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FB - Un grand pouvoir entraîne de grandes irresponsabilités (Mieszko)

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Nikola Ivanovitch
mdm
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Nikola Ivanovitch
Dim 12 Avr - 0:32


Un grand pouvoir entraîne de grandes irresponsabilités


Si ta jambe gauche c’est Nöel, et ta jambe droite c’est le jour de l’An, on se fait une bouffe entre deux réveillons ?

« Mon cher Piotr, nous sommes ravis de travailler avec vous depuis quelques années. Vous êtes un homme de confiance. » Il esquissait un doux sourire tandis que ses opales se posaient sur son interlocuteur. Piotr Azarov. Ce dernier était le propriétaire de nombreuses boites de nuits de la ville qui ne dormait jamais. La mafia russe lui offrait protection tandis que lui leur laissait l’accès à ces établissements pour trouver des clients pour les différentes drogues existantes. Nikola était conscient qu’il valait mieux bichonner cet associé collaborant avec l’ombre depuis bien longtemps. En tant que tel, son idée viendrait appuyer cela. Tout ce qui pouvait se dérouler autour de lui disparaissait pour ne devenir qu’un torrent flou de bruit. Ils étaient dans la villa de l’homme d’affaire où se tenait une grande soirée pour son anniversaire. Des hommes politiques, des stars, des mafieux, la liste des invités demeurait variée et représentait parfaitement la population de New-York. Le russe se doutait bien qu’Azarov ne fricotait pas seulement avec eux mais aussi avec d’autres mafieux qui proposaient peut-être des accords plus intéressants. Il désirait que cela change, que leur collaboration devienne exclusive. Car c’était ainsi que l’on pouvait s’assurer de la loyauté des siens. Alors, il levait la valise et la déposa sur son bureau sous les yeux interrogatifs de l’homme d’affaires. « Un night club est en vente à Manhattan, vous n’êtes pas sans savoir que cet endroit représente une opportunité, un avantage géographique non négligeable. Cela vous permettrait de renouveler votre clientèle et la nôtre par la même occasion. C’est pourquoi nous sommes prêts à avancer les frais. » Les mots étaient dits sans une once de manipulation. Il n’était pas de ceux qui tournaient autour du pot pour proposer une alliance. Il savait que cela intéressait le vieil homme dont le regard s’était illuminé. « J’avoue que votre offre est alléchante. Mais je ne sais quand je pourrais vous rembourser. » Le sourire de Nikola s’agrandissait tandis qu’il secouait la tête. « Nous nous remboursons autrement, si l’affaire fonctionne, nous aurons droit à un pourcentage de votre chiffre d’affaires. Nous verrons cela en temps et en heure. Il y’a cependant une condition obligatoire. Nous souhaitons que vous cessiez de travailler avec les chinois qui ne sont clairement pas dignes de vous. Ce n’est pas vraiment un sacrifice au vu du profit à venir vous en conviendrez. » Abasourdi, l’homme d’affaire hésitait de longues minutes, se levant de sa chaise pour faire les cent pas et tirant plusieurs taffes de son cigare. Tout cela représentait beaucoup d’argent, beaucoup trop. L’entretien se termina finalement sur un accord trouvé, la soirée semblait débuter sous les meilleurs auspices. Avec cette réussite, Nikola était persuadé que les plus anciens seraient convaincus de sa bonne foi. Un jour viendra où il prendra les rênes de l’organisation de feu son père. Cela n’était qu’une question d’années, il devait faire preuve de patience et de succès comme celui de ce soir.

Quittant le bureau du propriétaire de la villa, il fut ravi de constater que son collègue, Dimitri l’avait attendu. Tous deux allaient pouvoir fêter cela dignement. Désormais dans le jardin, le russe se sentait dans son élément parmi toute cette richesse. La foule dansait autour de la piscine. De la drogue et de l’alcool circulaient en grande quantité, une opulence affichée dans laquelle il se sentait bien. Les femmes portaient des tenues de grand couturier et les hommes des costumes hors de prix, c’était définitivement son monde. Ce n’était que les débuts d’une très belle soirée. Débarrassé de sa mission du soir, il n’hésitait pas à boire de nombreux verres passants par-là. Les heures s’écoulaient, l’ambiance enivrante ne devenait que plus exquise. Nikola se voyait déjà revenir avec les félicitations des siens et des plus expérimentés. L’alcool dans ses veines lui faisait le plus grand bien, mélangé à du cannabis. Tout cela le plongea dans un bonheur absolu. Mais quelque peu modifiée dans l’œuf par les mots de son partenaire. « Niko, regarde là-bas, c’est pas le flic de la dernière fois ? Il est pakistanais non ? » Ses opales se posèrent sur mieszko avant de dévisager son ami. « T’es sérieux là ? Il a tout sauf la tête d’un pakistanais, il est polonais, enfin peu importe s’il est ici, c’est sûrement pas pour enfiler des perles. »  Il espérait néanmoins que cela ne le concernerait pas. De toute évidence, c'était impossible car aucune preuve n'existait pour l'accabler. Azarov non plus. Etait-ce pour les chinois ?

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Mieszko Buczkowski
Cent
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Mieszko Buczkowski
Ven 1 Mai - 0:27
Je dis jamais non aux occasions de manger

Nikola & Mieszko


Une nouvelle piste qu’il suivait depuis des semaines déjà, qui faisait travailler à la dure son esprit pour user de son imagination de manière plus efficace. Ses collègues avaient-ils eu enfin un peu de paix de ses phases de conneries? Absolument pas. Son épuisement pouvait parfois même empirer les choses, un peu comme lorsqu’on manquait tellement de sommeil que l’on fonctionnait sur l’adrénaline. Mais Mieszko ne s’en rendait pas malade à ce point. Un bourreau de travail, certes, mais qui avait deux autres préoccupations qui prenait plus de temps encore que sa nouvelle cible. Il faut croire qu’il avait un faible plus les gros criminels qui trempait à pied joie dans l’illégalité. Un besoin de les attraper, de nourrir se sentiment de fierté peut-être bien. Qui sait ? Dans tous les cas il en avait mis du temps avant de se tailler une petite place pour appliquer les premières esquisse de son plan. Il songeait d’ailleurs à son nom, qui lui faisait sentir un peu moins seul sur cette terre newyorkaise, en même temps de se dire qu’il avait l’un des qualificatif requis pour faire partit d’une mafia quelconque. C’est vrai quoi, on n’entendait jamais de : Bernardine Adhémar. Un nom simple, tout beau, qui ne vous faisait pas dire aïe parce qu’on venait de s’étirer un muscle buccal. Sa réflexion qui allait un peu plus loin encore, à se demander de quoi il aurait l’air dans un milieu pareil. Un mafieux qui faisait des blagues déplacées, et parfois sombre. Remarque qu’ils risqueraient peut-être plus de les rires que ses collègues enquêteurs. Avait-il manqué sa carrière? Quoi que non, à bien y penser. Il avait des doutes, que si ses collègues ne faisaient rien c’était peut-être car le meurtre était illégal. Et dans cet univers différent des autres, le meurtre faisait parfois partie de leurs quotidiens.

Tant de questionnement, sa tête allant bien plus loin encore que ses pas devaient réellement le mener : À une fête là où il devait prendre contact avec sa nouvelle cible. Mais il ignorait encore qu’il allait en rencontrer une autre au passage. Pour l’instant, il devait trouver le moyen de rentrer dans cette fête qui lui donnait envie d’installer un dôme pour enfermer tous ses criminels. Un à la fois, ne perd pas la tête mon cher Mieszko. Quoi qu’il l’avait perdu il y avait de cela quelques années déjà, avec son filtre défaillant compris. Bref, où en étions-nous déjà? Ah oui, il devait entrer là-dedans. Et s’il s’était fait un petit contact qui aurait pu l’inclure sans trop de mal, ce petit salopard venait d’annuler ses plans parce qu’il avait envie d’aller dans une crèmerie humaine plutôt que d’aller voir des hommes en habit et parler de business. Allait-il annuler, lui aussi ses plans? Pas le moins du monde. Il se trouve que Mieszko est un petit singe, et qu’il avait trouvé le moyen de faire son entrée par infraction en ramenant avec lui un brin de maladresse et une branche d’haie de cèdre, traitresse de ses méfaits. Il venait peut-être bien de prendre un gros risque, mais, il n’avait pas oublié que dans ce type de fête, il existait certaines substances permettant aux esprits les plus brillant de s’affaiblir et de se laisser ainsi, plus aisément duper. Car il fallait être doté d’une certaine intelligence pour survivre dans ce monde. Il savait très bien que de renier le Q.I. de ses adversaires était une erreur à faire. Après tout, Piotr devait bien l’être pour se cacher derrière des boîtes de nuits depuis si longtemps, sans avoir la police sur le dos, armée de preuves. Ça s’était son boulot. Enfin, pas ce soir, mais un autre jour peut-être, s’attaquant ce soir à plus petit.

Mie’ avait d’ailleurs commencé par se fondre dans la masse, jouer le jeu de celui qui avait sa place ici, sans pour autant prétendre être un grand. Trop facile à vérifier, après tout. Il devait jouer le jeu, pour obtenir ce qu’il voulait et ainsi éviter les suspicions. Ce qui voulait dire qu’il devait oublier son rôle de flic qui pourrait bien le trahir et accepter ce qu’on pouvait bien lui offrir sous toutes ses formes. Restant dans la douceur de la chose, bien entendu. Il devait garder sa tête quand même, et ne comptait pas non plus terminer avec la tête dans un gros sac de farine, hein. Fallait rester logique. Il avait bien réussi, au bout de quelques instants, à vendre son nom et son histoire, acceptant le fait qu’il devait avancer doucement avant de réussir à atteindre sa réelle cible.

Où était-ce la bonne? Il allait peut-être bien changer d’idée. Parce que son regard avait fini par se poser en un court instant sur une tête, ne lui accordant si peu d’attention avant que le fameux : déjà-vu ne le frappe de plein fouet. C’était le coup de foudre, comme à chaque fois. Mais ce coup de foudre qui lui prenait aux fesses et lui faisait marmonner un petit : Motherfucker en polonais. Une relation qui n’avait définitivement pas de mots et qui n’en aurait sans pas avant que des professionnels de la santé mentale ne décide de se pencher sur leurs cas. Allait-il l’ignorer? Il fallait être fou pour songer un seul instant que ce serait le cas. Notre polonais était tout sourire, le pire, devant bien apprécier, en quelque part, cette touche de défi et d’un certain amusement malsain que représentait Nikola. « Nikooo. Comme on se retrouve. » Il lui faisait des beaux yeux, comme s’ils étaient en bons termes, ouais. « J’te-laisse-tranquille-pendant-48 heures-si-tu-me-grille-pas. » Il avait dit le tout en un souffle, tout juste assez bas pour que le jeune homme l’entendent et personne d’autre. « Faut que tu me laisses bien saignant pour ce soir tu vois? » Il devait bien faire une blague nulle liant l’expression et le temps de cuisson. Évidemment. « Ou alors comme un fromage dans le frigidaire, qui ne terminera pas entre deux pains pour un grilled-cheese.   » Il pourrait y passer des heures si on le laissait continuer, sans blagues. « Ce soir, c’est roleplay chéri. J’hésitais entre Andrew ou Billy ou Bob mais je trouvais ça trop simple tu vois? Après j’me suis dit que Legolas ça pourrait être marrant, mais ça fait pas très sérieux et puis un elfe quoi. Du coup j’ai opté pour Björn. Ça fait plus exotique et compliqué, t’en penses quoi? » Sujet numéro deux sur lequel on pouvait le perdre pendant trop longtemps. S’inventer une personnalité pour des missions. Et cette fois-ci, en prime, il venait de démontrer son talent pour opter pour un accent allant de paire avec son nouveau prénom de couverture : Islandais. Il serait capable de le tenir longtemps, le pire. Un talent plutôt utile, mais tout aussi inutile. C’était peut-être son verre dans le nez, qui lui enlevait déjà les petites parcelles de bases, restant à son lobe frontal pour lui dire sans gêne ses idées à la cons. Après, à quoi bon, alors que tous les deux se connaissaient bien.
 
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Nikola Ivanovitch
mdm
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Nikola Ivanovitch
Dim 17 Mai - 19:37
Nikola n’appréciait guère voir les flics marcher sur ses plate bandes. Ces derniers n’hésitaient pas à user de manipulation pour parvenir à leurs fins. Malgré tout, jamais ils n’avaient pu trouver une quelconque preuve pouvant accabler le russe. Il fallait dire que celui-ci était particulièrement discret. Il était même prêt à orchestrer une fausse mort si la situation l’exigeait et devenir un véritable fantôme. Cette solution ne l’effrayait guère, lui qui avait frôlé la mort à plusieurs reprises. Son enfance avait forgé son caractère et cet aplomb qu’on lui connaissait bien. Face à de grands requins tels qu’Azarov. Sa carrure en imposait mais contrairement à beaucoup de jeunes de son âge, le blond ne se défilait pas, son regard ne le fuyait pas car nulle peur ne l’étreignait lors de cet échange pourtant tendu. Il le savait, les chinois lorgnaient sur lui depuis fort longtemps. L’occasion était parfaite pour s’en débarrasser et faire de Piotr un partenaire exclusif. Après tout, l’homme d’affaires était lui-même russe, alors pourquoi s’allier avec ces asiatiques dont la parole n’avait aucune valeur ? Les trahisons n’étaient pas encore ébruitées mais il le savait, les chinois n’étaient pas fiables. Nikola se voyait presque comme le messie en apportant l’aide à l’homme d’affaires. Les mots étaient sortis avec aisance, tandis qu’à l’extérieur, son coéquipier trépignait d’impatience. Ne rien entendre le frustrait énormément, il craignait que la situation ne dégénère, car avec de tels énergumènes, l’on n’était sûr de rien. Nul besoin de dire que le monde de l’illégalité ne regorgeait pas de sages hommes, mais des plus impulsifs et colériques. L’appât du gain comme seul objectif. L’ancien étudiant ne s’en était jamais caché. Il aimait les belles choses, les costumes hors de prix, les montres de marque. Se montrer avec ces choses ostentatoires le rendait heureux, c’était sa manière d’afficher sa réussite.

La soirée démarrait sur les chapeaux de roue, mais fut rapidement bafouée par l’arrivée du flic Mie qu’il reconnaissait sans mal. Pour son plus grand déplaisir, celui-ci venait sûrement pêcher du gros poisson. Etait-il là pour les chinois ? Rien n’était retenu contre Azarov, il avait l’intelligence de cacher ses réels agissements. Pour l’heure du moins, la police ne pouvait s’attaquer à lui. En tout cas, l’arrivée du policier assombrissait son regard, son sourire fier s’en était allé tandis qu’il imaginait les pires scénarios. Dans tous les cas, il ne devait pas rester ici trop longtemps au risque de voir débarquer une muée de poulets. Ceux-ci redoublaient d’attention pour coffrer tous les malfrats qui se pavaient ce soir. Une cage en prison les attendait tous, y compris Nikola. Jouer avec le feu rapportait gros, jusqu’au jour où il s’en brûlera les ailes. Une chose était évidente, Mieszko participerait à sa chute, ou en serait un simple observateur. Dans tous les cas, sa fin serait tragique, il le savait mais qu’importaient les risques, car tout cela en valait la chandelle.

En dépit de sa haine à l’égard de ce poulet, il ne pouvait s’empêcher de s’en approcher, son corps attiré par le sien. Entre haine et amour malsain, leur relation n’avait rien de normal. Les mots ne pouvaient décrire les émotions qui envahissaient le russe en cet instant. Honnêtement, n’importe quel médecin partirait en courant en voyant leurs profils. Une obsession malsaine mêlée à une certaine attirance, un cocktail explosif dont le russe ne saisissait pas tout encore. De toute évidence, Mieszko représentait le feu qui lui brûlera les ailes. Il ne pouvait refuser le jeu, celui du chat et de la souris. Il jubilait de constater que le flic n’avait aucune preuve contre lui. Il jubilait de voir son air le défier. Les méfaits de l’alcool avaient totalement disparu dès lors que ses opales croisaient celles de son meilleur ennemi. Invitant Dimitri à prendre congé, il le laissait venir à lui arborant son grand sourire insupportable. A cette vision, il aurait presque envie de le pousser dans la piscine. Ce soir pourtant, le policier n’était pas en terrain conquis. Les convives ignoraient encore sa véritable identité mais s’ils le savaient, il était évident qu’il en perdrait sa tête. Riant d’une manière forcée, le blond s’arrêtait brusquement en le fusillant presque sur place. « Que 48 heures ? Tu te fous de moi ? Je suis pas mère Theresa. Donne-moi une vraie bonne raison pour que je ne flingue pas ta couverture. » Disait-il en haussant les sourcils, affichant une mine surprise. Tel était son prix ? Cela paraissait bien peu payé pour ne pas mettre à mal son infiltration. De nouveau, le brun se perdait dans des explications insensées et beaucoup trop longues. Buvant son verre d’une traite, le russkov le dévisageait. « Que ce soit Björn ou Mieszko, ton nom est à chier. D’ailleurs, tes parents n’étaient pas bourrés pour t’avoir donné un truc pareil ? » S’il ne peinait pas à dire son prénom, ce n’était pas le cas des américains, moins habitués aux consonances de l’est. Car oui, le polonais s’approchait beaucoup de la langue de la mère patrie. Alors, totalement avec désinvolture, il glissait son bras sur l’épaule de l’agent de police, pour chuchoter. « T’es là pour choper qui ? » Sans une once de méchanceté cette fois-ci, il s’impatientait. Si ce dernier venait pour les chinois, il ne pouvait qu’être ravi de voir ses adversaires perdre la guerre. Il se pourrait même qu’il vienne en aide aux forces de police pour les coffrer encore plus vite.
Mieszko Buczkowski
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Mieszko Buczkowski
Lun 25 Mai - 18:53
Je dis jamais non aux occasions de manger

Nikola & Mieszko


Quel dommage, il avait perdu son magnifique sourire. Il n’était pas dupe et savait très bien qu’il en était la cause. Ce qui créait le sourire chez sa propre personne. Une magnifique relation classée dans… les inclassables justement, mais qui n’avait certainement rien de bien sain. Mieszko était conscient, depuis le temps, que ce jeune homme était devenu sa nouvelle obsession criminelle, sachant les conséquences que le tout amènerait en prime. Résultat? Il n’avait pu s’empêcher de signer le contrat malgré tout. Peut-être avait-il fait un pacte avec le diable, mais il n’en avait absolument rien à faire, ayant plongé tête première dans ce petit jeu sans réfléchir. Au départ, ça allait, mais désormais il était trop tard pour reculer : il en avait fait une histoire personnelle d’un jour mettre la main sur Nikola. Sur lui, et les preuves qu’il désirait tant pour le mettre derrière les barreaux. Ce pauvre homme qui n’avait rien demandé, et qui avait désormais un enquêteur collé aux baskets. Un qui était bien assez fou pour refuser de le lâcher. La preuve, malgré qu’il ne soit pas là pour lui, il n’avait pu résister à l’envie d’aller le rencontrer sans plus tarder. C’était presque inévitable de toute manière.

Il ne perdait pas de temps avant de l’agacer, tout en s’assurant qu’il ne grille pas sa couverture. Il serait très largement dans la merde si tel était le cas, pour voir tous ses efforts réduit à néant. Il aurait pu s’arrêter aux négociations, mais puisqu’il avait la voie très libre, désormais seul avec lui, il n’avait pu s’empêcher d’en rajouter avec ses conneries. Quoi qu’il n’eût pas besoin d’excuses pour ce faire, lui et son trouble au lobe frontal. Et lui, il avait rigolé d’une manière belle et bien véritable. Il était chiant comme ça, Mie. Le genre de personne qui ne réagissait jamais face aux insultes, inatteignable sous ce point en particulier. Il avait même l’art d’empirer l’insulte, tout pour enlever d’autant plus le bonheur des attaquants. « Non mais c’est quand même deux jours. Je ne suis pas mère Theresa non plus. Après je suis ouvert aux négociations. Tu veux quoi en échange? » On ne savait pas vraiment s’il était sarcastique ou pas, un autre truc chiant avec lui. Était-il un véritable idiot ou jouait-il à un autre jeu? « Fait attention à ce que tu demandes. » Ne comptez pas sur lui pour l’aider à deviner les attrapes qu’il pourrait bien lui tendre. Il avait devant lui, un homme qui savait tout aussi bien tourner les choses à son avantage, ou faire en sorte que Nikola regrette ses choix. Ou peut-être bien tout simplement car il n’avait aucun talent dans la demande en question, qui sait. Genre une faveur sexuelle. Il n’avait pas la moindre idée de comment ce truc pouvait fonctionner avec deux personnes du même sexes. Un sujet bien peu développé dans sa curiosité, faute d’être bien souvent occupé par autre chose pour se pencher là-dessus. Comme dans l’expression hein.

La preuve, il n’y avait même pas pensé, s’amusant plutôt à lui partager les plans de sa nouvelle identité. Un nouveau rire de sa part, l’attaque passant comme sur le dos d’un canard. « Même pas! Ma mère a perdu pied sur le sol glissant et est tombée tête première dans un clavier. C’est plus original que ton histoire d’alcool. » Il savait très bien que les américains n’avaient aucun talent pour prononcer son nom, subissant le sort du surnom de Mike. Ça ne lui dérangeait pas plus que cela. Ce n’était pas comme s’il avait fait ce choix. « Au moins Mie’ ça se crie bien. » Il parlait de quel type de contexte? Aucune idée. Il n’avait pas spécifié non plus. Il avait bien la tête ailleurs de toute manière, par la faute de l’autre qui avait décidé sans son consentement de le toucher en les rapprochant de la sorte. Sa réaction première ? Le renifler et ignorer sa question. « T’as vraiment mis le paquet ce soir. » C’était certainement un compliment pour lui dire qu’il sentait bon. « Ce qui est bien avec toi, c’est que t’es un criminel fancy. » Ça faisait partie de la game d’être enquêteur, d’avoir son nez violenté par les gens si peu fréquentable visuellement, mais aussi par l’odeur. « C’est plus agréable de te suivre que de suivre une poubelle, quoi que plus difficile. » Allait-il un jour répondre et cesser de s’évader dans un truc aussi futile? « Quoi que c’est efficace aussi. Ça brouille les pistes et on termine dans un dépotoir. » Tout ça, à cause d’un parfum. C’est homme était terrible oui. « Je vais te donner des indices. Si tu trouves mon nom compliqué, je suis encore moins capable de dire le leur. Et puis indice numéro deux. » Et le voilà qui ne se gênait pas pour carrément toucher le visage de Nikola, et de rapidement étirer ses yeux pour imiter grossièrement les yeux asiatiques. Qu’un bref instant, avant de rigoler. « J’ai pratiqué mon accent toute la semaine, tu veux entendre? » Un autre de ses talents inutiles. Ou utile, parfois, lorsqu’il était plus jeune et qu’il faisait affaire avec un client désireux de poser un plainte conter lui, imitant la voix de son patron pour que le tout ne parvienne jamais à ses oreilles.
 
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Nikola Ivanovitch
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Nikola Ivanovitch
Dim 7 Juin - 13:22
Il le savait pertinemment que cette soirée prenait un tournant désagréable. Pourtant, il était prêt à fêter son succès, plein d’entrain jusqu’à ce que l’arrivée du flic ne brise ses maigres espoirs. Ne pouvait-il pas être tranquille de temps en temps ? Pourtant, cette relation ne se limitait pas à cela, Nikola ne pourrait l’expliquer, mais son corps se voyait toujours attiré par le polonais dont le nom restait imprononçable pour le commun des mortels. Un jeu dangereux s’installait entre eux, un jeu dans lequel le russe se perdait. Il adorait fanfaronner devant le poulet sans qu’une seule preuve ne puisse le mettre derrière les barreaux. La frustration était alors totale. Il le savait que cette course ne durerait pas. Un jour ou l’autre, Mieszko parviendra à récolter des preuves tangibles pour le coffrer. Et lorsque cela arriverait, le jeu serait terminé ainsi que sa vie, très probablement destiné à la finir en prison. Le russe n’ignorait pas le danger, mais il n’avait pas hésité à sauter tête baissée dans le jeu. Et puis désormais, le policier ne paraissait pas prêt à lui lâcher les miches. Dans tous les cas, tout cela terminera très mal. Une issue tragique les attendait, digne des plus grandes œuvres de littérature. Pour l’heure, Niko se complaisait à ce jeu si grisant, si jouissif. Parfois, il se demandait s’il était normal, si ses parents biologiques ne l’avaient pas créé avec des gènes foireux. Toujours à flirter avec le danger, toujours. Alors oui, c’était sûrement ça, il ne voyait aucune autre explication à sa déviance et à ce comportement destructeur.

Le flic n’était pas en terrain conquis. Le monde qui l’entourait ignorait encore sa véritable identité, ce qui le plaçait dans une position délicate, désavantageuse même. Nikola savait pertinemment que tout pouvait basculer s’il décidait de dire la vérité. Finalement, il avait le destin de cet abrutit entre les mains. Que c’était bon ! Il avait le pouvoir de vie ou de mort. Il titubait presque de joie en songeant à tout ce qu’il pourrait lui demander en échange. Des faveurs sexuelles, des trucs humiliants, un tas d’idées parvenaient dans son esprit dérangé. Il trépignait d’impatience, comme un enfant à l’idée de lui dire ce qu’il désirait. Ses opales pétillaient d’un amusement non négligeable tandis qu’il se décidait enfin à formuler sa phrase. « Suce-moi. » Disait-il en le fixant avec sérieux, avant d’éclater de rire. « Oh tu verrais ta gueule, c’est exceptionnel. » Puis, il arrêtait aussitôt de rire pour arborer de nouveau un visage grave pour lui faire comprendre que cette blague n’en n’était pas vraiment une. Jouer. Il adorait, beaucoup trop et voir ses réactions l’amusait d’autant plus. Lui non plus n’avait pas une grande expérience sur comment ça fonctionnait entre deux personnes de même sexe. Les rares occasions étaient advenues à des soirées bien trop arrosées pour s’en souvenir. Il aimerait que ça change, avoir de réels souvenirs.

Le toucher ainsi le rapprochait, l’invitant à avouer les vraies raisons de sa venue. Mais comme d’habitude, le brun n’en faisait qu’à sa tête, déviant la conversation, ce qui avait le don d’agacer le blond qui resserrait son étreinte, son bras autour de son cou. « Nikola ça se crie bien aussi il me semble. » Soufflait-il avant de d’hausser les sourcils. Venait-il réellement de renifler son parfum ? « Bordel t’es un clébard ou quoi ? » Il était vrai que le russe appréciait les belles choses, les beaux costumes, les parfums, tout cela était hors de prix. « La poubelle doit te rappeler d’où tu viens. » Sourire carnassier tandis qu’il venait de lâcher une énième provocation. Il ne pouvait s’en empêcher, et puis il fallait avouer que Mike y répondait parfaitement. Il était très réceptif, un peu trop même. Le voilà qui tirait ses yeux pour imiter ceux des asiatiques, grossièrement. Les Chinois, il venait donc pour eux et non Azarov. Quelle bonne nouvelle pour lui qui ne souhaitait que la chute de ces derniers. « Oh tu viens pour les chinois ? Je serais ravi de t’aider ! Ces faces de citron sont partout. »
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