En entrant dans la salle vous vous retrouvez perdu au milieu de multiples vitre et miroir. Un vrai labyrinthe s'offre à vous, des cul de sac dans tous les sens, des illusion d'optique vous faisant croire à une sortie sans que ce ne soit réellement le cas, des rideaux opaques qu'il faudra avoir le courage de passer sans craindre ce qui se cache derrière. Vous l'avez compris, bien qu'amusant votre mission qui sera de sortir d'ici ne sera pas simple, bien au contraire, mais croyez en vous et faites confiance à celui qui vous accompagne, ou pas d'ailleurs, ainsi, vous parviendrez à trouver la sortie !
Afin de pouvoir prétendre à sortir de cette pièce, il va vous falloir réaliser des petites actions, 3 actions par participants plus précisément. Les actions sont à choisir dans la liste qui suit, mais attention il y a tout de même une petite réglementation.
1. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule action par réponse 2. Chaque action n'est utilisable qu'une seule fois par rp, ce qui signifie que si votre partenaire en a choisi une, vous ne pouvez prendre la même. 3. Si jamais vous avez déjà participé aux jeux dans un précédent rp, vous n'avez pas le droit de réutiliser les actions que vous avez déjà fait.
Comme vous le voyez, rien de bien compliqué, mais c'est important tout de même !
Une fois que vous avez réussi à réaliser vos 3 actions par participants, alors nous vous pouvez poster dans le sujet prévu à cet effet et ainsi demander la suite des événements.
Liste des actions réalisables
- Persuadé de trouver un chemin droit devant toi, tu te mets à courir pour finalement te prendre une vitre en pleine tête, te sonnant quelques secondes.
- Dans ce labyrinthe, il n'y a pas que des vitres, mais parfois des miroirs aussi, réveillant en toi ton côté narcissique. tu t'arrêtes devant chacun d'entre eux, passant de longue minutes à t'observer, te recoiffer, bref, à t'aimer toi même.
- Devant toi se trouve un rideau totalement opaque, tu ne vois rien de ce qui se trouve derrière, et tu as peur de ce qui pourrait se cacher là justement. Voilà pourquoi alors que tu essaies d'ouvrir ce rideau en question, tu te mets à hurler, effrayé, sans même savoir pourquoi.
- Plus tu avances dans ce labyrinthe, plus l'angoisse t'envahie. De plus en plus effrayé, tu ralentis le pas, et, pris de panique, tu fais passez ton partenaire devant toi, t'accrochant à lui de sorte à ce qu'il te serve de bouclier humain.
- Cela fait de longue minutes que vous êtes perdu au milieu de ces tonnes de vitres désormais, et vous voici dans un énième cul de sac. Une crise de panique t'envahi alors, faisant monter automatiquement la chaleur de ton corps, et tu commences à te dévêtir sans même réfléchir cherchant de l'air frais par tous les moyens.
- Ce labyrinthe est nul, tu en as marre, cela ne t'effraie pas, cela t'épuise, et tu décides de t’asseoir sur le sol, refusant de bouger en prétextant que de toute façon c'est mort vous ne sortirez jamais d'ici.
- Perdu dans tes pensées, tu ne fais plus attention au chemin emprunté par ton partenaire, te retrouvant seul désormais, tu te mets à courir dans tous les sens afin de le retrouver, l'appelant de toute tes forces pour essayer de te fier à sa voix.
- Suite à un regain de confiance, te voilà une main sur les vitres pour avancer sans t'en prendre une par la tête, tu accélère le pas sans faire attention, tu ne regardes pas si ton compagnon de jeu te suis, et tu le sèmes de manières fulgurante, comme si c'était totalement voulu de ta part.
- Te prenant pour le petit poucet, tu laisses tomber divers objets de tout style que tu traînes avec toi afin d'être sûr de ne jamais reprendre le même chemin.
Invité
Mar 30 Oct - 11:09
Mirror, mirror, on the wall, who's the fairest of them all ?
Aaron & Garrett
Je me demande encore comment j'ai pu me laisser convaincre de venir me perdre jusqu'ici. Ce genre de jeux stupides, ce n'est franchement pas mon genre. J'ai passé l'âge, puis ça ne m'amuse plus vraiment. D'ailleurs, me perdre dans un palais des glaces, cela m'a-t-il amusé ne serait-ce qu'une fois dans ma vie ? Je ne m'en souviens pas. Il y avait bien cette fête forraine, organisée tous les ans à Galway, au début de l'automne, sur laquelle Aislinn me traînait quand nous étions adolescents, mais rien de suffisamment remarquable pour me rester en mémoire. En fait, si j'ai accepté de venir jusqu'ici, c'est surtout parce qu'un ami m'y a contraint, me convainquant que cette activité serait idéale pour me changer les idées, après toutes les épreuves que j'avais traversé ces derniers temps. Il ne pouvait pas avoir complètement tort. Après tout, ce n'est pas en me morfondant tout seul chez moi que je vais trouver du réconfort.
Je m'avance dans cet immense labyrinthe, fait de vitres transparentes et de miroirs, où règne le silence le plus total. Je m'avance dans les étroits couloirs pour finir par comprendre que je suis complètement seul. Je sais que mon plus grand défaut, c'est mon manque de patience, qui pourrait rapidement éclater au grand jour et me ralentir dans ma progression vers la liberté. J'essaye de rester calme et de me concentrer, réfléchissant à un moyen efficace de quitter cet endroit. Quand je passe devant l'un des miroirs qui compose la pièce, je ne résiste pas à l'envie de m'arrêter devant celui-ci. Je m'y attarde, observant mon reflet ; me penche en avant pour détailler les traits fatigués de mon visage. De grands cernes violets ornent le bas de mes yeux et me donnent presque un air inquiétant. Je pose mes mains sur mes joues, tirant ma peau pour effacer mes rides, me rendant par la même occasion un air plus avenant et décomptant quelques années à mon compteur. Une longue mèche blond cendré tombe à ce moment-là sur mon front. Aussitôt, je la remets en place, passant de longues minutes à recoiffer cette tignasse si capricieuse par moment.
Je continue ce petit manège pendant de longues minutes avant de remarquer quelque chose dans le miroir. Une silhouette. Je la fixe sans comprendre, me pensant parfaitement seul dans ce labyrinthe jusqu'à cet instant. Je pense d'abord halluciner, voir là le résultat de mon propre reflet par miroirs interposés alors je me retourne et là, je tombe nez à nez avec un type que je ne connais ni d'Ève ni d'Adam. Je sursaute, portant ma main à ma poitrine tant la surprise est grande. 《 Mais ça va pas, non ?! Ça vous arrive souvent de fixer les gens sans les avertir de votre présence ? 》 bougonné-je avec mon gros accent irlandais. Je reprends peu à peu mon calme, retrouvant une respiration modérée et régulière. 《 Vous m'avez fait une peur bleue. Je pensais être seul ici. 》 Précision que je crois bon d'ajouter alors que mon angoisse, au moment où je me suis retourné, était parfaitement perceptible dans mes grandes opales écarquillées. Je détaille un peu plus attentivement l'homme qui se tient devant moi. Il est un peu plus grand que moi, sa carrure est large et un collier de barbe blonde orne sa mâchoire carrée. Sa tête ne me dit absolument rien, même maintenant que j'y réfléchis un peu plus calmement. Je tente de retrouver un peu de contenance, croisant mes bras sur ma large poitrine. 《 Bon, je suppose que si vous êtes là, c'est que vous n'avez toujours pas trouvé de sorties non plus. On pourrait chercher ensemble au lieu de se perdre chacun de notre côté, non ? Deux cerveaux valent mieux qu'un seul. 》
(c) DΛNDELION
Action:
Dans ce labyrinthe, il n'y a pas que des vitres, mais parfois des miroirs aussi, réveillant en toi ton côté narcissique. tu t'arrêtes devant chacun d'entre eux, passant de longue minutes à t'observer, te recoiffer, bref, à t'aimer toi même.
Invité
Ven 16 Nov - 10:16
Parc d’attraction Garrett & Aaron
Tu n’as jamais été très porté parc d’attraction. C’est pas ton truc, voilà tout et ça ne s’explique pas. Aujourd’hui pourtant, 31 octobre, tu te retrouves dans l’un d’eux, tu te retrouves coincé dans ce qui ressemble un labyrinthe, des miroirs absolument de partout. Et par dessus tout, tu es seul. Tu ne sais pas exactement ce que tout ça veut dire, tu n’as pas l’esprit à réfléchir à ça. Tu te contentes de faire quelques pas en avant, de regarder un peu partout pour voir s’il n’y aurait pas une sortie dissimulée quelque part. Tu es optimiste, trop sans doutes, au point de sortir ton téléphone de ta poche dans l’espoir d’appeler quelqu’un qui pourrait te tirer de là. Pas de réseau, rien, évidemment. Ton esprit se tourne un instant vers ta soeur qui ne sait pas où tu te trouves, puis vers Lili avant de secouer la tête pour chasser l’idée que tu pourrais ne pas les revoir de ton esprit. Un long soupir franchit tes lèvres et tu continues d’avancer jusqu’à entrevoir une lumière. La sortie. Tu ne mets pas longtemps à en prendre la direction, te précipitant vers ce qui te semble être la porte qui te mènera à l’extérieur mais non, rien. Il ne s’agissait que d’un énième miroir que tu prends de pleine face, te faisant reculer d’un pas. Il te faut quelques secondes pour reprendre tes esprit et réaliser ce qu’il se passe. Ca ne te plait pas forcément mais tu ne peux rien faire de mieux qu’attendre, que continuer d’avancer. Tes doigts contre les miroirs, tu avances un peu plus prudemment, un pas après l’autre pour ne pas te faire avoir. Tu ne comprends pas tout ce qui se passe mais au détour d’un énième couloir, tu constates que contrairement à ce que tu pensais, tu n’es pas seul ici. Il y a un homme, en train de s’observer dans un miroir. Tu ne le connais pas, il ne te dit rien en tout cas. Peut-être l’as-tu croisé un jour dans la rue mais comment savoir avec tout ce monde qui grouille dans les rues de New-York. Une remontrance te parvient quand il réalise que tu es là, à l’observer et tu grimaces. Je ne voulais pas vous déranger dans votre contemplation. Tu lâches un rire avant de faire quelques pas vers lui, d’aller en sa direction pour lui faire comprendre que tu n’es pas issu du fruit de son imagination mais que tu te trouves bel et bien dans cette pièce, coincé, pris au piège. Rassurez-vous, je pensais aussi être seul. Ton regard qui reprend sa découverte des lieux, qui cherche un moyen de sortir, de s’échapper de ce lieu qui fait froid dans le dos. Tu ne peux pas imaginer un instant qu’il n’y ai aucune issu, ce n’est pas possible. Je ne sais pas si nous aurons plus de chance à deux mais je suppose que c’est préférable pour éviter de tourner en rond sans jamais s’en sortir. Tu préfèrerais surtout être n’importe où plutôt qu’ici et après réflexion, tu sais que c’est de ta faute, c’est toi qui est venu de ton plein gré, bien que ce ne soit pas ton genre de distraction. Aaron. Et vous êtes ? Tu fais face à un nouveau couloir, ta tête simplement tournée vers cet inconnu dont tu attends l’identité pour avancer.
Invité
Dim 25 Nov - 18:54
Mirror, mirror, on the wall, who's the fairest of them all ?
Aaron & Garrett
La grande pièce est sombre, mais pas suffisamment pour que les miroirs et les vitres transparentes qui la composent ne soient pas visibles. Quelques néons, disposés ici et là au plafond, divisent la vaste salle en plusieurs couloirs, dans lesquels il faut s'infiltrer à pas de loup pour ne pas se prendre l'une des parois trompeuses en pleine tête, les pieds entraînés par un excès de précipitation. Je plisse les yeux pour tenter d'y voir plus clair, espérant que mon instinct me guide spontanément vers la sortie, en vain. Quand je passe devant l'un des longs miroirs, mon regard est captivé par mon propre reflet. Mon visage est déformé par la fatigue, mes traits sont tirés et mon teint est complètement terni par le manque de sommeil et le stress des derniers événements. J'ai presque du mal à me reconnaître, à me familiariser avec cette figure qui m'a l'air totalement étrangère. Je tire sur ma peau asséchée, creusée par quelques sillons qui trahissent le nombre d'années que j'ai au compteur. Je replace quelques mèches dans ma chevelure indomptable et, au moment où mon regard n'est plus braqué sur les opales perçantes renvoyées par mon reflet et qu'il se pose sur d'autres yeux, qui me sont inconnus, je crois mourir d'un infarctus. Le cœur qui bat la chamade alors que je viens de me faire surprendre en pleine séance de contemplation, je fais volte face aussitôt pour toiser l'homme qui se tient devant moi. Une tête qui ne me dit rien. Un simple inconnu, que je ne m'attendais pas à trouver là, convaincu d'être parfaitement seul. « C'est très aimable de votre part, mais malheureusement, c'est raté ! » lui lancé-je sur un ton faussement contrarié, en époussetant d'un revers de main ma chemise bleu marine.
« Donc il n'est pas improbable qu'il y ait d'autres personnes que nous dans ce labyrinthe... » Ce n'est pas vraiment une question, mais plutôt une pensée que je formule à voix haute, pour remettre de l'ordre dans mes idées et espérer y voir plus clair. Je ne suis pas certain que cet homme en sache plus que moi, dans la mesure où il se pensait seul, lui aussi, avant de tomber sur moi par le plus grand des hasards, je suppose. « Vous avez raison. Il ne vaut mieux pas se séparer. Ce serait plus profitable de pouvoir sortir d'ici ensemble que de laisser l'autre derrière soi. » La solidarité, je suppose que c'est la solution la plus souhaitable à adopter lorsque l'on se retrouve à plusieurs dans ce genre de pétrins. L'inconnu se tourne vers l'un des sombres couloirs de la salle avant de me livrer son prénom. Ce sera sans doute plus simple de l'interpeller en utilisant celui-ci, plutôt que d'utiliser d'étranges sobriquets en compensation. « Garrett. » répondis-je simplement, lui emboîtant le pas pour m'avancer dans la direction qu'Aaron a choisi. Avec un peu de chance, il est pourvu d'un grand sens de l'orientation et saura nous dépêtrer de cette situation en un claquement de doigt. Nous avançons entre les lumières tamisées, au milieu de tous ces trompes-l’œil qui pourraient nous induire en erreur à tout moment. Je tourne doucement la tête vers la droite, pour voir un autre couloir se dessiner perpendiculairement avec, au fond, un long rideau qui bouge doucement. D'ici, il m'est impossible de déterminer si ce vague mouvement est produit par l'air qui s'échappe par une bouche d'aération, ou s'il y a bien quelque chose ou quelqu'un qui le fait remuer. « Attendez, je crois que j'ai vu quelque chose. » m'écrié-je pour avertir Aaron de mon changement de direction, histoire qu'il ne s'avance pas indéfiniment dans l'autre couloir et me perde définitivement de vue. Je m'approche de plus en plus du rideau, qui ne cesse d'onduler harmonieusement. Je ne suis plus qu'à quelques pas. Je tends le bras vers le morceau de tissu pour le tirer brutalement vers la gauche, mais celui-ci m'échappe à plusieurs reprises. Tout à coup, un grand courant d'air soulève le rideau, qui ne dévoile que le néant, l'obscurité la plus totale, une ombre mystérieuse. Sans comprendre moi-même pourquoi, alors que je ne vois strictement rien, je me mets à hurler face à l'inconnu qui se dresse devant moi. Je ne sais pas si Aaron est encore derrière moi, mais si ce n'est pas le cas, il ne devrait pas avoir trop de mal à me localiser au vu de la force de mon cri.
(c) DΛNDELION
Action:
Devant toi se trouve un rideau totalement opaque, tu ne vois rien de ce qui se trouve derrière, et tu as peur de ce qui pourrait se cacher là justement. Voilà pourquoi alors que tu essaies d'ouvrir ce rideau en question, tu te mets à hurler, effrayé, sans même savoir pourquoi.