Ici, c'est dans une reproduction d'une salle de bain sanglante que vous vous retrouvez. Les deux mains menottées l'un à l'autre, vous découvrez un corps inerte au milieu de la pièce, un mannequin évidemment, mais ça, vous ne pouvez pas en être sûr tant que vous ne vous en approchez pas. Vous l'aurez compris, vous venez d’atterrir dans l'univers de Saw, et votre vut sera de comprendre comme réussir à sortir d'ici, seul ou à deux... Votre partenaire sera-t-il votre allier ? Ou bien votre ennemie, la peur nous fait parfois faire de drôle de chose et prendre d'étrange décision...
Afin de pouvoir prétendre à sortir de cette pièce, il va vous falloir réaliser des petites actions, 3 actions par participants plus précisément. Les actions sont à choisir dans la liste qui suit, mais attention il y a tout de même une petite réglementation.
1. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule action par réponse 2. Chaque action n'est utilisable qu'une seule fois par rp, ce qui signifie que si votre partenaire en a choisi une, vous ne pouvez prendre la même. 3. Si jamais vous avez déjà participé aux jeux dans un précédent rp, vous n'avez pas le droit de réutiliser les actions que vous avez déjà fait.
Comme vous le voyez, rien de bien compliqué, mais c'est important tout de même !
Une fois que vous avez réussi à réaliser vos 3 actions par participants, alors nous vous pouvez poster dans le sujet prévu à cet effet et ainsi demander la suite des évènements.
Liste des actions réalisables
- Tu trouves une note ; la clé des menottes est bel et bien dans cette pièce. Tu décides d'aller la chercher sans compter sur votre partenaire qui ne désire en aucun cas s'aventurer plus loin, là où des ombres passent et des sons étranges vous font sursauter.
- Tu ne sais pas encore que le corps au centre de la pièce est un mannequin mais tu vois un papier sortir de sa poche et tu penses que cela peut vous servir pour la suite, tu essaies de t'en approche, mais tu ne cesse de laisser entendre toutes les insultes qui te passes par la tête pour évacuer la panique qui t’envahis.
- Reconnaissant l'univers de Saw, et sachant très bien ce qu'il se passe dans le film, tu décides de faire croire à ton partenaire qu'il n'y a aucun clé pour ouvrir vos menotes, que la seule façon de s'en défaire, c'est de vous couper les mains avec la scie (en plastique) que tu aperçois au loin et tu l'entraines vers celle-ci.
- Pris de panique, tu te mets à secouer tes mains dans tous les sens comme pour te calmer, oubliant alors totalement que tu es menotté à quelqu'un, lui arrangeant alors les poignets par la même occasion.
- Tu ne fais pas attention aux gestes de la victime coincé avec toi, tu observes partout autour de toi et sans même le faire exprès, alors que cette personne cherche à aller dans un sens, tu te mets à bouger dans le sens inverse, vous retrouvant tous les deux coincés par vos bras.
- Comprenant qu'il faut bouger le cadavre pour trouver des indices, tu proposes à ton partenaire de t'aider, mais sans que tu saches ni comment ni pourquoi, vous voilà alors coincé avec le mannequin sur les bras, sans plus vraiment pouvoir bouger.
- Une musique d'ambiance tourne en boucle, et cela te fait péter un plomb. Tu te mets à insulter la musique, le jeu et même ton partenaire sans même t'en rendre compte.
- Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.
- Le mannequin au milieu de la pièce se met à bouger, tu ne comprends ni comment ni pourquoi, mais tout ce que tu sais c'est que tu t'approches de lui pour lui donner de grand coup de pied, y mettant toutes tes forces... Ce que tu ne sais pas, c'est que c'est en réalité ta peur qui te fit halluciner.
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Luna Pucci-Kovacs
Jeu 8 Nov - 20:54
When you are in hell, only the devil can help you outJigsaw @Eliott J. Sullivan
Halloween… Il y a encore peu de temps tu te serais enfui de cette zone de la ville, bien trop peur de croiser du monde qui souhaiterait de la drogue, bien trop peur de tous ces masques permettant aux gens de faire ce qu’ils veulent sans qu’on les reconnaisse. L’anonymat qu’offre les fêtes d’halloween t’ont toujours effrayé Luna et à vrai dire, tu ne sais pas trop pourquoi tu es la ce soir. Tu voulais profiter de ta liberté, encore et toujours, profiter de ce que cette nouvelle vie qui s’offre à toi te permet de faire sans craindre quoi que ce soit, mais il faut croire que tu n’as pas choisi le bon soir pour le faire. Mine de rien, tout ce temps passé avec Ivar vous ont beaucoup rapproché, et feindre votre relation n’a plus rien de difficile, bien au contraire. Tu n’es pas tombé amoureuse du hongrois, loin de là même, mais tu ne peux nier que tu t’es énormément attaché à lui par contre. Il t’offre une protection, certe, mais il t’offre aussi et surtout une sérénité que tu n’avais pas connu depuis longtemps. Et c’est dans cette excès de confiance en ce bonheur nouveau que tu t’es dis que venir participer à un escape game spécial halloween serait une bonne idée. Désormais que tu te retrouves menotter à tu ne sais qui dans une pièce plongée dans le noir, tu doutes un peu de ta super bonne idée désormais. En réalité, tu ne fais que supposer que tu es menotté, mais tu peux sentir le froid de l’acier entourer tes deux poignets et tu as beau essayer de bouger, tu sens bien qu’il y a une autre personne avec toi. Tu ne dis pas un mots, pas pour le moment, tu attends de savoir ce qui t’attends. Mais si tu avais pensé à tout un temps de scénario, tu ne t’attendais vraiment pas à ça. La lumière arrive enfin, rien d’aveuglant, bien au contraire, l’ambiance est sombre, et tu dois froncer les sourcils pour laisser ta vue s’adapter à la pièce. Tu aurais préféré ne pas y parvenir. Ton regard se pose sur cette homme sur le sol, un corps ensanglanté, un corps morts et tu sens toutes la panique se répandre en toi. Oh mon dieu oh mon dieu oh mon dieux ! Tu sens les larmes monter à tes yeux, et même si tu ne veux pas pleurer, tu sens que tu vas avoir du mal à y échapper. Tu ne sais pas si ça fait partie du jeu, tu ne sais pas si ce corps est la comme déco ou si vraiment une personne s’est fait tué ici sans que personne ne s’en rende compte, et ton palpitant s'accélère de manière très douloureuse. Tu n’as toujours pas regardé la personne qui est menottée avec toi, cela t’importe peu en cet instant, non tu n’as d'yeux que pour cet amas de chaire inerte sur le carrelage froid de cette pièce, et tu la revois, elle. Ta soeur. Tu la revois étendu sur ce trottoir, morte, tuée, sous tes yeux, tu revois le sang s’échapper de son corps et cette fois tu ne peux retenir tes larmes. Tu ne sais pas si ton partenaire de jeu s’adresse à toi ou pas, un bourdonnement assourdissant envahit tes oreilles alors tu te mets à remuer les mains dans tous les sens. Je veux sortir, je peux pas… Tu secoues les mains devant et tu as beau ressentir la douleur du fer sur ta peau, tu as beau te douter que cela a le même effet sur ton compagnon d’enfer, tu continues de remuer les mains qui font des signes négatifs devant toi avant que tu ne te mettes à crier. FAITES MOI SORTIR D’ICI !!! Tu paniques Luna, tu n’aimes pas cette ambiance, la mort n’est pas un jeux, la mort ne te fait pas rire, et tu t’en veux d’avoir voulu jouer le jeu d’halloween à ce jour.
Défis réalisés:
1. Pris de panique, tu te mets à secouer tes mains dans tous les sens comme pour te calmer, oubliant alors totalement que tu es menotté à quelqu'un, lui arrangeant alors les poignets par la même occasion.
Invité
Dim 6 Jan - 23:21
When you are in Hell, only the Devil can help you out
Tu as grandis vite Eliott, un peu trop vite sans doute, parce que la vie a mit sur ta route bien des obstacles que tu as dû éviter. Pourtant, de temps en temps, il t’arrive d’avoir envie de t’amuser, de vouloir te comporter comme un jeune homme de vingt-six ans, qui a encore toute sa vie devant lui. Alors ce soir, tu as saisis l’opportunité qui s’annonçait devant toi. En cette soirée d’Halloween, tu es allé voir les animations qui étaient proposées à plusieurs endroits de la ville. C’est ce que tu aimes tant avec New-York, où que tu ailles, il y a toujours des choses à faire. C’est finalement un Escape Game qui a réellement attiré ton attention, et puisque la peur ne fait vraiment partie de ton vocabulaire, tu n’as pas hésité à t’inscrire. Ce n’est qu’un jeu après tout, rien ne peut réellement t’arriver. Si au bout du temps donné tu n’as pas réussi à sortir, tu sais que l’on te laissera tout de même retrouvé l’air frais de cette fin de mois d’octobre. Une fois inscrit, les choses se sont passées vite, tu t’es retrouvé dans le noir, menotté, attaché à quelqu’un dont tu ne connais pas l’identité. Cette situation ne te plaît pas énormément, tu n’aimes pas être restreint dans tes mouvements Eliott, te sentir enfermé d’une quelconque manière que ce soit. Mais ce n’est qu’un jeu, c’est ce que tu te répètes. Tu n’entames pas tout de suite la conversation avec l’autre personne, après tout tant qu’il fait encore sombre, le jeu n’a sans doute pas encore commencé. Lentement, une lumière monte, éclairant faiblement l’espace qui vous entoure. C’est une femme qui est à tes côtés, tu l’entends à sa voix qui brise le silence. Tu sens son corps se tendre immédiatement, et tu comprends pourquoi. Au centre de la pièce se trouve un cadavre, une masse immobile. Ce n’est qu’un jeu, tu le sais, ça ne peut pas être quelqu’un de réellement mort, mais il faut croire que la jeune femme a du mal à garder son calme comme tu tentes de le faire. Tes yeux se détournent du corps pour se poser sur elle, elle est pâle, elle semble effrayée, angoissée, mais elle te rappelle surtout quelque chose. Tu la connais, tu pourrais en mettre ta main à couper. Peut-être qu’elle lit dans tes pensées d’ailleurs, parce qu’elle se met à secouer ses mains dans tous les sens, et puisque vous êtes liés, les tiennes aussi. Le métal des menottes te rentre dans la peau d’une façon désagréable mais ce n’est plus qu’un détail lorsque la jeune femme se met à crier. « Wow, du calme ! Ce n’est qu’un jeu, tout va bien ! » Tu aurais pu faire une blague Eliott, appuyer un peu plus où ça fait mal, mais dans les yeux de la jeune femme, tu vois bien qu’elle n’est pas prête à rire. Elle ne fait pas ça pour vous mettre un peu plus dans l’ambiance, elle a réellement peur. Du mieux que tu peux, tu tentes de te redresser sur tes pieds, afin de pouvoir bouger un peu et te mettre devant elle. Tu veux lui bloquer la vue, qu’elle ne voit plus ce corps qui semble l’angoisser autant. « Luna, c’est ça ? » Oui, tu es presque certain que c’est cela son prénom. Ces derniers temps tu l’as vu de plus en plus traîner près de ton boulot, en compagnie d’Ivar, l’un de tes collègues. Ils sont ensemble, tu l’as bien compris, et peut-être que c’est pour ça que tu veux la rassurer. « Luna, respire. Je suis Eliott, je travaille à Hawk’s Car, tu te souviens de moi ? On s’est croisé plus tôt dans la semaine. » Tout cela ne doit être qu’un jeu normalement, mais au vu de la crise de panique qu’elle vient de faire, tu n’as plus très envie de te prendre au jeu. « Je sais que c’est effrayant tout ça, mais ce n’est qu’un jeu, d’accord ? Il faut juste trouver les indices pour pouvoir sortir d’ici. » En disant cela, tu regardes partout autour de vous. Tes yeux se posent une nouvelle fois sur le cadavre, mais bien vite tu les reposent sur Luna. Au dessus de sa tête, glissé à travers le mur, tu aperçois un morceau de parchemin. Lentement, pour qu’elle comprenne ce que tu fais, tu lèves vos mains vers la note afin de t’en saisir, et lire les quelques mots griffonnés dessus. « La clé des menottes est dans la pièce. Il faut qu’on la trouve, une fois qu’on sera libéré et libre de nos mouvements, on pourra trouver d’autres indices plus facilement. » Tu es décidé. Maintenant que vous êtes ici, tu ne veux pas faire marche arrière Eliott, ça ne te ressemble pas d’abandonner si facilement. Tu te mets rapidement debout sur tes pieds, voulant aller explorer la pièce à la recherche de la clé. « Par là-bas, je pense qu’il faut aller voir ! » Une musique inquiétante se met à raisonner, te faisant légèrement sursauter. Des ombres passent sur les murs, mais une petite voix dans ton esprit te rappelle que ce n’est que des images projetés. Tu veux aller plus loin, mais Luna reste assise sur le sol, immobile. Sans son aide, tu ne pourras pas trouver la clé.
EXORDIUM.
Action 1:
- Tu trouves une note ; la clé des menottes est bel et bien dans cette pièce. Tu décides d'aller la chercher sans compter sur votre partenaire qui ne désire en aucun cas s'aventurer plus loin, là où des ombres passent et des sons étranges vous font sursauter.
J'ai posté : 1272 messages et j'ai : 133 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Scarlett Simoneit et pour finir je crédite : Eya d'amour
Luna Pucci-Kovacs
Dim 27 Jan - 13:48
When you are in hell, only the devil can help you outJigsaw @Eliott J. Sullivan
Tu n’aurais pas dû venir ici Luna, maintenant que tu te trouves dans cette pièce en pleine crise de panique, tu es au moins sûr de ça. Plus jamais tu ne jouera le jeu, plus jamais tu ne viendras te prendre la tête dans un truc qui utilise la mort pour faire rire. La mort ça n’a rien de drôle, un cadavre sur le sol, ça n’a rien de drôle. Non définitivement, tu n’aurais pas dû venir. Ton regard se bloque sur ce pantin au milieu de la pièce et pour le moment tu n’es sûr de rien, tu ne sais pas si c’est une poupée ou un vrai mec et c’est ce qui te fait aussi peur justement. Mais rapidement, ta vu se brouille, ou plutôt, quelqu’un fait en sorte que tu ne puisses plus voir de cadavre. Tu te souviens alors seulement maintenant que tu n’es pas seule, que tu es menottée à quelqu’un et que cette pauvre personne va détester ce jeu aussi à cause de toi. Tout ça était censé être amusant pour lui, et toi, tu viens lui gâcher le plaisir, et tu t’en veux. C’est peut-être pour ça que tu te calmes, un peu, rien qu’un peu, juste assez pour redresser le regard sur son visage. Tu n’as rien écouté de ce qu’il vient de te dire, tu es bien trop dans le mal être et dans le passé pour y parvenir, mais tes yeux scrute désormais son visage, et tu essais de revenir à la réalité. Tu le connais, tu le sais, tu ne sais d'où, tu ne sais pas pourquoi, ni comment, mais tu sais que tu as déjà vu ce gars. Un visage connu, et qui ne t’effraie pas, voilà ce qu’il te fallait pour te ressaisir, doucement. Tu sors de ta torpeur lorsqu’il évoque son lieu de travail et tu fronces les sourcils. C’est le garage où bosse Ivar, cela explique alors pourquoi tu as déjà vu ce gars. Tu ne parles toujours pas, tu te contentes de l’écouter en essayer de calmer les battements de ton coeur qui se sont bien trop emballé en trop peu de temps. Ce n’est qu’un jeu, il a raison, et il faut que tu arrives à te rentrer cette idée dans la tête. Ce type au milieu de la pièce, c’est un pantin de chiffon posé ici juste pour ce foutu jeu, pour halloween. Après tout c’est pour ça que tu es ici, pour fêter ce célébration des morts alors il faut vraiment que tu prennes sur toi désormais. Tu gardes les yeux posé sur Eliott, enfin, il te semble que c’est ça son prénom, tu n’es pas très sûr de toi et vu qu’il s’est sûrement présenté à toi sans que tu ne l’écoutes, tu n’oses pas trop demander, de toute façon pour le moment, tu veux surtout réussir à te sentir mieux pour lui permettre de profiter de cette animation, qu’elle te plaise ou non, alors tu prends une bonne inspiration, et tu forces ta respiration à se calmer. Tu pensais d’ailleurs être parvenu à le faire lorsque tu sens ton coeur s’accélérer de nouveau en sentant le jeune homme lever les bras au dessus de vous, tu t’apprêtes à lui demander ce qui se passe, pourquoi il fait ça, mais tu vois dans son regard qu’il n’y a rien à craindre alors tu fermes les yeux un instant et tu lèves tes bras pour le laisser faire ce qu’il souhaite. Il se met de nouveau à parler, te forcer à rouvrir les yeux pour remarquer qu’il a un papier dans les mains. Tu fronces les sourcils, écoutant chaque mots qu’il prononce avant de lâcher un rire amer. Je te préviens, je touche à rien, tu te débrouilles ! Tu n’es pas cool Luna, tu en as conscience, mais tu sais très bien que si tu viens à toucher quoi que ce soit de suspect, tu repartira dans une crise de panique et ce n’est pas ce que tu veux. Et puis, tu ne refuses pas de l’aider, pas du tout, tu vas tenter de faire fonctionner ton cerveau du mieux que tu peux, mais tu ne toucheras absolument rien, ça tu en es certaine. Mais si tu es prête à donner un coup de main, il faudrait déjà pour ça que tu parviennes à bouger et visiblement ce n’est pas le cas. Eliott bouge, et ton regard se porte de nouveau sur le cadavre, t’obligeant de nouveau à prendre de grosse et longue inspiration. Ce n’est qu’un jeu… Tu répètes ça à plusieurs reprise, comme pour t’en convaincre avant de parvenir à te mettre sur tes pieds, permettant alors au jeune homme en ta compagnie de se redresser correctement le pauvre. Tu bouges doucement, au ralenti même, et tu te doutes que s’il y a un cadavre au centre de la pièce ce n’est pas pour rien. Les yeux fixé sur lui, tu finis par ouvrir les yeux en grand. Regardes ! Dans sa poche ! Tu vois un autre morceau de papier et tu te dis qu’il doit surement y avoir d’autre indication dessus mais ce n’est pas pour autant que tu as envie de t’approcher de lui. Pourtant tu le fais, doucement, et tu te baisses vers lui non pas pour attraper ce papier mais pour permettre à Eliott de le faire. Putain de merde, si ce connard se met à bouger, je te jure que j’hurle ! Tu m’entends petit con ? Si tu bouges, t’as plus de tympan ! Voila que tu te mets à parler à un pantin maintenant… Eliott choppe ce papier ! Grouille bordel ! Tu ne sais pas combien de temps tu vas réussir à tenir le coup, mais tu fais tout ce que tu peux pour ne pas craquer, même si dès que le jeune homme attrape enfin ce possible nouvel indice, tu ne perds pas de temps pour reculer rapidement du corps, faisant des petits sauts rigolo comme pour dégager toute la pression qui vient de naître en toi.
Défis réalisés:
1. Pris de panique, tu te mets à secouer tes mains dans tous les sens comme pour te calmer, oubliant alors totalement que tu es menotté à quelqu'un, lui arrangeant alors les poignets par la même occasion.
2. Tu ne sais pas encore que le corps au centre de la pièce est un mannequin mais tu vois un papier sortir de sa poche et tu penses que cela peut vous servir pour la suite, tu essaies de t'en approche, mais tu ne cesse de laisser entendre toutes les insultes qui te passes par la tête pour évacuer la panique qui t’envahis.
Invité
Lun 11 Fév - 10:52
When you are in Hell, only the Devil can help you out
Pour un jeu, tu ne trouves pas ça très drôle Eliott, ou du moins ça ne commence pas très bien. La jeune femme à tes côtés, elle ne prend absolument pas ça comme un amusement, elle commence à paniquer, à parler seule, à regretter d’être venue jusqu’ici et le plus naturellement du monde, tu te concentres sur elle. Tu n’es pas un gentleman Eliott, tu es loin du preux chevalier en armure, mais tu n’aimes pas voir les gens souffrir, ça te semble simplement évident de leur venir en aide. Vous êtes ici pour vous amuser, pour passer un bon moment ensemble, même si vous ne vous connaissez pas, et il n’y a pas de raison pour que tu la laisses paniquer seule. Tu te rends rapidement compte que vous n’êtes pas de si grands inconnus, tu connais Luna, de vue du moins. Vous avez sans doute déjà échangé quelques mots étant donné qu’elle est la compagne d’un de tes collègues, mais tu ne peux pas dire non plus que vous vous connaissez bien. Tu saisis simplement les avantages que tu as, tu l’appelles par son prénom, tu lui rappelles que vous vous connaissez, qu’elle n’a pas à avoir peur de toi. C’est peut-être idiot, mais si tout dans cette pièce la terrorise, peut-être qu’avoir un visage, une voix familière pourra la rassurer un peu. Au fil de tes mots, tu la sens se calmer un peu. Elle ne peut plus voir le cadavre au milieu de la pièce et ça semble la rassurer un peu, ce qui est une bonne chose. Sa respiration se calme, elle tremble moins et tu tentes un léger sourire en voyant qu’elle revient peu à peu à ses esprits. Tu ne sais pas ce qui lui as fait autant peur, voir des cadavres ensanglantés fait partie des joies d’Halloween, sans doute aurait-elle dû se douter de ça en entrant ici. Mais peu importe, tu n’es pas là pour juger. Tu veux simplement qu’elle comprenne que ce n’est qu’un jeu, le corps au centre de la pièce ne peut pas être un vrai être humain, tu en es persuadé. Tu vois soudainement un papier au dessus de sa tête et tu lèves le bras pour l’atteindre. Elle se crispe de nouveau, tu t’en veux de lui faire peur ainsi, mais tu sais que si vous ne faites rien pour trouver des indices, vous ne sortirez jamais d’ici. Le papier vous indique que la clé des menottes est dans la pièce, il faut donc la chercher pour avancer, mais tu vois bien que cette idée ne plaît pas vraiment à la jeune femme. « Deal, on fait comme ça, c’est moi qui touchera. Il faut juste qu’on se déplace ensemble. » Avec un sourire, tu lui indiques du regard ces menottes qui vous lient ensemble. Tu t’éloignes un peu d’elle, pour lui laisser de l’air mais aussi pour lui montrer qu’il est temps de bouger, de commencer le jeu. Plus vite vous bougerez, plus vite vous réussirez à sortir d’ici, et c’est sans doute ce qu’elle souhaite. Luna répète plusieurs fois que ce n’est qu’un jeu, plus pour elle que pour toi, ça ne fait aucun doute. Tu ne dis rien, si elle a besoin de ça, de temps, tu la laisses faire, et lorsque finalement elle se redresse, tu lui offres un sourire encourageant. Vous bougez lentement dans l’espace, tes yeux scrutent partout autour de vous, mais tu t’arrêtes en entendant la voix de la jeune femme, plus forte qu’auparavant. Ca t’étonnes qu’elle ait gardé les yeux fixés sur la chose qui lui faisait le plus peur ici, mais tu es soulagé qu’elle ait trouvé quelque chose. Vous vous approchez, lentement, et tu comprends rapidement qu’elle disait vrai un peu plus tôt, elle ne touchera à rien. Te baissant en même temps qu’elle, tu te rapproches du cadavre sous les insultes de Luna. Ce n’est pas contre toi qu’elle en a, tu le sais bien, mais tu écoutes tout de même ses demandes en te dépêchant. Tu te sens tiré en arrière dès que tes doigts se serrent autour du bout de papier et Luna commence à sauter sur place sans que tu n’aies pu te redresser totalement. Un rire sort de tes lèvres, mi amusé mi nerveux, alors que tu la regardes sauter à côté de toi. Tu déplies le bout de papier entre tes doigts avant de lire à voix haute les inscriptions qui y sont notées. « Ce que vous recherchez le plus se trouve au coeur de ce que vous aimez le moins… Euh, tu comprends quelque chose ? » Instinctivement, tu commences à regarder partout autour de toi, cherchant ce que pourrait être la chose que vous aimez le moins. Il y a le cadavre, évidemment, mais puisque vous venez de trouver cet indice sur lui, ce serait idiot de devoir de nouveau aller chercher une clé sur son corps, ou dans son corps. Sans vraiment réfléchir, tu te mets à marcher vers un coin de la salle plongé dans la pénombre. Personne n’aime l’inconnu et le noir, si ? Tu n’arrives cependant pas à avancer beaucoup, puisque tu sens un contrepoids te tirer dans la direction opposée. Lorsque tu te retournes, c’est pour voir Luna marcher dans l’autre sens. « Tu fais quoi ? Il faudrait aller par là, tu ne crois pas ? On n’a pas été voir, on se fait pas ce qu’il y a, la clé y est peut-être… » A tes yeux ce raisonnement est tout à fait logique. Même si tu ne veux pas brusquer la jeune femme, que tu continues à faire attention à ce qu’elle ne reparte pas dans une crise de panique, tu veux tout de même continuer à jouer.
EXORDIUM.
Action 2:
- Tu ne fais pas attention aux gestes de la victime coincé avec toi, tu observes partout autour de toi et sans même le faire exprès, alors que cette personne cherche à aller dans un sens, tu te mets à bouger dans le sens inverse, vous retrouvant tous les deux coincés par vos bras.