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"Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi"

GOOD MORNING AMERICA :: Once upon a time
 :: A way to New York :: Welcome to New York
Nikolaus Krämer
Wall
J'ai posté : 676 messages et j'ai : 137 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Charlie Hunnam et pour finir je crédite : Magma. (ava) bat'phanie (sign)

Nikolaus Krämer
Mar 2 Avr - 23:06

Nikolaus Krämer

Hope is lost, Dreams are broken, Failure is written on my face, I cannot find a place, Where I can gather those shattered pieces of grace --------- ✹

Informations personnage


Nom : Krämer Cramé lel
Prénoms : Nikolaus  
Date et lieu de naissance : 12 Janvier 1986, Munich
Age : 33 ans
Nationalité : Américain
Origines : Allemandes
Orientation sexuelle : Il a une véritable tête de cochon. Surtout à son âge, quand on a passé une bonne partie de sa jeunesse à "fantasmer sur les courbes". Mais bon ça c'est ce qu'il dit. Il ne compte pas avouer de si tôt qu'il avait un fixe sur un humain plus que l'autre à son écran, à regarder des trucs coquins. Il est prit, entre sa curiosité brûlante de tenter le coup avec un homme et celle de se la refuser parce qu'il n'assume pas du tout. Enfin tenter le coup sans tricher. Car l'alcool parfois, vous savez. Autant on l'aime, autant il la déteste profondément lorsqu'il en abuse. Rien de palpitant à se réveiller et oublier pourquoi on est là, dans les bras d'UN autre. Ça non plus il n'assume pas. De toute manière c'est le back out total par la faute de l'abus lorsque ça arrive. Alors qu'il refuse de voir que c'est bien parce que ses filtres n'existent plus et qu'il se laisse attirer vers ses préférences.
Statut civil : Il fut jadis promis à un mariage. Aujourd'hui il peut se permettre de respirer un peu mieux, depuis peu. Il n'aimait pas la bague au doigt, il n'aimait pas cette idée de forcer son coeur. D'autant plus que c'était arrangé, comme dans le vieux temps où on avait pas son mot à dire. Il n'a jamais mis le genoux au sol pour elle, ce sont ses parents qui l'avaient fait après tout. Et si au départ il n'avait rien dit par soucis de prendre plus à coeur sa famille que lui-même, il eu le temps de réfléchir, et se dire qu'il était préférable de lui briser le coeur maintenant, que d'apprendre plus tard qu'il se cache dans un placard.
Vie sexuelle :  Il ne fait pas dans la passivité, ni la tranquillité.
Statut social : Merci à son rêve désormais éteint, s'il n'a plus à se soucis des factures aujourd'hui c'est bien grâce à sa carrière de sportif. Aujourd'hui il fait toujours de l'argent, mais l'arbre des sims n'est pas le même.
Profession(s) : Anciennement un as dans le sport de la motocross (à son plus grand malheur, car il aimerait que ce soit encore le cas). Désormais il s'est relevé avec ce petit coup de pied aux fesses et se diriger vers son autre passion : la photographie. Il tient désormais une boite de communication se spécialisant dans ce domaine.
Diplôme(s) : Spécialiste en rien du tout. Il a abandonné ses études pour se concentrer sur sa passion : la motocross.  
Année de fin d'études : Toujours en suspend.
Quartier de résidence : Upper East Side
Type de logement : Appartement qui démontre parfaitement qu'il est capable de rejoindre tous les bouts.
Avec qui vis-tu ? : Moi poisson rouge du nom de Charlie.  
Date d'arrivée à NY : Depuis quelques années déjà, soit 6 ans.
Dans quelles villes as-tu déjà vécu ? : Munich, Pittsburgh et New York
As-tu de la famille à NY ? : Oui.

Cinq défauts et cinq qualités

Au premier regard, il n'aspire pas au calinours. En même temps avec sa carrure et son air marmoréen comment penser autrement. Y'a aussi le petit côté allemand stéréotypé, bien droit, qui laisse paraître une certaine froideur et sévérité. Mais comme on dit, on ne doit pas se laisser avoir pas l'apparence. Il faut simplement prendre le temps de l'approcher, pour y connaître un homme plutôt zen, plutôt calme, qui laisse ses émotion positives sortir à travers un rire ou un sourire. Malgré son présent, malgré son passé, il tente du mieux qu'il peut de rester positif, de trouver le bon côté des choses, de rester optimiste. Il est celui qui tentera de briser les tensions, les blues, avec des petites blagues, des changements de sujets, tout en subtilité. Il aime faire de son mieux pour rendre les gens à l'aise, un atout supplémentaire à son art de la photographie. Il est un homme d'ambition, qui se fixe des objectifs, et fait tout pour les atteindre. Il n'a pas peur de travailler, de donner tout ce qu'il a pour atteindre ses buts. Les obstacles ne lui font pas peurs, mais ceux qui lui barre carrément la route sans qu'il ne puisse rien y faire son ses pires ennemies, surtout à son moral qui en prend parfois tout un coup. Il est aussi quelqu'un de loyal, qui s'attache à sa manière. Il protège les gens à qui il tient, le sentiment de famille étant une valeur importante pour lui.

Mais bien entendu, comme tout le monde, il a sa partie chiante, ses défauts, les petits trucs qui vous ferons rouler des yeux, venir chercher un petit quelque chose de désagréable chez certain, qui sait. Il est un loup solitaire, malgré qu'il soit sympathique lorsqu'on l'approche. Allez vers les autres, c'est pas son truc. Il n'a rien contre les silences, il n'est pas celui qui cherchera à tout prix à le briser. Il est d'ailleurs celui qui aura les nerfs à fleurs de peau tranquillement mais surement, si vous envahissez son espace personnel. Ou encore, si pendant un moment il sort beaucoup trop. Il va grogner, à un moment, et s'imposer un jour ou deux de solitude pour se sentir un peu mieux. Il a aussi son attirance de bien enfouis, son obstination vis à vis de son orientation, faisant en sorte de lui donner un côté bien macho, surtout envers les femmes. Pour se convaincre, sans le moindre doute, de son hétérosexualité. Il est de ceux qui gardent le silence, qui ne se plaignent jamais, qui accumulent, qui vivent leurs soucis dans leurs têtes. Il cache ses moments de faiblesses, quand ça ne va pas, devenu maître dans l'art de ce mensonge. Il est aussi quelqu'un qui ne va pas nécessairement prendre le temps de bien réfléchir avant d'agir ou de parler, plutôt impulsif dans son genre, et téméraire il le faut bien. Il n'a pas été si loin dans sa carrière de motocross armé de la raison, de la sagesse, et toutes ses choses qui bloquent plus qu'autre chose dans le sort en général. Il est aussi bourrés de petits tics. Chaque tic à son émotion, ou presque. Lorsqu'il est concentré, il a les sourcils bien froncis, nerveux, il se joue après l'oreille, pensif il se mordille les lèvres, et ainsi de suite. Il tape du pied et du crayon aussi parfois, vous savez, le truc énervant.

Autres signes particuliers

Après un accident grave, et quatre mois à l'hôpital, il va s'en dire qu'il a des cicatrices physiques. Mais non seulement, lui et sa témérité parfois légendaire dans sa jeunesse, il en a quelques unes bien vieilles sur le corps. Heureusement pour lui, parfois, ça marche bien pour charmer en faisant croire qu'il a été à la guerre hein. Il ne le fait qu'avec les coups d'un soir qu'il sait pertinemment qu'il ne verra plus jamais. Y'a pleins de touristes à NY après tout.


❝ Ma vie, mes choix

❝ Derrière mon écran


Prénom : Louis XIV
Pseudo : Pumpkin Pie
Age : Vin + Cinq
Pays /région : Canne à dents (Canada, c'est trop poussé, je sais, mais il était tard lorsque je l'ai écrit) 
Etudes/Travail :  Je cherche les épingles dans les bottes de foins
Avatar choisi : Charlie Hunnam  
Type de personnage : Scénario de Eliel V. Wade
Staff référent (si multicompte ou changement) :
Comment es-tu arrivé là ? : À pied
Avis sur le forum : Bon déjà, il est tout beau tout chaud  "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 14579777 Mais puisque je suis superficiel mais aussi autre chose, je le trouve décidément bien pour le moment, le reste je dois bien le découvrir  
Code à remplir :
Réserver son avatar (après validation et si pv ou scénario)

Code:
<pris>Charlie Hunnam </pris> <a href="http://www.good-morning-america.org/u3622" class="COLO">✖️</a> <a href="http://www.good-morning-america.org/t29394-m-l-obsession-porte-son-nom">Nikolaus Krämer</a>
Réserver votre nom et prénom OBLIGATOIREMENT
Code:
<center><div class="LESCODES">[b]PRÉNOM[/b] : Nikolaus
[b]NOM[/b] : Krämer
</div></center>




Choix n°1 : Wall Street.
Pourquoi pensez-vous que votre personnage correspond à ce groupe ? Il est ambitieux, travaillant. Il aime se fixer des objectifs, loin d'être Mr. Je reporte tout au lendemain. Il n'a pas peur des obstacles, il est accro au sentiment de satisfaction de les avoirs franchis. Il fera tout en son pouvoir pour réussir à atteindre les buts qu'il se donne. Réussir dans la vie est quelque chose d'important pour lui. Il a les deux pieds sur Terre, et croit que nous seuls sommes dessinateurs de notre propre destin. Il est inutile de prier, d'espérer, il faut se bouger le cul.

Choix n°2 : Outsiders.
Pourquoi pensez-vous que votre personnage correspond à ce groupe ? Il n'est pas fan de la foule, appréciant le silence, la tranquillité, et surtout ses moments de solitudes. Il a aussi été bien bas, depuis son accident, ne digérant toujours pas son rêve éteint. Il n'en parle pas à personne, non plus. Il digère encore, après tout ce temps, et a du mal à apprendre à vivre avec ce fait, ce trait qu'il doit mettre sur son ancienne carrière de rêve. Il a toujours l'impression de vivre un cauchemar, et qu'un jour il se réveillera.

Nikolaus Krämer
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Nikolaus Krämer
Mar 2 Avr - 23:06


❝ Bref, vie de merde.

Mon enfance elle début très loin d’ici. Dans un pays mondialement connu, mais certainement pas pour les bonnes raisons, du moins pas toujours. L’Allemagne, ce pays dans lequel j’y avais passé une petite partie de mon enfance, qui en ce jour était un peu flou pour être honnête. On avait déménagé, avant que je ne connaisse le monde des grands : l’école. Mon père qui travaillait si fort pour nous, avait trouvé une opportunité de carrière aux États-Unis, dans le coin de Pittsburgh. Fort heureusement pour nous, d’une part oui, les papiers avaient été long et un peu infernal à obtenir, comme tout le monde qui veut être américain, mais d’autre part, heureusement pour nous, tous les trois, la famille ne s’était pas brisée avec ce changement. Parce que ma mère, elle, était le petit côté doux, le petit côté artiste qui n’était pas contre, qui avait bel et bien fini par continuer de vivre de son art et de son enseignement dans ce domaine. En plus de faire des petits cours de temps en temps, en photographie, son domaine de prédilection. J’avais même le droit de venir et de l’accompagner de temps à autre. Le pire, je savais pas que je me faisais garder, j’apprenais, je m’amusais avec des inconnus qui semblaient bien m’apprécier, moi et ma grande curiosité. Je savais aussi que ça permettait à mes parents de respirer, moi qui étais le genre oui, curieux, mais gamin casse-cou aussi hein. Faut croire que la partie de nos ancêtres les singes, était beaucoup plus grande chez moi que chez d’autres. Mais y’avais pas que ça. La fameuse photographie me permettait de déconnecter de mon univers intérieur, qui détestais profondément l’école. Pourquoi? Y’avais le fait que j’avais jamais vu l’intérêt de l’école. La matière ne m’intéressait pas, j’aimais pas faire noter, alors que moi aussi ils auraient un beau F si je pouvais le faire ou plutôt C, pour caca humain hein. Bien entendu que je les aimaient pas. Y’avais aussi le fait que les gamins, ils me trouvaient drôle moi et mon accent ce qui aidait pas le reste. J’avais compris à la dure que les différences, étaient pas toujours aussi géniales que maman m’avait dit. Mais en même temps, t’avais ce filtre, de celui qui ne t’entouraient pas inutilement d’amis. Si t’en avait, tu savais que c’était les bons, qu’ils l’étaient vraiment là pour toi. J’avais même eu droit à un petit groupe d’amis bien à moi. On était devenu les trois mousquetaires, inséparables. Encore aujourd’hui d’ailleurs, on a gardé contacte, ils ont même déménagés avec moi, quand j'avais décidé de faire le grand pas vers New York. Si ça c'est pas de la véritable amitié, je sais pas ce que c'est.

Et si nous étions les trois mousquetaires, c’est bien car tous les trois, avions la même énergie. Et dans un des cas, c’était une histoire de famille. J’ignorais que le motocross existait, avant d’aller à un spectacle qui allait changer ma vie. Le grand frère qui avait accepté de nous trimbaler, au départ aux répétitions ouvertes au public mais en me voyant aller avec ma fixation comme si je venais voir dieu en personne, on avait eu droit à des billets. On était encore jeune, mais je savais ce jour là que c’était ce que je voulais faire. Vous avez pas idée à quel point j’ai cassé les oreilles de mes parents avec ça. Le vélo auquel j’avais le droit, était si peu intéressant pour moi. Ils ne voulaient pas parce que c’était dangereux, parce que j’étais trop jeune. Mais ils auraient dû deviner que j’étais comme papa, moi. J’allais faire tout en mon pouvoir pour faire ce que je voulais, même si ça impliquait d’enfreindre les règles. Je dis pas les peurs bleues que j’ai dû leur créer à mon adolescence. Je rentrais pas après l’école, j’allais là-bas regarder avec mes amis, je m’en faisait même un autre, qui trouvait ça adorable mon adoration pour le sport. Pfff. Adorable? Je vais te ramasser quand je vais apprendre tu verras, petit baveux. Ça aussi ça l’avait bien fait rire. Mais j’avais eu la chance d’avoir droit à un marché, avec lui. Il voulait bien m’apprendre, me donner des cours privés, en échange de petits billets. C’était pas con. J’usais de mon argent de poche pour lui. Mais j’avais aussi avertit mes parents de mes activités de fins de soirée, et pour les convaincre, je leur avait dit que je me faisais souvent inviter à des soirée sex drugs and alcohol. Que j’y allais pas, que je pourrais y aller, et que le motocross était tout à fait sans danger pour mon âme comparé au reste. Vous savez quoi? J’aurais presque cru que je pouvais devenir politicien à ce moment-là, tellement j’avais réussi à les convaincre. En partie, cela dit, parce que j’y consacrais tellement de temps, que j’en oubliais mes études. Et si au départ ils s’inquiétaient, je réalisais à un moment la chance que j’avais de les avoirs. Il avaient compris mon chemin, tout tracé, moi qui me retrouvait avec des notes excellente au moins, dans une matière : le sport. Ils avaient compris que j’avais une passion, ils étaient compréhensifs, et m’avaient laissé voler de mes propres ailes, en acceptant que j’abandonne mes études pour ce qui me faisait sentir vivant. Bon ils étaient pas convaincus, bien entendu, mais je crois que j’avais réussi à les convaincre, à force de me regarder aller.

Évidemment, je pouvais pas être bon du premier coup. Même si j’étais bon en sport, c’était différent que ceux que l’on apprenait à l’école. Plus difficile, avec plus de technique aussi. Bien entendu quand on regarde, le tout semble si facile, alors que ce n’est pas le cas, loin de là. Mais désormais, au moins, j’avais tout le temps de m’y consacrer, avec les études en moins. Je m’étais mis en mode intense, avec l’entraînement. J’avais fait affaire avec un coach, cette fois, pour rentrer dans des compétitions. Mon talent il se développait, je tombais de moins en moins, je m’endurcirais de plus en plus. Et vous savez? Celui qui avait tant trouvé ça mignon que je m’intéresse à ce sport, du haut de mon jeune âge? Celui qui oui certes, avait fait un marché avec moi… Et bien j’avais tenu ma promesse d’un jour le surpasser. Je l’avais fait, moi. J’avais gagné mon tout premier championnat, pour moi c’était le pied. Mais moi, à travers tout ça, j’avais pas changé. J’avais prit la peine de remercier celui qui m’avait apprit mes débuts, mon adversaire, peut-être, mais ça n’avait rien changé de ce qu’il avait fait pour moi. Je vais pas m’enfler la tête, non plus, à mentir en vous avouant qu’au départ, je les gagnaient pas tous. Ça faisait mal, oui, mais ça me poussait aussi à mettre d’avantage d’effort dans le sport, d’apprendre de mes erreurs, d’avancer. Et au fil du temps, j’ai gagné plusieurs championnats même. J’ai réussi à me faire un nom, dans ce monde. On ne m’accostait pas pour me demander où était les toilettes, mais bien pour avoir une photo, voir même un petit souvenir de ma signature. Si c’était pas la belle vie.  

Mais faut croire que si pour moi, j’étais heureux comme ça, sans être accompagné à long terme, ce n’était pas le cas pour tout le monde. J’avais beau briller dans mon domaine, avoir un compte en banque qui me donnait beaucoup plus qu’un petit coussin pour survivre… Faut dire que j’en oubliais les amours. Parce que bon, pour moi c’était pas important, comme je dis. J’ai jamais présenté la moindre fille à mes parents, j’ai jamais non plus parlé de mes doutes, de mes soirées bien arrosées, de mes réveils dans le mauvais lit. Fallait pas les inquiéter pour rien, après tout, puisque c’était un sujet tout de même délicat. On a ce type de questionnement à l’adolescence, on se dit que ça va passer. Mais j’avais passé ce cap, je pouvais plus leur parler de ça. Du moins, pas à mes yeux à moi.  Mais à travers leurs yeux, je devenais tranquillement de plus en plus vieux, et seul. À travers leurs yeux, ils s’en faisaient pour moi. J’avais pas eu la moindre conscience de leurs plans, lorsqu’ils s’étaient amusés, en quelque sorte, à me trouver une compagne. Ils avaient fouillé mon entourage, à la recherche de la fille qui irait le mieux avec moi, semble-t-il. Une douceur, avec le rêve de fonder une famille, d’avoir sa petite vie bien à elle, de vivre le rêve américain comme on dit. Ils s’étaient parlé, tous les cinq. Les deux duos de parents, et elle aussi. Mais moi, j’avais pas été dans le décors, surement occupé à autre chose, je l’ignore. Mais je dois dire que cette fameuse soirée de l’annonce de mes fiançailles forcées, y’avait eu un choc, et un froid de ma part. J’avais beau, je contrôlais pas parfaitement mes émotions. J’étais pas content, ça s’était ressenti. Ils s’étaient empressé de m’expliquer qu’ils avaient trouvés la femme parfaite pour moi, que j’allais tomber amoureux d’elle, que je devais simplement me laisser du temps. J’avais rien ajouté, parce que c’était ma famille, parce que c’était une valeur importante pour moi, et que je savais que mes parents ne voulaient que mon bonheur, et n’avaient certainement pas voulu mal faire. Mais vous savez quoi? J’aimais pas cette fille. Et même si je me la jouais totalement faux, je l’aimais toujours pas. Je n’y croyais pas. Elle m’avait fait chier, en quelque sorte, depuis l’existence de cette nouvelle. Même si c’était pas de sa faute, entièrement, je n’y pouvais rien. J’avais certes commencé à vivre ma petite vie, avec elle, en commençant avec notre déménagement dans la ville de New York, mais ce n’était qu’une nouvelle petite vie de mensonges. Et puis j’avais ma carrière qui était plus importante, qui prenait tout mon temps. Même si j’avais un nœud dans le bas de mon pantalon. Ça aussi, ça faisait chier. Mais en même temps ça me poussait vers elle. Faut croire que y’avais des bons côtés. Je croyais me sortir de mes envies qui n’avaient pas de courbes, avec tout ça. Et puis bon, elle était pas si méchante que cela. Je l’aimais toujours pas, mais au moins, on s’entendait bien. J’avais mis du temps avant de me mettre la tête dans le sable, de faire l’autruche, en me disant que peut-être bien j’allais un jour l’aimer, qui sait.

2016. L’année qui pour moi était le début de l’enfer. Vous savez, la vie, elle vous fait croire qu’elle est merveilleuse. Mais le truc c’est qu’elle vous tend un piège, quand tout va trop bien. Y’a quelque chose qui cloche. Ou encore elle a oublié de vous apporter des merdes de temps en temps, et se rattrape sauvagement. D’un coup, comme ça. Alors que ma carrière allait plus que bien, alors que ma vie se replaçait, avec ses petites emmerdes. Alors que je vivais un rêve, le plus fou, que j’avais le cœur gros la finale si proche, la ligne d’arrivée dans quelques instants encore…. Encore aujourd’hui, j’ai du mal à me souvenir parfaitement la faute à qui, ou à quoi. Peut-être moi et une fausse manœuvre, peut-être la machinerie qui avait un petit souci, peut-être que tout ceci avait été arrangé, peut-être même qu’on avait payé un type pour sabotage. J’en savais rien. J’en savais rien parce que tout était arrivé beaucoup trop vite, parce que j’avais eu si mal, que mon accident était si grave que mon cerveau m’avait subitement lâché pour que je n’ai conscience de rien. Peut-être bien aussi que j’avais simplement rêvé depuis tout ce temps, et que je devais me réveiller. Peut-être aussi qu’il était temps pour moi de dormir, et de vivre un cauchemar pour le restant de mes jours… Dans tous les cas, lorsque ma conscience était revenue à moi, je ne comprenais rien. Je pouvais pas bouger. Mon corps ne me faisait pas si mal parce que j’étais gelé, mais la panique était là, tout comme mon entourage entre pleur et soulagement de me voir ouvrir les yeux. Pas très longtemps. Parce que j’étais devenu ce monstre agressif qui ne comprenait pas ce qui lui arrivait, et qui refusait de comprendre. Parce que j’étais ce fou qui voulait retourner sur le terrain et finir sa course. On avait dû me calmer, j’avais dû me réveiller un peu plus tard pour qu’un courageux médecin ne vienne m’expliquer la situation. Je l’écoutais de loin, parce que j’étais sous le choc. Je refusais de le croire, je voulais m’en aller, alors certes, j’avais perdu le championnat, mais pire encore. Une fracture qui allait me clouer au lit pour des mois à venir. Moi qui croyais m’en sortir en quelques jours, un petit plâtre et ça irait. Pire encore, j’avais perdu l’usage de mes jambes. Mon outil de vie. Bien entendu que j’étais dans le déni, à leur dire qu’ils ne savaient pas de quoi ils parlaient, qu’ils devaient se tromper de patient. Mais au fond de moi, je le savais bien que c’était moi, qui devait m’ouvrir complètement les yeux. J’avais jamais autant pleuré de toute ma vie, en toute honnêteté. La douleur physique elle n’avait plus la moindre importance pour moi, parce que mon amour, ma passion, elle venait de m’être arrachée. J’étais inconsolable, dans un silence de plomb, à rendre inquiet mon entourage. Y’avais plus coopératif que moi. J’étais un patient monstrueux. Colérique la plupart du temps, qui ne supportait pas son sort. Même si j’avais accepté les faits, parce que j’avais eu le temps avec tout ce temps passé ici.  

Mais tout n’était pas perdu, comme on dit. J’avais fini par coopérer un peu plus, lorsqu’on me proposa de tenter ce que l’on appelle, la rééducation. Parce que mes jambes étaient comme celles de deadpool, coupée de la vie, et que leurs apprentissages repoussaient. Bon ma comparaison était pas des plus excellente, mais que voulez-vous. Et si je m’étais calmé, j’étais vite devenu le patient chiant. Parce que je m’étais emballé trop vite, en croyant que ça allait pas prendre de temps, parce qu’en plus, moi je voyais plus que de l’humiliation. Mon orgueil avait un mal de chien, je hurlais sur les employés parce que je refusais qu’on m’aide à me relever, qu’on m’aide tout seul. C’était le retour du silence, de l’enfermement dans on monde bien à moi, avec mes démons et mes pensées qui manquaient de couleurs. J’accumulais les deuils, du sportif qui ne pouvait plus courir. J’étais pas con, je le savais bien qu’un jour ils viendraient me voir, pour m’annoncer encore pire. Parce que j’avais aussi perdu mon outil le plus vital pour faire ma passion. Je m’étais interdit d’avoir la moindre parcelle d’espoir, parce que je parvenais au fil du temps à être capable de mettre un pied devant l’autre, sans tomber. Je voulais me réveiller de mon cauchemar, mais je n’y parvenais, étrangement, que quelques fois dans mes rêves. Et lorsque je me réveillais, c’était pire encore, quand j’avais passé la nuit à vivre de ma passion que je devais oublier. J’avais encore pleuré, comme un gamin qui venait de perdre ses parents, quand on m’avait dit que c’était fini. Que je devais oublier le motocross, que je devais mettre une croix dessus. Même si je le savais, ça m’avait fait mal. C’était la poussée de trop dans mon dos pour sombrer dans ma dépression. Cette impression que la vie n’avait plus de sens, elle qui tournait depuis si longtemps autour de cette passion. L’intérêt n’était plus là, y’avais ce vide. J’avais changé, cette année-là. Moi qui avait développé un amour pour les gens, je préférais désormais la solitude, cette tranquillité. Certes aujourd’hui, ça allait mieux, mais je suis toujours et encore en deuil, et je le serais certainement toujours. J’oublierais jamais, comme on n’oubliera jamais la mort de nos parents, à quel point ils nous manquent.

Mais à force d’être dans sa tête, et de toujours ruminer les mêmes choses, j’avais fini par arrêter de faire la sourde oreille, de laisser mon entourage et leurs petites lumières à travers moi. Si mes deux mousquetaires n’avaient pas été là, avec moi, pendant cette épreuve, je ne crois pas que je serais sortit de là, pour être honnête. La présence de mon entourage, leurs paroles, avait finalement dessiné un coup de pied sous mon cul. Un coup bien placé, qui me fit réaliser ma longue lamentation. Pire encore, que j’avais perdu une année de ma vie comme ça, dans le noir. Un temps qui était passé dans les oubliettes, gaspillées. Mais je n’étais pas trop dur avec moi, en sachant bien que je n’y pouvais rien, que j’avais eu beau tenter, la dépression ne nous quitte pas en claquant des doigts. Elle nous assomme, elle nous maintient au sol sans qu’on ne puisse rien y faire. Ça m’avait pris du temps, avant qu’elle s’affaiblisse, qu’elle me permette au moins, de me relever, qu’elle enlève ses mains de sur mes yeux, pour me laisser voir au moins, une nouvelle possibilité. J’avais oublié mon autre passion, je l’avais négligée aussi, depuis un bon moment. La photographie. Elle avait toujours fait partit de ma vie, transmise par ma mère, devenu un hobby à travers ma passion, dans mes temps libres. Je m’y remettais tranquillement, me permettant en prime de passer du temps mère fils, pour me remettre dans le bain.

Au bout du compte, un nouveau projet vint naître dans ma tête. J’avais les moyens de me créer un nouveau rêve, une nouvelle passion avec mon ancienne carrière. J’avais pris la décision de m’ouvrir une petite boîte de communication, mais certainement pas sur un coup de tête. J’avais la chance de bien être entourée, et je le voyais pleinement. Avec mon père qui travaillant dans ce domaine, me donna la formation qui me manquait, le cadre qui me guidait à travers le processus, qui m’aidait aussi à engager le bon personnel. Je ne comptais pas toucher à la finance, mais je devais engager quelqu’un de confiance. J’avais peut-être abandonné mes études, mais je n’étais pas idiot pour autant. J’apprenais sur le tas, comme on dit. J’avais mes deux parents, qui avaient toujours été là, pour m’aider à travers ce nouveau chapitre de ma vie. C’était un nouveau tournant dans ma vie, un nouveau départ. Mais ça voulait aussi dire que je devais bien le faire, ce nouveau départ et ça impliquait de faire du ménage. Je devais mettre derrière moi mon ancienne carrière, oui, mais j’avais de quoi m’occuper pour tenter de l’oublier. Toutefois, je devais aussi être honnête, avec une personne en particulier. Ma fiancée, celle qui attendait depuis des années, d’être mariée, à moi. Celle qui pour raison obscure, avait apprit à m’aimer. J’avais rompu mes fiançailles, certainement pas du revers de la main. J’étais pas complètement sans cœur. Je savais que j’allais briser le sien. Ça m’avait fait pleurer aussi, de la voir comme ça. Parce qu’elle avait été douce, parce qu’elle était une femme parfaite, mais pas pour moi. Je l’aimais pas comme elle le méritait. Je lui avais pas dit les véritables raisons. Juste que je ne l’aimais plus, que j’étais plus le même homme, que y’avais beaucoup trop de chose qui avait changé, qui s’étaient brisé, en moi. Que je ne serais jamais l’ancienne version, qu’elle ne reviendrait pas. J’avais pas voulu la briser pour de bon, en lui avouant que je l’avais jamais aimé, que j’avais jamais voulu de ces fiançailles, que j’avais dit oui pour faire plaisir à mes parents, pour les rendre heureux comme ils l’avaient fait pour moi. J’aurais dû le faire il y a longtemps de ça. Parce que plus j’avais attendu, pire c’était. Elle s’était attachée, elle m’avait aimée. Et j’étais peut-être en train de faire une crise de la trentaine, qui sait. Mais j’avais besoin de temps pour moi, entièrement, à me remettre en question. Je me sentais prisonnier de moi-même, moi et mes attirances. Je savais bien que je me bloquais moi-même, que ce n’était pas complètement le fruit du hasard, ou des abus alcoolisés de temps en temps, qui faisait en sorte que je termine mes soirées et mes nuits dans le lit d’un autre. Je me sentais bien, comme ça, mais tellement mal au réveil. J’avais du mal avec ma peau, j’avais du mal à complètement l’accepter, et ça m’avait pris des années avant que la simple idée de sortir du placard, ne devienne une pensée. Je devais peut-être tenter le coup, une bonne fois pour toute, pour en avoir le cœur net, sans le moindrement tricher avec mes sens, sans me cacher derrière du liquide pour devoir expliquer ce que j’appelais, mes moments de faiblesses.

Dans tous les cas, j’étais désormais un peu plus libre, je pouvais me concentrer sur ma nouvelle passion, sur mon nouveau projet devenu concret. Mais le pire dans tout ça, j’avais beau avoir une nouvelle carrière, j’arrivais toujours pas à oublier l’autre. Le deuil était toujours inachevé, persistant. J’avais même pas réussi à me débarrasser de mon bébé, je l’avais fait réparer, je m’étais obstiner à la garder, pour qu’elle prenne la poussière comme moi. Mon rêve terminé, il était devenu une obsession. J’y pensais beaucoup trop souvent, et la photographie n’était pas suffisante pour que j’arrive à l’oublier, mon nouveau boulot qui me tenait bien occupé, ne l’était pas plus, mes amis n’avaient pas la moindre chance non plus. L’alcool elle me faisait dériver ailleurs, mais parfois elle empirait ma cause. Souvent quand j’étais dans ma solitude, et que je me faisais mal à me regarder, moi, et mes exploits du passé, à caresser du bout des doigts ma motocross. C’était pas rare que je sois saoul et que je pleure mes rêves. J’avais fini par le comprendre, et tester autre chose. Je m’étais tourné vers les médicaments. Juste une fois, juste pour voir, qu’on se dit. Juste un ou deux de plus. Bon oui c’était pas totalement ok, mais quand on avait une obsession qui vous mettait de travers, et que ça fonctionnait, on rentre facilement dans un cercle vicieux. Dans lequel j’étais bien, parce que j’arrivais à oublier, pour une fois, depuis tout ce temps.  J’apprenais enfin, avec cette béquille, de vivre sans ma passion de toujours. Sauf que, je crois que je vis un peu des effets secondaires, depuis un certain temps. Je crois que les effets se font ressentir, tranquillement, et commence à me faire douter de ce moyen. La folie me semble parfois pas si loin, quand je reviens d'une soirée, et que je trouve une chemise sur mon lit. Je commence à croire que ma mémoire faiblis, quand je vois un vidéo pas très catholique, que j'étais pourtant certain de l'avoir arrêté un peu plus tôt, ouvert sur mon ordi. Je devrais peut-être aller consulter un médecin. J'avais aucune idée de ce qui m'attendais vraiment, derrière tout ça...


Jayden Moore
wall admin
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Jayden Moore
Mar 2 Avr - 23:08
Mais ce titre, jpp de toi "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 508197952

Bienvenue officiellement, toi ! love2  Happy de te voir par ici hola

"Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" Tumblr_m60pbyOCRm1r19grpo5_250
Eliel V. Wade
zeta admin
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Eliel V. Wade
Mar 2 Avr - 23:11
Ce titre, cette bouille, A LED "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 3497505641 "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 3497505641

"Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" Tenor

DONC bienvenue officiellement parmi nous, je l'ai déjà dit mais je suis TROP contente que tu prennes ce scénario, je suis sûre qu'on fera de grandes choses ensemble sadique
Sinon sinon, n'hésite pas si jamais tu as des questions / interrogations / envie de câlins ou de blagues foireuses, je suis à ton entière disponibilité "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1938683332
Oh et hâte de lire tout ça tout ça "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1532392579
Nikolaus Krämer
Wall
J'ai posté : 676 messages et j'ai : 137 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Charlie Hunnam et pour finir je crédite : Magma. (ava) bat'phanie (sign)

Nikolaus Krämer
Mar 2 Avr - 23:16
I know you love it when I'm naked *insérer le smiley de fesses se dandinant ici*

"Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" Tenor

Je pouvais pas juste pas passer à côté d'un lien pareil ! (Comment personne l'avait, je suis surpris "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1938683332 Mais tant mieux pour moi  "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 2766209588  ) Il est clair que nous ferrons de bien grandes et longues choses ensemble  hola

Merci beaucoup à vous deux et je prend note si j'ai des questions !
Anonymous
Invité
Mer 3 Avr - 11:18
Je me marre en lisant que ton poisson rouge s'appelle Charlie en sachant qu'IRL je m'appelle Charlie "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1994072227

Bienvenue officiellement hola

Maintenant on arrête de rire, j'attends sagement que tu termines ta fiche là !

"Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" Giphy

Anonymous
Invité
Mer 3 Avr - 11:39
Bienvenue parmi nous !

Excellent choix de scénario !
Courage pour ta fichette !
Nikolaus Krämer
Wall
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Nikolaus Krämer
Mer 3 Avr - 17:09
@Jacob E. Peters Ça, c'est pour toi Jacob  "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1592557089  :ptdr: (Si je te croise sur la cb je vais te dire HEEEEEEEYYYYY CHARLIEEEEE HEEEEEEY ) jpp

Ce gif, je promet de faire de mon mieux pour faire vite vite  "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 751680791


Merci à vous deux pour les bienvenues "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 2584581325 "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 3393714535
Ellen C. Rodriguez
beta admin
J'ai posté : 1655 messages et j'ai : 719 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Mimi Elashiry et pour finir je crédite : Avatar par Thinkky & Signature par Beylin.

Ellen C. Rodriguez
Mer 3 Avr - 17:43
Yooooou "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 3141462878 (Tavu, jte l'ai mis vu qu'il fallait l'insérer plus haut "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" Icon_arrow )

Bienvenue officiellement parmi nous c'est un plaisir de voir ce scénario de dingue enfin tenté "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 201132147
J'ai hâte d'en lire plus sur ce personnage qui promet tellement puis t'es quand même pas dégueulasse hein... Ellen s'est s'entourer "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" Icon_arrow

Bon courage pour terminer ta fiche, fait nous rêver "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1755252224 "Can I help you?" "No I just waited in line for 30 minutes to say Hi" 1755252224
Mia L. Kingsley
Broad
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Mia L. Kingsley
Mer 3 Avr - 18:11
bienvenue sur le forum :D
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