J'ai posté : 5639 messages et j'ai : 783 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : StephenHOTJames et pour finir je crédite : Avatar by unreleased & profil, signature by moi, gif tumblr,♥
Ivar H. Kovacs
Sam 20 Déc - 18:22
Ivar Hendrix Kovacs
And the tears come streaming down your face When you lose something you can't replace When you love someone but it goes to waste Could it be worse Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you --------------------- ✹
Informations personnage
Nom : Kovacs Prénoms : Ivar Hendrix Date et lieu de naissance : 04 Mai à Sopron, Hongrie. Age : 28 ans Nationalité : Hongroise Origines : Anglaises Orientation sexuelle : Terrain plus communément appelé bisexuelle Statut civil : Célibâtard. Vie sexuelle : Dépourvu de toutes chaines Statut social : Pauvre Profession(s) : Mécanicien en couverture, dealer et Pick Pocket, si on peut appeler ça un métier. Dilôme(s) : Il n'a même pas eu son bac. Année de fin d'étude(s) : Ca remontre à longtemps. Quartier de résidence : Queens, Jamaica Type de logement : Un loft partagé avec plusieurs autres personnes. Avec qui vis-tu ? Mon chien et mon chat. Date d'arrivée à NY : Il y a quelques années. Dans quelles villes as-tu déjà vécu ? Sopron et Budapest. As-tu de la famille à NY ? : Oui, mes deux frangines Irina et Livia ainsi que mon petit frère Abel.
Cinq défauts et cinq qualités
Égocentrique, violent, insensible des fois frôlant le stoïcisme, possessif, bagarreur, sarcastique. Protecteur, généreux, fidèle en amitié, souriant, intelligent
Autres signes particuliers
Son corps en entier est orné de tatouages en tout genre.
❝ Ma vie, mes choix
❝ Derrière mon écran
Prénom : Eya Pseudo : Phantasmagoria Age : Pays /région : Etudes/Travail : Avatar choisi : Stephen HOT James Type de personnage : Tout directement sorti de ma petite tète. Comment es-tu arrivé là ? : Je suis admin pardi Avis sur le forum : L'est moche
Il est maintenant temps pour vous de choisir un groupe. Nous vous donnons rendez-vous sur l'annexe des groupes pour en apprendre plus sur les groupes disponible sur GMA.
Vous avez le choix entre deux groupes.
Choix n°1 : Times Square Pourquoi pensez-vous que votre personnage correspond à ce groupe ? répondre ici. Inter has ruinarum varietates a Nisibi quam tuebatur accitus Vrsicinus, cui nos obsecuturos iunxerat imperiale praeceptum, dispicere litis exitialis certamina cogebatur abnuens et reclamans, adulatorum oblatrantibus turmis, bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores.
Choix n°2 : répondre ici. Pourquoi pensez-vous que votre personnage correspond à ce groupe ? répondre ici. Inter has ruinarum varietates a Nisibi quam tuebatur accitus Vrsicinus, cui nos obsecuturos iunxerat imperiale praeceptum, dispicere litis exitialis certamina cogebatur abnuens et reclamans, adulatorum oblatrantibus turmis, bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores.
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Ivar H. Kovacs
Sam 20 Déc - 18:22
❝ Bref, vie de merde.
reprenons les chemins d'ici, chargé de mon vice, le vice qui a poussé ses racines de souffrance à mon côté, dès l'âge de raison – qui monte au ciel, me bat, me renverse, me traîne. • RIMBAUD
« Le cercle des enfants perdus.
« Je suis désolée. » Elle est désolée. Elle et ses grands yeux larmoyants. Elle et sa bouche hantée d’un rictus de remords. D’un désespoir feint. Elle et son expression d’une profonde mélancolie. Je la regarde, je la sonde et je la juge. Elle ne peut pas être désolée. Elle ne peut pas être alimentée par les regrets. Elle est la seule et unique responsable de cette situation. De notre situation. La vie est constituée de choix, elle, elle n’en a fait que les mauvais. Pourtant, elle était douée. Elle descend d’une famille anglaise respectée dans ses contrées. Elle avait un bon poste dans une quelconque société mais son cœur, son cœur l’a aveuglé, la rendant égoïste et pécheresse. Mes deux sœurs pleuraient, tirant sur son haut à moitié déchiré. Mon petit frère restait à mes cotés, il essaie de rester fort, ce petit bout d’homme. Il essaie mais succombe à la tentation de la boule qui se trouve coincée dans sa gorge. On appelle ça les larmes. Elle est la raison de notre désarroi, de notre présence dans cet endroit lugubre où des gens à lunettes nous observent comme étant des déchets de la société. Et on était des déchets venus au monde d’une seule et unique mère mais de différents pères. Pères qu’on ignore l’existence. Elle a choisit la facilité après avoir impudiquement ouvert les cuisses à son patron, à son collègue de travail et à un junkie des rues. Elle a préféré nous remettre aux mains du gouvernement parce que je cite, elle n’a plus les moyens de faire vivre ses quatre enfants. Ses bouts de chairs sortis tout droit de ses entrailles jusqu’à devenir des petits êtres humains perdus. Condamnés à vivre comme elle l’entend, dans un centre pour orphelins. Notre mère se trouve à quelques mètres et pourtant, aux yeux de tous, on est dépourvus de parents. Le moment des adieux sonne mais je reste en retrait. Je ne veux pas me glisser dans ses bras et lui donner la satisfaction de penser avoir fait le bon choix de nous confier à ce centre. Elle me regarde. Elle ouvre les bras, m’invitant silencieusement de venir me blottir contre elle. Je l’observe en plissant les yeux avant de couler un regard vers mon frère et mes sœurs en larmes. Je leur tends les mains qu’ils se pressent de prendre avant de lui tourner le dos. De tourner le dos à cette femme que j’ai jamais compris. Celle à qui je ne pardonnerai jamais sa lâcheté. Je lui tourne le dos en me jurant ne plus jamais la revoir et surtout en priant silencieusement de prendre soin de mon petit frère et sœurs. Je lui tourne le dos, oubliant petit à petit les courbes fines de son visage, la couleur ébène de ses cheveux. Oubliant petit à petit que j’ai eu une mère.
« Le cercle s'agrandit
« Allé viens Ivar ! Ca va être géant ! » Je soupire face à la moue enfantine de Kristoff. Cet homme enfant est un menteur indomptable. Chaque petit mot qui sort de ses lèvres est une invitation aux emmerdes et je suis faible. Il me traine toujours dans ses brindezingues sans que j’ai mon mot à dire. Je savais qu’un jour, ses inepties me feront perdre le peu de bon sens que j’ai acquis. En même temps, que me reste t-il ? Mon frère a été adopté quelques jours après avoir été placé dans ce centre d’orphelinat. Son visage angélique a eu raison d’un couple âgé qui voulait s’occuper d’un petit garçon de 4 ans. Il est partit. Ses pleurs résonnent encore dans mes oreilles. Ils m’ont hanté durant des nuits entières avant que les cris de mes sœurs ne viennent en ajouter une couche. Au bout d’un an, je me suis retrouvé seul entre les couloirs trop blancs de cet établissement. Ma chair est partie dans différentes familles d’accueil, me promettant de ne jamais m’oublier. J’ai souris et je continue de sourire à leur naïveté. Bien sûr qu’ils m’oublieront. Moi, leur grand frère âgé à présent de 18 ans. Je n’ai jamais été adopté. Les familles ne voulaient pas d’un grand gamin perturbateur, aux yeux intimidants. Alors je suis resté dans ce centre. Accumulant les bêtises sous le regard impuissant de mes instituteurs. Ils disent que je suis intelligent. Qu’avec un peu de volonté, ma vie prendra un cours insoupçonnée. Mais j’ai toujours refusé de me plier à leur volonté. De suivre à la lettre le chemin olympien qu’ils ont tracé pour moi. Les études, ça ne m’a jamais attiré même si j’avais cette capacité d’apprendre les mots du premier coup d’œil. Je refusais tout simplement de finir ma vie dans une petite boite suffocante qui constituera un bureau de travail. Je ne porterai jamais un costard cravate en blablatant des conneries pour rendre ma vie attrayante aux yeux des autres. Les autres. J’emmerde les autres et leurs préjugés désapprobateurs. Moi je refuse de résider dans une cage aux épines écorcheuses. Je veux ma liberté. Je veux tendre mes bras au ciel et sentir la braise matinale sur mon visage sans être pressé par le temps. Moi je vis au jour le jour. Je sors, je drague, je couche à droite et à gauche, je m’occupe des petites machines de mes connaissances contre quelques petits sous. Un peu d’argent qui me permet de voir loin. Je vise loin. Après avoir perdu la seule famille qui me restait, mon Hongrie natale ne m’attirait plus. Je voulais partir, je voulais plier bagages et partir à la découverte du nouveau monde. Les états unis.
« Et il devient une réalité
A nous deux, America. Je suis enfin arrivé à toucher ce rêve des doigts. Ils sont calomniés, blessés d’un passé douteux passé dans les abysses d’une constitution parfaite aux yeux des médias. Mais la vérité en était autre. Entre des fétichistes, des violeurs et des trafiquants qui faisaient entrer les pires calamités à l’orphelinat, j’étais bien servi. Et c’est peut-être pour cette raison que ces conneries m’ont attrapé même sur ses terres nouvelles. Je suis partie aux états unis pour un nouveau départ qui sonnait tellement bien dans ma tète. Maintenant que je suis là, à vagabonder dans les rues malfamées du Bronx, à observer les sans abris, je me rends compte que je ne suis pas aussi différent de mes frères et sœurs, de ma mère. Je suis naïf d’avoir pensé à changer de vie par ici. A bosser jour et nuit pour avoir une bonne existence. Non. Quand on a rien, on devient rien. Et je suis rien. Un simple mécanicien qui se soumet à un réseau de trafic le plus secret. L’atelier de mécanique n’est qu’une couverture de ce qui se passe au sous sol. Drogue, produits illicites, j’ai longtemps fuit ces gravelures. Mais il semblerait que la seule porte qui demeure ouverte n’est autre que celle de l’obscénité, celle de la contrebande et du vol. Oui, j’ai du voler un homme qui me plaisait bien. Non pas par nécessité mais par habitude. La coutume de souiller tous ceux qui s’approchent trop près de moi. Et Jonas n’a pas été une exception. Sans réflexion, aucune, le lendemain d’une passion mutuelle et éphémère je suis partie avec son portefeuille. Et j’ai été attrapé comme une souris inexpérimentée. Il n’a pas tenu les charges contre moi vu que je lui ai rendu ses papiers. Peut-être qu’il aurait du aller jusqu’au bout car il venait de commettre une horrible erreur de me laisser errer dans les rues américaines teintées de rêves fallacieux. A peine ai-je quitté le commissariat de police que je me suis retrouvé à sa suite. A lui demander une chance. Le mensonge. J’avais tout simplement besoin d’une petite proie sur laquelle je pouvais déverser ma folie. Il était parfait pour ça. Un homme posé, professeur à Columbia, gentil à souhait. Un petit toutou ringard qui me permettrait de paraitre irréprochable aux yeux du monde. Mais ma nature est bien autre. Je vague entre la chimère d’une vie meilleure et la lassitude de vouloir l’impossible. On m’a toujours parlé du rêve américain. Une foutaise parmi tant d’autres, oui.
Invité
Sam 20 Déc - 18:31
Re Bienvenue parmi nous Good luck pour ta fiche
Invité
Sam 20 Déc - 18:37
Re bienvenue (même si ça fait bizarre de dire re à un admin qui était là avant moi ) Bon courage pour ta fiche si elle n'est pas déjà faite
Invité
Sam 20 Déc - 18:45
Rebienvenue parmi nous Quel super choix d'avatar
Invité
Sam 20 Déc - 18:46
REBIENVENUE, bon courage pour la présentation
Invité
Sam 20 Déc - 19:10
STEPHEN
Rebienvenue sur ton forum beauté Bon courage pour ta fiche
Invité
Sam 20 Déc - 19:10
reBienvenuuuuuuuuuuuuue eya d'amour
Invité
Sam 20 Déc - 19:14
Re-Bienvenue !!! Et gros poutoux pour ta nouvelle fichette