boulot d’escorte aux multiples personnalités. Un truc qui pourrait être vendeur qui sait, auprès de ceux ayant besoin d’un jeune homme, parfois en guise de présence pour un événement qui incluait tous ses vêtements. Une pensée à mijoter. Il arrivait à dériver si loin, si rapidement, tout en gardant un œil et une attention sur la conversation. Il avait réussi à émettre une folle idée de première rencontre, découvrant l’ouverture de la mère qui ne paraissait pas le moindrement choquée de ce fait. Elle venait de casser les stéréotypes de la bourgeoisie, inconscient de tout ce qui pouvait bien se passer entre ces deux être humains présents à cette table, après tout. Son air songeur à la réponse démontre parfaitement bien qu’il n’a pas la moindre idée de quel film elle veut bien parler. Il semblerait qu’il venait d’accidentellement donner un scénario connu, en plus d’avoir le surnom du protagoniste. « Ah bon? J’imagine que certains films pornos apprécient l’art de mettre un peu d’histoire autour de la véritable raison pour laquelle, le spectateur regarde. » C’était sa déduction première, oui, avec ce petit haussement d’épaules sans plus ni moins pour rajouter cette couche de banalité à la discussion.

Qui avait bien vite repris vie entre les deux autres, Mie’ sortant mentalement son popcorn pour observer et écouter la scène. Il croyait doucement comprendre le but de provocation de ce jeune homme devant sa mère, sans toutefois arriver à mettre le doigt sur le pourquoi, sachant bien qu’il ne pourrait y parvenir de toute manière. On ne raconte pas son passé à un parfait inconnu, après tout. Et là n’était pas le moment de revêtir des lunettes et sortir le calepin pour poser des questions et tenter de régler leurs relations. S’il avait bien un rôle qu’il pouvait difficilement faire à la perfection c’était bien celui du psychologue. Après tout, cette peau était une véritable torture : il ne pouvait pas blaguer sur tout ce que la personne pouvait bien lui raconter. Par contre, il avait vu capter le plus important : le prénom du garçon. Merci Helda. « Je sais que ce n’est pas très approprié comme conversation mais j’insiste sur le fait qu’il sait très bien onduler. Dans un certain contexte qui n’implique pas le port d’un quelconque vêtement. » Il devait bien défendre, ne serait qu’un tout petit peu, l’élu de son cœur temporaire, avec un petit rire en prime, ça passait bien. Le jeune homme avait continué dans cette voie, de quoi provoquer une fausse indignation chez notre polonais. « Je croyais que tu m’aimais? Pour mon charme légendaire et mon romantisme à rendre jaloux les Roméo et Juliette de ce monde. » Il pourrait presque faire croire qu’il était un excellent comédien, créant presque cette illusion d’une relation entre eux qui laissait croire l’ouverture et la bonne entente. De ce stade où ils pouvaient se permettre d’affirmer n’être ensemble que pour le sexe sans qu’un verre d’eau ne soit lancé. Ceci étant dit, ce pauvre Elijah n’avait aucune idée qu’il ignorait ses propres capacités sous les couettes. Le plus loin de ses expériences de types homosexuel s’arrêtant à un échange maladroit et étrange d’un bisou à l’époque de son adolescence. Comment le reste pouvait bien fonctionner? Il n’en avait pas la moindre idée. Allait-il se pencher sur le sujet et faire ses propres recherches après son café? Certainement pas. Il aurait oublié pour se concentrer sur une quelconque futilité. Comme par exemple découvrir pourquoi les hamsters aimaient tant courir dans cette fameuse roue.

Sa concentration qui avait dérivée quelques secondes venait d’être rapidement rattrapée par la mère en personne, perdant de son intérêt pour son fils pour se concentrer davantage sur lui. Une nouvelle partie de l’histoire à créer. Comme cette matinée était des plus divertissante. Mon dieu, ce qu’il pouvait avoir un talent de comédien lorsqu’il le voulait, en affichant son air si charmé, en prenant la main de cet inconnu sur la table en prime. Était-il trop dans son rôle? Ou avait-il deviné qu’il avait signé un contrat dans une relation malsaine entre une mère qui ne voyait pas son fils avec amour inconditionnel. Il travaillait pour lui, après tout, et devait faire en sorte (du moins, en avait-il fait la conclusion) de le peindre comme cette charmante créature. « Tranquillement mais surement. À force d’apprendre à le connaître, à apprécier autant ses qualités que ses défauts. C’est la beauté de l’amour n’est-ce pas? Et puis nous avons la chance d’avoir une communication exemplaire. » C’était presque à vomir d’adorabilité. Mais pour éviter le malaise il n’avait pas tenu plus longtemps la main du jeune homme, pour se concentrer sur son café plutôt. « Mais plus sérieusement, il a gagné beaucoup de point en me donnant la meilleure BJ de toute ma vie. Bon l’endroit n’était peut-être pas idéal, c’est pas très propre les toilettes en général mais vous savez. Les hommes, quand ils ont la trompette d’occupée ils oublient tout le reste. » Il avait dit de foutre le bordel pas vrai? Soit dire de la merde. Autant rester dans le thème sexuel donné, même s’il ne fonctionnait pas trop avec cette femme. Il avait aussi compris qu’Elijah cherchait à provoquer la mère. « Pardon, trop de détails. J’ai des troubles avec mon filtre de pensé, j’espère que ce petit défaut n’est pas trop dérangeant. Avec un café ça va, mais avec de la nourriture parfois ça peut-être un brin catastrophique. » Ce qui était une des premières vérités dites, la fameuse catastrophe si aisé si on osait amener un sujet trop près de son métier qui le lançait dans la description d’un meurtre à en couper l’appétit. « Dans le dernier cas, c’est un excellent moyen de perdre du poids. Mon programme est parmi les moins cher en ville. » Il ne réalisa qu'après coup que le sujet ne devait pas être très clair, se rattrapant après son silence : « Oh pardon j'ai oublié le contexte : je travaille avec des cadavres c'est pour ça. » En oubliant de spécifier son domaine, bien évidemment. Qui pouvait tout aussi bien tremper dans le crime que son contraire.

 
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Elijah Machowicz
Mer 8 Juil - 19:31

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Mieszko & Elijah ♣ Midnight ronkers. City slickers. Gunmen and maniacs. All will feature on the freakshow. And I can't do nothing 'bout that, no … But if you hurt what's mine, I'll sure as hell retaliate
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En réalité, tu ne sais pas ce qui t’a pris pour payer un jeune homme dans le but de jouer le rôle de ton petit-copain. Il faudrait être complètement barjo, complètement désespéré surtout de faire cela. En même temps, que peux-tu faire de plus ? Tu as essayé tous les coups possibles et inimaginables. Tu as même eu la brillante idée d’entrer par effraction chez vos voisins, organisé une soirée en invitant des parfaits inconnus, tagué les murs et ne rien faire pour cacher ta présence dans les lieux. Tu pensais qu’avec cette nouvelle connerie, elle arriverait enfin à péter un câble. Elle fera en sorte de te faire passer un bon savon légendaire. Mais ce n’était pas le cas. Comme dit la coutume, elle est arrivée à régler la situation, versant une grande somme à vos voisins pour ne pas alerter la police. Et qu’est ce qu’elle t’a dit ? “C’est réglé”. Non justement, rien n’est réglé ! Tu roules des yeux suite à cette remémoration. Tu essaies tout de même de ne pas y penser et de te concentrer sur le moment présent. Ton faux petit-ami est parfait pour le rôle, tu en es sûr surtout après avoir parlé de strip-tease. Si au départ ta mère prend part à la conversation en se montrant imperturbable, le mot “porno” la pousse à écarquiller ses yeux clairs en glissant une main sur l’emplacement de son coeur dans un geste offusqué. De ton côté, tu jubiles de ce tableau, tu aurais aimé capturé le moment pour le célébrer comme il se doit plus tard. Pour l’instant, tu te contentes de rire non sans secouer de la tête. Mais non mon coeur c’est pas un porno. Roh, tu ne connais que ça ma foi. Si toi tu ris, ta mère garde pour quelques secondes son expression offensée avant de se détendre en respirant un bon coup. Ce qui se passe après ? Elle reprend son sourire comme si de rien n’était. Et ça, ça a le luxe de t’énerver, commençant alors une série d’hostilité avec ta chère mère. Mine de rien, tu es déçu du fait qu’elle ne soit pas davantage en colère voire même qu’elle quitte la table en pestant. Tu rêves presque de la voir vraiment furieuse. Que tu sollicites chez elle autre chose qu’un calme olympien. Car selon toi Elijah, cela veut clairement qu’elle s’en fout de toi, de tes histoires, de tes sentiments.

Le jeune homme à tes côtés te sauve en faisant preuve de niaiserie incroyable. Si tu le connaissais réellement et si ta mère n’était pas dans les parages, tu mimerai sûrement une envie pressante de vomir. Mais à la place, tu pousses un petit “oh” attendri et tu fais ce qui te semble le plus approprié dans cette situation ; tu passes tes deux mains de part et d’autre de son visage et tu le smack sans aucune impunité. Tu le lâches doucement et tu jettes un coup d’oeil discret vers ta mère. Ce que tu vois ne te choque pas mais te déçoit ; elle a un petit sourire dans la commissure de ses lèvres. Tu ignores ce que cela veut dire. Si elle est heureuse ou au contraire si elle s’en fout royalement de ce qui se passe sous ses yeux. Toi, tu soupires Elijah. Tous tes coups pour le moment, n’ont rien donné au contraire, elle engage la conversation avec Mie, ignorant totalement ta présence. Tu noies ton désespoir en buvant une grande gorgée d’eau tout en gardant une oreille attentive à la conversation. Le jeune homme te met sur un piédestal et dans un sens, cela te met mal à l’aise car il est loin de la réalité. Tu n’as pas de qualités, tu n’as que défauts et c’est peut-être pour cette raison que ta mère ne semble pas touchée par les mots débités. Comme si au fond, elle savait pertinemment que tu n’es pas le portrait irréprochable dessiné par le brun. Quand tu t’apprêtes à changer de sujet, probablement pour en choisir un bien plus sexuel, Miesko semble lire dans tes pensées. Tu te retiens de justesse pour ne pas éclater de rire, à la place, tu te contentes de lui sourire en glissant ta main sur la sienne. T’as aimé cette première fois ? On peut le refaire quand tu veux, où tu veux. Suivi par un regard langoureux qui ne passe pas inaperçu. Bien joué ! Tu es fier de votre coup et quand tu entends la voix de ta mère, tu attends à des insultes ou une réaction virulente. C’est une des choses que j’apprécie dans la communauté LGBQT. Le fait de n’avoir pas de tabou, de faire tout ce dont ils veulent quand ils veulent. Tu hausses un sourcil. Tu rêves ou ta mère n’a pas été dérangée par le franc parlé du jeune homme ? Même quand il s’excuse d’avoir donné trop de détails, elle secoue de la main en disant que c’était “bon à savoir”. T’as envie de taper ta tête contre la table tellement tout ça est ridicule. Soit ta génitrice est une excellente comédienne probablement meilleure que vous, soit elle est réellement tolérante et accepte cette nouvelle facette de toi. Tu perds le fil de la conversation, tu ne te reconnectes que lorsque tu entends le mot cadavre, un mot sur lequel tu rebondis. En plus je crois que parfois la compagnie des cadavres est bien plus intéressante que celle des humains. Tu tournes la tête vers ta mère quand tu dis le mot “humain”, clairement parlant d’elle. Tout à fait d’accord. Les humains peuvent se montrer ingrats, indisciplinés, irrespectueux et très désagréables. Tu n’as pas besoin d’être Einstein pour savoir qu’elle parle de toi, définitivement. Cette fois, tu ne laisses pas tomber, arborant même un petit sourire. C’est mieux d’afficher ses défauts ouvertement que de se montrer faux-cul et donner une image erronée de sa personne pour être apprécié. Tu ancres tes prunelles dans les siennes alors que de son côté, elle soutient ton regard. Vous êtes similaires à deux félins prêts à rebondir l’un sur l’autre. Tu n’es pas enclin de baisser la tête. Non ça, plus jamais. C’est elle qui rompt votre échange animal pour poser ses prunelles sur le brun à tes côtés. Ce fut un plaisir de te rencontrer Miesko. Je tiens à t’inviter à dîner pour mieux faire connaissance. Dit-elle en se redressant. Toi, tu tournes la tête sur le côté, faisant comme si elle n’était plus là. De son côté, elle tend la main au jeune homme. Prend soins de lui. A bientôt. Et elle s’éclipse en te laissant pantois, les lèvres entrouvertes. Prends soin de lui ? Genre j’ai 2 ans ? Putain elle m’énerve ! Tu as certes murmuré ces mots mais tu as mis toute ta colère en les débitant. Tu essaies de te calmer en inspirant et en expirant à plusieurs reprises. Merci d’avoir joué le jeu mais ça m’intrigue. Dis-tu, passant d’une émotion à une autre ou disons plutôt que tu préfères oublier cette femme machiavélique. Tu bosses vraiment avec des cadavres ? Oui tu préfères passer à autre chose, là tout de suite maintenant.    


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