Je m'appelle Julian Sora Hampton, plus souvent appelé Julian par mes parents, Ju' par mes amis et ma femme ainsi que Monsieur Hampton ou Professeur Hampton par mes étudiants. Je suis né le 22 novembre 1965 à New-York. Mon père est américain, originaire de Boston et ma mère est britannique, originaire de Londres. Ils se sont rencontrés lors de leurs études, à New-York, ma mère étudiait la littérature et mon père la justice, ils se sont retrouvés à une même fête, organisé par des étudiants pour fêter la fin de la seconde année d'études et d'après ma mère, ce fut le coup de foudre. Ils ne se sont plus quittés depuis leur rencontre, c'est le genre d'histoire qui fait rêver. Après que mon père soit devenu avocat et ma mère professeur d'anglais dans le secondaire, ils sont restés à New-York ils se sont mariés et m'ont eu trois ans plus tard.


Je suis fils unique et ça me va ainsi, je crois que mes parents voulaient qu'un seul enfant, en tout cas, je n'ai manqué de rien. J'étais un assez bon élève, surtout en anglais, ma mère veillait à ce que mes notes en anglais soient excellentes et heureusement pour moi, je m'en sortais relativement bien, c'était ma langue maternelle en même temps même si, à son goût, j'avais plus l'accent américain que britannique. J'ai développé une véritable passion pour l'histoire antique, avec l'anglais, c'était la matière où j'avais les meilleurs notes. Je m'en sortais pas trop mal en sciences et en mathématiques, pour les autres matières, j'étais dans la moyenne sauf dans les langues, j'ai appris l'espagnol et le français, quelle galère, surtout le français, c'est quoi cette manie de mettre des "s" à la seconde personne du singulier ? Ils peuvent pas faire comme nous et en mettre à la troisième personne du singulier. Enfin bref, la question n'est pas là, j'aimais pas les langues étrangères et j'aime toujours pas ça.


Je voulais être policier quand j'étais petit puis ensuite vétérinaire, j'étais partit pour ça, j'allais m'engager dans un bac scientifique mais mon professeur d'histoire, apprenant ça me dit que j'avais tort de faire ça et me conseilla de tenter un bac littéraire pour devenir professeur. Il avait bien vu que j'adorais apprendre l'histoire à mes amis qui n'y comprenaient pas grand-chose et encore moins ma fascination pour cette matière. Sauf que je voulais devenir vétérinaire, soigner les animaux. Sauf qu'être vétérinaire, c'est aussi abréger les souffrances d'un animal en l'endormant pour toujours, j'avais trop souffert quand le vétérinaire avait endormi mon lapin quand j'avais 10 ans et je savais que chaque euthanasie m'attaquerait le moral. Je suivis donc le conseil de mon professeur, à la grande joie de ma mère, ravi que je choisisse le littéraire et l'enseignement comme elle. Sauf que je visais plus haut, après mon diplôme, je continuais en master Recherche puis en Doctorat Recherche, je passais le diplôme du concours de maître de conférences et après cinq années à être maître de conférences, je passais le diplôme du concours de professeur d'université que j'obtins. Voilà comment je me suis retrouvé professeur d'université, ça fait quelques années que je suis enseignant et j'adore ça. Au moins, je rencontre des étudiants qui adorent aussi l'histoire. Hormis ça, je possède depuis trois ans un berger allemand femelle qui s'appelle Fire et qui est adorable.


J'ai dû user de mon amitié avec un historien reconnu pour mettre fin à une histoire qui aurait pu me coûter mon diplôme de professeur d'université. Un concurrent à fait croire que j'avais payer des pots de vins au jury pour qu'il me le donne, c'était faux, j'avais passé mon diplôme sans soudoyer le jury. Après une rapide enquête, j'ai étais disculpé du moindre soupçon et ais pardonné à ce concurrent qui espérais juste prendre ma place. Il n'a pas réussi et a quand même était reçu. Je n'ai fais que mine de lui pardonner. Mon ami historien a fait une rapide recherche à ma demande et à découvert que ce concurrent avait lui payer des pots de vins, tout le monde l'ignorait mais mon ami a, involontairement bien sûr, révélé cette nouvelle au rectorat. Inutile de vous dire que le recteur n'a pas du tout apprécié cette nouvelle. Il a était viré et a même dû me payer des dommages et intérêts pour avoir fait courir ce genre de rumeurs sur moi. Il faut pas me chercher, je suis rancunier et on finit toujours par me payer. La vengeance est un plat qui se mange glacial avec moi.


Je suis mariée depuis 24 ans à ma femme, elle était dans la même promotion que moi, en justice, comme mon père, mon père l'a de suite adoré d'ailleurs, ils avaient des discussions auxquelles ma mère et moi ne comprenions rien mais bon, ce n'était pas grave. Ont s'est rencontrés grâce à mon meilleur ami qui sortaient avec sa meilleure amie, ont étaient obligés de se voir du coup, ils se sont séparés depuis mais pas ma femme et moi ne nous sommes plus quittés depuis. Ma femme m'a soutenu dans tout mes diplômes, supportant mon agressivité lors des révisions pour les concours et ma joie à chaque réussite. Je ne la remercierais jamais assez pour ça. Malgré la confiance entre nous, elle ignore, tout comme le reste du monde que j'ai déjà eu une histoire, courte et cachée avec un homme avant de la rencontrer. Tout le monde me penser hétérosexuel alors qu'en réalité je suis bisexuel. Même si la passion des débuts à laissé place à une routine tranquille, je l'aime toujours autant et pourtant, j'ai réussi à être attiré par un de mes étudiants. C'est la première fois que je suis attiré par une personne que ma femme et ça me trouble, il me trouble. Il, c'est un étudiant plus jeune que moi et plus âgé que la plupart de mes étudiants mais j'ai craqué sur lui, réellement, j'ai bloqué en le voyant entrer dans l'amphi, ses cheveux blonds/châtains, ses yeux bleus et ce corps que je devinais musclé ont temporairement éclipsé ma femme de mon esprit. Je me déteste de ressentir ce genre de chose. Je n'ai pas le droit de ressentir ce genre de sentiments pour un étudiant, c'est interdit, enfin ce qui est surtout interdit, c'est d'entamer une liaison avec lui. Je ne sais pas son orientation sexuelle et c'est mieux ainsi, si j'apprenais qu'il aimait les hommes ou les deux, je serais capable de tenter quelque chose avec lui et je n'en ai pas le droit, je risquerais de perdre mon job et j'ai trop bossé pour le perdre pour les beaux yeux d'un étudiant. Des étudiantes ont déjà tenté de me séduire mais j'ai réussi à repousser leur avances, elles espéraient seulement des meilleures notes mais c'est différent avec lui, là, c'est moi qui suis tenté de lui faire des avances mais je tente de rester professionnel et de l'oublier dans les bras de ma femme. Seulement, dès que je le vois, j'oublie ma femme, me rêvant dans ses bras et si je n'en suis pas au point de m'imaginer avec lui quand je suis dans les bras de ma femme, ce n'est qu'une question de temps, j'ai déjà failli lâcher son prénom plusieurs fois et je ne veux pas faire souffrir ma femme et pour ça, je dois l'oublier mais je n'y parviens pas. J'essaie mais je n'y arrive pas et ça me bouffe même au boulot, je commençais à engueuler mes élèves, chose que je ne faisais jamais et mon supérieur m'a parlé des plaintes des élèves et m'a ordonné de laisser mes problèmes privés chez moi quand je lui ai dis que j'avais des problèmes avec ma femme, sauf que mes prob
Je m'appelle Julian Sora Hampton, plus souvent appelé Julian par mes parents, Ju' par mes amis et ma femme ainsi que Monsieur Hampton ou Professeur Hampton par mes étudiants. Je suis né le 22 novembre 1965 à New-York. Mon père est américain, originaire de Boston et ma mère est britannique, originaire de Londres. Ils se sont rencontrés lors de leurs études, à New-York, ma mère étudiait la littérature et mon père la justice, ils se sont retrouvés à une même fête, organisé par des étudiants pour fêter la fin de la seconde année d'études et d'après ma mère, ce fut le coup de foudre. Ils ne se sont plus quittés depuis leur rencontre, c'est le genre d'histoire qui fait rêver. Après que mon père soit devenu avocat et ma mère professeur d'anglais dans le secondaire, ils sont restés à New-York ils se sont mariés et m'ont eu trois ans plus tard.


Je suis fils unique et ça me va ainsi, je crois que mes parents voulaient qu'un seul enfant, en tout cas, je n'ai manqué de rien. J'étais un assez bon élève, surtout en anglais, ma mère veillait à ce que mes notes en anglais soient excellentes et heureusement pour moi, je m'en sortais relativement bien, c'était ma langue maternelle en même temps même si, à son goût, j'avais plus l'accent américain que britannique. J'ai développé une véritable passion pour l'histoire antique, avec l'anglais, c'était la matière où j'avais les meilleurs notes. Je m'en sortais pas trop mal en sciences et en mathématiques, pour les autres matières, j'étais dans la moyenne sauf dans les langues, j'ai appris l'espagnol et le français, quelle galère, surtout le français, c'est quoi cette manie de mettre des s à la seconde personne du singulier ? Ils peuvent pas faire comme nous et en mettre à la troisième personne du singulier. Enfin bref, la question n'est pas là, j'aimais pas les langues étrangères et j'aime toujours pas ça.


Je voulais être policier quand j'étais petit puis ensuite vétérinaire, j'étais partit pour ça, j'allais m'engager dans un bac scientifique mais mon professeur d'histoire, apprenant ça me dit que j'avais tort de faire ça et me conseilla de tenter un bac littéraire pour devenir professeur. Il avait bien vu que j'adorais apprendre l'histoire à mes amis qui n'y comprenaient pas grand-chose et encore moins ma fascination pour cette matière. Sauf que je voulais devenir vétérinaire, soigner les animaux. Sauf qu'être vétérinaire, c'est aussi abréger les souffrances d'un animal en l'endormant pour toujours, j'avais trop souffert quand le vétérinaire avait endormi mon lapin quand j'avais 10 ans et je savais que chaque euthanasie m'attaquerait le moral. Je suivis donc le conseil de mon professeur, à la grande joie de ma mère, ravi que je choisisse le littéraire et l'enseignement comme elle. Sauf que je visais plus haut, après mon diplôme, je continuais en master Recherche puis en Doctorat Recherche, je passais le diplôme du concours de maître de conférences et après cinq années à être maître de conférences, je passais le diplôme du concours de professeur d'université que j'obtins. Voilà comment je me suis retrouvé professeur d'université, ça fait quelques années que je suis enseignant et j'adore ça. Au moins, je rencontre des étudiants qui adorent aussi l'histoire. Hormis ça, je possède depuis trois ans un berger allemand femelle qui s'appelle Fire et qui est adorable.


J'ai dû user de mon amitié avec un historien reconnu pour mettre fin à une histoire qui aurait pu me coûter mon diplôme de professeur d'université. Un concurrent à fait croire que j'avais payer des pots de vins au jury pour qu'il me le donne, c'était faux, j'avais passé mon diplôme sans soudoyer le jury. Après une rapide enquête, j'ai étais disculpé du moindre soupçon et ais pardonné à ce concurrent qui espérais juste prendre ma place. Il n'a pas réussi et a quand même était reçu. Je n'ai fais que mine de lui pardonner. Mon ami historien a fait une rapide recherche à ma demande et à découvert que ce concurrent avait lui payer des pots de vins, tout le monde l'ignorait mais mon ami a, involontairement bien sûr, révélé cette nouvelle au rectorat. Inutile de vous dire que le recteur n'a pas du tout apprécié cette nouvelle. Il a était viré et a même dû me payer des dommages et intérêts pour avoir fait courir ce genre de rumeurs sur moi. Il faut pas me chercher, je suis rancunier et on finit toujours par me payer. La vengeance est un plat qui se mange glacial avec moi.


Je suis mariée depuis 24 ans à ma femme, elle était dans la même promotion que moi, en justice, comme mon père, mon père l'a de suite adoré d'ailleurs, ils avaient des discussions auxquelles ma mère et moi ne comprenions rien mais bon, ce n'était pas grave. Ont s'est rencontrés grâce à mon meilleur ami qui sortaient avec sa meilleure amie, ont étaient obligés de se voir du coup, ils se sont séparés depuis mais pas ma femme et moi ne nous sommes plus quittés depuis. Ma femme m'a soutenu dans tout mes diplômes, supportant mon agressivité lors des révisions pour les concours et ma joie à chaque réussite. Je ne la remercierais jamais assez pour ça. Malgré la confiance entre nous, elle ignore, tout comme le reste du monde que j'ai déjà eu une histoire, courte et cachée avec un homme avant de la rencontrer. Tout le monde me penser hétérosexuel alors qu'en réalité je suis bisexuel. Même si la passion des débuts à laissé place à une routine tranquille, je l'aime toujours autant et pourtant, j'ai réussi à être attiré par un de mes étudiants. C'est la première fois que je suis attiré par une personne que ma femme et ça me trouble, il me trouble. Il, c'est un étudiant plus jeune que moi et plus âgé que la plupart de mes étudiants mais j'ai craqué sur lui, réellement, j'ai bloqué en le voyant entrer dans l'amphi, ses cheveux blonds/châtains, ses yeux bleus et ce corps que je devinais musclé ont temporairement éclipsé ma femme de mon esprit. Je me déteste de ressentir ce genre de chose. Je n'ai pas le droit de ressentir ce genre de sentiments pour un étudiant, c'est interdit, enfin ce qui est surtout interdit, c'est d'entamer une liaison avec lui. Je ne sais pas son orientation sexuelle et c'est mieux ainsi, si j'apprenais qu'il aimait les hommes ou les deux, je serais capable de tenter quelque chose avec lui et je n'en ai pas le droit, je risquerais de perdre mon job et j'ai trop bossé pour le perdre pour les beaux yeux d'un étudiant. Des étudiantes ont déjà tenté de me séduire mais j'ai réussi à repousser leur avances, elles espéraient seulement des meilleures notes mais c'est différent avec lui, là, c'est moi qui suis tenté de lui faire des avances mais je tente de rester professionnel et de l'oublier dans les bras de ma femme. Seulement, dès que je le vois, j'oublie ma femme, me rêvant dans ses bras et si je n'en suis pas au point de m'imaginer avec lui quand je suis dans les bras de ma femme, ce n'est qu'une question de temps, j'ai déjà failli lâcher son prénom plusieurs fois et je ne veux pas faire souffrir ma femme et pour ça, je dois l'oublier mais je n'y parviens pas. J'essaie mais je n'y arrive pas et ça me bouffe même au boulot, je commençais à engueuler mes élèves, chose que je ne faisais jamais et mon supérieur m'a parlé des plaintes des élèves et m'a ordonné de laisser mes problèmes privés chez moi quand je lui ai dis que j'avais des problèmes avec ma femme, sauf que mes problèmes privés sont devant mes yeux à chaque cours. L'attraction qu'il a sur moi est horrible, je rêve de me noyer dans ses yeux, de défaire sa coiffure parfaite avec mes mains, de dévorer ses lèvres tentatrices des miennes, de caresser et de connaître sur le bout des doigts son corps musclé, de le posséder, de lui obtenir et bon sang, vous verriez ses fesses, même un ange se damnerait pour ses fesses.
lèmes privés sont devant mes yeux à chaque cours. L'attraction qu'il a sur moi est horrible, je rêve de me noyer dans ses yeux, de défaire sa coiffure parfaite avec mes mains, de dévorer ses lèvres tentatrices des miennes, de caresser et de connaître sur le bout des doigts son corps musclé, de le posséder, de lui obtenir et bon sang, vous verriez ses fesses, même un ange se damnerait pour ses fesses.