Ici, c'est dans une reproduction d'une salle de bain sanglante que vous vous retrouvez. Les deux mains menottées l'un à l'autre, vous découvrez un corps inerte au milieu de la pièce, un mannequin évidemment, mais ça, vous ne pouvez pas en être sûr tant que vous ne vous en approchez pas. Vous l'aurez compris, vous venez d’atterrir dans l'univers de Saw, et votre but sera de comprendre comme réussir à sortir d'ici, seul ou à deux... Votre partenaire sera-t-il votre allier ? Ou bien votre ennemie, la peur nous fait parfois faire de drôle de chose et prendre d'étrange décision...
Afin de pouvoir prétendre à sortir de cette pièce, il va vous falloir réaliser des petites actions, 3 actions par participants plus précisément. Les actions sont à choisir dans la liste qui suit, mais attention il y a tout de même une petite réglementation.
1. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule action par réponse 2. Chaque action n'est utilisable qu'une seule fois par rp, ce qui signifie que si votre partenaire en a choisi une, vous ne pouvez prendre la même. 3. Si jamais vous avez déjà participé aux jeux dans un précédent rp, vous n'avez pas le droit de réutiliser les actions que vous avez déjà fait.
Comme vous le voyez, rien de bien compliqué, mais c'est important tout de même !
Une fois que vous avez réussi à réaliser vos 3 actions par participants, alors nous vous pouvez poster dans le sujet prévu à cet effet et ainsi demander la suite des évènements.
Liste des actions réalisables
- Tu trouves une note ; la clé des menottes est bel et bien dans cette pièce. Tu décides d'aller la chercher sans compter sur votre partenaire qui ne désire en aucun cas s'aventurer plus loin, là où des ombres passent et des sons étranges vous font sursauter.
- Tu ne sais pas encore que le corps au centre de la pièce est un mannequin mais tu vois un papier sortir de sa poche et tu penses que cela peut vous servir pour la suite, tu essaies de t'en approche, mais tu ne cesse de laisser entendre toutes les insultes qui te passes par la tête pour évacuer la panique qui t’envahis.
- Reconnaissant l'univers de Saw, et sachant très bien ce qu'il se passe dans le film, tu décides de faire croire à ton partenaire qu'il n'y a aucun clé pour ouvrir vos menotes, que la seule façon de s'en défaire, c'est de vous couper les mains avec la scie (en plastique) que tu aperçois au loin et tu l'entraines vers celle-ci.
- Pris de panique, tu te mets à secouer tes mains dans tous les sens comme pour te calmer, oubliant alors totalement que tu es menotté à quelqu'un, lui arrangeant alors les poignets par la même occasion.
- Tu ne fais pas attention aux gestes de la victime coincé avec toi, tu observes partout autour de toi et sans même le faire exprès, alors que cette personne cherche à aller dans un sens, tu te mets à bouger dans le sens inverse, vous retrouvant tous les deux coincés par vos bras.
- Comprenant qu'il faut bouger le cadavre pour trouver des indices, tu proposes à ton partenaire de t'aider, mais sans que tu saches ni comment ni pourquoi, vous voilà alors coincé avec le mannequin sur les bras, sans plus vraiment pouvoir bouger.
- Une musique d'ambiance tourne en boucle, et cela te fait péter un plomb. Tu te mets à insulter la musique, le jeu et même ton partenaire sans même t'en rendre compte.
- Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.
- Le mannequin au milieu de la pièce se met à bouger, tu ne comprends ni comment ni pourquoi, mais tout ce que tu sais c'est que tu t'approches de lui pour lui donner de grand coup de pied, y mettant toutes tes forces... Ce que tu ne sais pas, c'est que c'est en réalité ta peur qui te fit halluciner.
Invité
Mar 30 Oct - 10:23
Trick or treat ?
Daniel & Carter
Je relève doucement la tête, qui me donne presque l'impression de peser trois tonnes. Quand j'ouvre les yeux, je réalise que je me trouve dans une grande pièce carrelée. Des meubles au blanc passé la composent, couverts d'étranges taches sombres que je ne parviens pas immédiatement à identifier. Ces taches se retrouvent un peu partout sur les murs et le sol aussi. Une large baignoire est disposée dans un coin de la grande salle. C'est à cet instant que je remarque qu'une musique inquiétante nous berce. Elle ressemble un peu aux mélodies des boîtes à musique que l'on confectionne pour rassurer les enfants. Ces douces sonorités devraient avoir quelque chose de rassurant, mais avec cette atmosphère pesante et glauque, elles n'en deviennent que plus oppressantes. Je m'agite légèrement, pour me rendre compte que mon jean baigne dans un liquide visqueux. Je fais glisser mes doigts sur le carrelage pour les imprégner de cette substance avant de les rapprocher de mes narines. Une odeur de fer, caractéristique de celle du sang, en émane. Écoeuré par ce parfum organique, j'essuie négligemment mes mains avant de me rendre compte que l'un de mes poignets est entravé. Je tourne enfin la tête pour réaliser que quelqu'un est assis à côté de moi. Je retiens un cri d'étonnement, dévisageant cette jeune femme comme si je ne la regardais pas vraiment. Je reste un moment silencieux, à la détailler, quand quelques mots sortent enfin de ma bouche. 《 Tu t'appelles comment ? Moi, c'est Daniel. 》 Cette information me semble essentielle, ou au moins utile, dans la mesure où nos poignets sont enchaînés l'un à l'autre par une paire de menotte. Mon attention se reporte d'ailleurs sur les bracelets métalliques au moment où ma bouche se referme. J'essaye de nous en débarrasser, tirant sur la chaînette dans tous les sens, sans succès. Je finis par lâcher un soupir avant de m'immobiliser, réalisant qu'aucune once d'angoisse ne traverse mon corps, comme si j'étais immunisé contre celle-ci. J'avais été tellement dévoré par la peur sur l'île, et ce pendant deux mois, qu'il m'était devenu impossible d'y céder aussi facilement. En plus, c'est juste un jeu, non ? Extrêmement bien fait, certes. Le réalisme est poussé à son paroxysme mais pas de quoi paniquer... Pas vrai..?
Une sonnerie sortie de nulle part me sort de ma torpeur. Une sonnerie de téléphone plus précisement. Je sursaute au premier coup, avant de balayer la salle du regard pour tenter de trouver le combiné. Lorsque mes yeux tombent enfin dessus, je me mets aussitôt en mouvements. Je me relève, entraînant l'inconnue avec moi de force. 《 Viens, 'faut qu'on décroche ! C'est peut-être important ! 》 En tout cas, dans mon esprit, cet appel ne peut être anodin. J'oblige la jeune femme à se lever et à me suivre jusqu'au meuble où se trouve le combiné. J'arrache brutalement l'appareil de son socle pour le porter à mon oreille de ma main libre quand un bruit strident en émane. Si fort et si insupportable que je me vois obligé de lâcher le téléphone pour porter mes mains à mon oreilles. 《 Mais c'est atroce, bordel ! 》 J'ai l'impression que ma tête va exploser et que mes tympans vont bientôt se mettre à saigner. Les menottes entravent bientôt mes gestes et je ne vois d'autres solutions, pour mettre fin à notre supplice, que de tenter de récupérer le combiné pour le replacer sur son socle. En grimaçant, je parviens à récupérer de ma main libre le téléphone qui pend mollement au bout du cordon. Je le replace comme je peux sur le socle, dans une succession de gestes précipités et complètement désorganisés, et le bruit s'arrête enfin. Je pousse un long soupir de soulagement, tournant finalement la tête vers ma partenaire de galère avec un sourire gêné.
(c) DΛNDELION
Action:
Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.
J'ai posté : 2210 messages et j'ai : 790 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Madelaine Petsch et pour finir je crédite : Avatar par bltmr & Signature par Magma.
Elle est un peu dans les vapes, elle est ailleurs et pourtant pas seule. Elle ne veut pas ouvrir les yeux, elle n’en a pas besoin pour savoir qu’elle n’aimera pas ce qui est en train de se passer. Elle est faible et cherche à se protéger comme elle peut Carter, se resserant instinctivement contre la masse à ses côtés. Elle n’est pas toujours l’infâme cheerleader qu’on peut décrire, non, elle a aussi des moments de calme, ou elle trouve même la vie agréable. Elle ne devrait pas être là ce soir, sans doutes à son appartement où elle serait plus en sécurité. Elle pense à Zephyr pour un instant, se demandant ce qu’il penserait s’il la savait ici alors qu’elle est au repos de par le port de ses béquilles. Toujours cette inconscience qui l’anime, elle fait ce qu’elle veut, quand elle veut et peu de gens arrive à le comprendre. Quand on bouge à ses côté, qu’elle sent qu’on tire sur son poignet, elle ouvre les yeux, tourne son regard pour voir qu’il s’agit d’un homme, un parfait inconnu. 《 Tu t'appelles comment ? Moi, c'est Daniel. 》 Daniel, elle note l’information dans un coin de son esprit. Elle reste stoïque alors qu’elle détourne son regard de lui pour le poser face à elle, sur ce cadavre, cette marionnette supposée être là pour les effrayée. Elle aurait dû avoir peu mais tout est trop gros pour que ça soit crédible. “Carter.” Elle répond à la question, elle n’a rien à perdre en lui donnant son identité, ils sont ici ensemble, pour le meilleur comme pour le pire, surtout le pire il faut croire. Quand elle le sent essayer de se débarrasser de leurs menottes, elle porte son regard à leur poignet, le regard lui avant de hausser les épaules. “Ca ne sert à rien si ce n’est à nous faire encore plus mal.” C’est en prononçant ses mots qu’elle réalise qu’elle a le poignet endolori. Une question lui vient, depuis combien de temps sont-ils dans cette pièce ? Elle est tirée de ses pensées par une sonnerie qui la fait sursauter. Un téléphone, ça ne lui plait définitivement pas et elle, elle est d’avis de ne pas bouger, de rester sagement en place. 《 Viens, 'faut qu'on décroche ! C'est peut-être important ! 》 Important important, qu’est-ce qui pourrait l’être plus que leur survit à cet instant hein ? Elle se le demande la Vaughn, elle s’interroge oui sur ce qui pourrait les aider et elle, elle est convaincu que répondre ne les sauvera pas. Elle est sans doutes un peu pessimiste, qui ne le serait pas dans cette situation et pourtant, elle se lève, récupère une béquille à défaut de pouvoir avoir les deux et le suit à contrecoeur jusqu’au téléphone qu’il décroche. A peine décroché, déjà lâché. Un bruit strident leur parvient et Carter, elle grimace, tentant de lutter contre la douleur, de ne pas laisser ses nerfs céder alors que ce n’est pas le bon moment. 《 Mais c'est atroce, bordel ! 》 Elle n’aurait pas trouvé de mots plus juste la rousse. Elle souffre et n’arrive pas à réfléchir mais le laisse prendre les devants. Cette dépendance est loin de lui plaire mais elle s’en contente et laisse son orgueil de côté. Quand tout s’arrête enfin, elle est envahis par un réel soulagement. Ca fait du bien, ça ne dure pas. S’il n’y avait eu que le téléphone, elle aurait pu gérer. Il est question de musique désormais. Le genre qui passe en boucle, qui est délicate et stressante à la fois. La musique qui terrifie par excellence parce qu’il est impossible de savoir d’où elle vient, aucun haut-parleur ne se trouvant là. Elle veut partir Carter et pourtant, elle se rassoit là où elle se trouvait au départ, se fichant un peu du sang qui jonche le sol. “Tout est de votre faute. Si vous n’aviez pas décroché, cette musique ne serait pas là. C’est vous qui avez provoqué tout ça, qui avait déclenché cette putain de musique et et...” Et elle ne sait même pas quoi dire Carter parce qu’elle a conscience d’être injuste mais c’est plus fort qu’elle. “Et faites nous sortir d’ici bande de pervers détraqués !” Elle hurle cette fois en levant le regard sur le mur face à elle, comme si une caméra s’y trouvait, comme si on les observait. “Vous prenez votre pied bande de pauvre fou ! Faites nous sortir et arrêtez cette saloperie de musique !” Carter dans toute sa splendeur. Son calme, elle ne l’aura pas gardé longtemps en fin de compte.
Spoiler:
Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.
Une musique d'ambiance tourne en boucle, et cela te fait péter un plomb. Tu te mets à insulter la musique, le jeu et même ton partenaire sans même t'en rendre compte.
Invité
Mer 14 Nov - 11:44
Trick or treat ?
Daniel & Carter
Carter. Un prénom un peu froid qui résonne avec une certaine sévérité à mon oreille. Je me demande si la jeune femme qui le porte, et qui sera ma partenaire de jeu, est à l'image de la rudesse des syllabes du nom qu'elle porte mais je suppose que je finirai bientôt par le découvrir. Et le reproche qu'elle m'assène dès les premières minutes, alors que je tente de nous débarrasser de ces menottes trop serrées, m'oriente déjà vers une piste. J'ai bien envie de lui répondre qu'au moins, moi, j'ai tenté quelque chose pour nous séparer et faciliter nos mouvements mais je m'abstiens. Je parviens à me convaincre que ce n'est pas le moment de jeter le feu aux poudres, dans la mesure où j'ignore encore combien de temps nous allons devoir passer ensemble. J'essaye de prendre sur moi pour rester calme et ne pas m'énerver, même si ce n'est absolument pas mon fort. Quand j'entends la sonnerie d'un téléphone à l'autre bout de la pièce, je suis persuadé que l'interlocuteur qui se trouve à l'autre bout du fil pourrait bien nous délivrer un indice précieux qui pourrait nous permettre de sortir d'ici. Je me relève sans attendre, me précipitant vers le combiné, quand je sens une résistance sur le bracelet des menottes. Je tourne la tête vers Carter, qui tente de se relever tant bien que mal en s'aidant d'une béquille. « T'es en béquilles ?! » lancé-je sur un ton étonné, posant une évidence plus que visible et inutile à formuler à voix haute. J'écarquille les yeux en soupirant. Avec Ailill, je sais que je me serais montré d'une grande patience, malgré l'ambiance stressante, mais là, avec cette inconnue aux airs pédants, je n'ai pas envie de faire le moindre effort.
Carter me suit tant bien que mal jusqu'au téléphone tandis que j'essaye de ne pas mettre trop de tensions dans les menottes en avançant trop vite. Quand nous arrivons enfin devant le meuble où sonne furieusement le combiné, je le décroche et le jette dans le vide avant même de l'apporter à mon oreille, tant le bruit qui s'en échappe est strident et douloureux. Mon premier réflexe est de porter mes mains à mes oreilles, me rendant compte que la tâche risque d'être compliquée avec un poignet lié à celui de Carter. Tant bien que mal, je parviens à replacer le combiné sur son socle et à faire cesser le bruit, mais c'est désormais la musique entendue dès notre entrée dans la pièce qui se fait entendre de plus en plus fort. La jeune femme me tire déjà vers un autre coin de la pièce alors que je viens d'apercevoir un bout de papier posé juste à côté du téléphone. « Attends ! » sifflé-je en tendant mon bras libre vers le petit mot, que je parviens à attraper avant que Carter ne m'embarque avec elle et place le morceau de papier hors de ma portée. Elle se rassoit sur le sol, m'obligeant à m'accroupir, ce qui me contrarie déjà. Elle se met alors à me balancer de nouveaux reproches au visage, insinuant que cette musique entêtante a été déclenchée par ma faute. Je vois rouge et peu à peu, je commence à perdre mon calme. « De ma faute ?! Tu déconnes, j'espère ? Excuse-moi d'avoir tenté quelque chose pour nous sortir d'ici, contrairement à toi. Parce qu'à part te plaindre, t'as pas l'air de savoir faire grand chose de tes dix doigts. » Je pose sur elle un regard sombre et coléreux, la toisant de tout mon dédain, tandis que j'essaye de déplier le bout de papier que je viens de trouver à l'instant. Je tente de lire les mots inscrits dessus, mais la voix agaçante de Carter, qui radote sans cesse les mêmes choses, m'empêche de me concentrer. « Bon, t'as pas envie de te taire deux minutes, histoire de pouvoir me laisser lire ce foutu papier ? » Ma voix autoritaire rend parfaitement compte de mon agacement. Je déchiffre la note laissée à notre intention, qui précise que les clefs des menottes se trouvent bien dans cette pièce. « Les clefs sont ici. Il faut vraiment qu'on les trouve. » lancé-je distraitement à Carter, qui n'a pas l'air d'avoir envie de se lever. Sans la moindre douceur, je me redresse et me met à tirer sur le bracelet métallique pour la traîner vers un coin sombre de la pièce, la substance gluante recouvrant le sol me facilitant quelque peu la tâche. « Tu t'actives, oui ou merde ? J'te porte ou j'te traîne, c'est toi qui vois mais moi, je compte pas rester assis par terre, les bras croisés. » Le coin de la pièce vers lequel je tente d'attirer Carter est plongé dans une obscurité mouvante, d'où s'échappent quelques grincements et gémissements angoissants, mais je ne compte pas me laisser impressionner par quelques effets sonores bien rodés.
(c) DΛNDELION
Actions:
Daniel : Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.
Carter : Une musique d'ambiance tourne en boucle, et cela te fait péter un plomb. Tu te mets à insulter la musique, le jeu et même ton partenaire sans même t'en rendre compte.
Daniel : Tu trouves une note ; la clé des menottes est bel et bien dans cette pièce. Tu décides d'aller la chercher sans compter sur votre partenaire qui ne désire en aucun cas s'aventurer plus loin, là où des ombres passent et des sons étranges vous font sursauter.
J'ai posté : 2210 messages et j'ai : 790 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Madelaine Petsch et pour finir je crédite : Avatar par bltmr & Signature par Magma.
« T'es en béquilles ?! » Une observation qui la fait rire la delta. Un rire qui finalement disparaît aussi rapidement qu’il est apparu. Il n’avait pas vraiment besoin de le dire, ça se voit, c’est une évidence qu’elle est en béquilles et qu’elle ne devrait probablement pas se trouver ici aujourd’hui. Mais Carter, elle a ce gros défaut de ne jamais écouter ce qu’on peut lui dire, ce qu’on lui conseille de faire. C’est tellement surfait d’obéir et de faire comme tout le monde. Non, Carter, elle préfère la liberté, celle qu’elle s’impose, comme ici, dans cette pièce où elle voudrait ne pas montrer la peur qui la fait réagir. Elle ne dit rien la Vaughn et se contente de le suivre tant bien que mal, claudiquant sans pour autant grimacer. Ils sont là-dedans tous les deux de toute manière, elle n’a pas le choix et le laisse décrocher ce fichu téléphone qui ne cesse maintenant de sonner. Une erreur, elle le sait maintenant, ce son qui s’en échappe est horrible et tout ce qu’elle aimerait, c’est le faire taire, le faire disparaître pour de bon. Raccrocher est la meilleure solution, il le comprend et la jeune femme, elle a dans l’idée que peut-être elle devrait essayer elle aussi de faire quelque chose bien que l’envie ne soit pas forcément là. Avec Carter, c’est tout ou rien de toute manière, c’est pour le meilleur, surtout pour le pire qu’on est avec elle. « Attends ! » Elle l’entrainait déjà plus loin, pour trouver une solution mais elle se retrouve à ne pas pouvoir bouger, à attendre. Un détail qui ne dura pas bien longtemps, elle était déjà assise sur le sol. Si elle en avait eu le courage, elle serait probablement en train de se basculer d’avant en arrière tant cette situation est juste insupportable. La musique qui résonne lui fait perdre la tête mais les mots qu’elle prononce, sont bien réels. Elle ne sait juste pas si elle les pense vraiment ou si c’est la peur et l’angoisse qui la font parler. Rejeter la faute sur autre chose, c’est bien plus facile, elle l’a toujours su et fait, aujourd’hui ne fait pas exception. « De ma faute ?! Tu déconnes, j'espère ? Excuse-moi d'avoir tenté quelque chose pour nous sortir d'ici, contrairement à toi. Parce qu'à part te plaindre, t'as pas l'air de savoir faire grand chose de tes dix doigts. » Un silence se fait, un silence qui lui permet de le regarder, de prendre le temps de rassembler ses idées pour savoir exactement ce qu’elle va dire ou faire. « Bon, t'as pas envie de te taire deux minutes, histoire de pouvoir me laisser lire ce foutu papier ? »Oh qu’elle a envie de rire, fortement la jolie rousse et elle se retient de justesse, se contente d’un sourire hautain comme elle sait si bien les faire. le regard va avec, elle le toise, sévèrement, presque avec haine. “Quand on ne connaît pas une personne, on ne la juge pas simplement sur les apparences. Vous devriez savoir ça à votre âge.” Car si elle a bien une certitude, c’est qu’elle est plus jeune que lui, elle le sait, ça se voit aussi dans leur comportement respectif. Elle sait bien de quoi elle a l’air Carter, une petite fille capricieuse qui veut tout, tout de suite et c’est exactement ce qu’elle veut laisser paraître. Elle a peut-être toujours eu une éducation forte, une éducation de militaire, ça ne l’a pourtant jamais empêcher de défier ses parents comme chaque enfin le fait arrivé à un certain âge. Elle a peut-être vingt-cinq ans, les choses n’ont pourtant pas changé. Elle lui a laissé son moment de répis, qu’il en profite, ça ne durera pas qu’il en soit certain. Elle ne sait pas exactement ce qu’il fait, ce qu’il lit non plus et si en temps normal, elle est quelqu’un de relativement curieuse, elle ne le montre pas et ne cherche même pas à savoir de quoi il en retourne. « Les clefs sont ici. Il faut vraiment qu'on les trouve. » Un regard étonné qu’elle coule sur lui et elle se détourner, le laisse se poser sur un peu tout ce qui se trouve dans cette pièce sans pour autant apercevoir des clés. Elle ne sait pas s’il dit la vérité ou si c’est un piège, elle veut croire que c’est la première version qui est juste, qu’il ne lui ment pas et qu’il veut bel et bien qu’ils s’en sortent rapidement, sans plus de dommages. « Tu t'actives, oui ou merde ? J'te porte ou j'te traîne, c'est toi qui vois mais moi, je compte pas rester assis par terre, les bras croisés. » Elle inspire et expire bruyamment. C’est pas vraiment le moment de se mettre quelqu’un à dos et pourtant elle ne demande que ça, lui répondre, lui dire ce qu’elle pense. “Abruti.” Un murmure pour elle-même dans cette langue qu’elle connaît par coeur, qu’elle maîtrise à la perfection : le russe. Ca lui vient avec trop de facilité, ça fait du bien parfois. Mais c’est ce qu’il est cet homme, un parfait abruti et si elle pouvait lui faire ravaler ce sale ton qu’il emploie avec elle, elle le ferait sans la moindre hésitation. Elle est debout regarde quoi faire et quand lui va pour se diriger dans une direction, elle par dans l’autre, sans même le faire exprès. C’est loin d’être une réussite car elle est vite ramené à la réalité quand elle se retrouve à reculer malgré elle pour le percuter. Il y avait ces menottes, il y avait cet entrave qui les handicape plus qu’autre chose. Elle n’en peut plus la jeune femme, elle ne demande qu’à laisser parler son coeur et c’est en le regarde fixement qu’elle compte bien le faire. “Tu sais quoi ? T’es qu’un emmerdeur, encore pire que moi. De toute évidence, on a pas envie d’être ici, ni toi, ni moi. Oh non je suis loin d’avoir envie de rester bloqués ici pendant des heures en ta compagnie alors c’est soit on fait un effort pour ne pas s’entretuer et tu la fermes si c’est pour me faire comprendre que je ne vaux rien, soit on continue sur cette voix et je te promet que je ne serais pas la perdante à ce petit jeu.” Elle a assez de personne autour d'elle pour lui faire comprendre qu’elle ne vaut rien, elle a l’habitude maintenant et si lui pouvait juste se taire ou pour parler d’autre chose, là elle serait peut-être plus agréable.
Actions:
Daniel : Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.
Carter : Une musique d'ambiance tourne en boucle, et cela te fait péter un plomb. Tu te mets à insulter la musique, le jeu et même ton partenaire sans même t'en rendre compte.
Daniel : Tu trouves une note ; la clé des menottes est bel et bien dans cette pièce. Tu décides d'aller la chercher sans compter sur votre partenaire qui ne désire en aucun cas s'aventurer plus loin, là où des ombres passent et des sons étranges vous font sursauter.
Carter : Tu ne fais pas attention aux gestes de la victime coincé avec toi, tu observes partout autour de toi et sans même le faire exprès, alors que cette personne cherche à aller dans un sens, tu te mets à bouger dans le sens inverse, vous retrouvant tous les deux coincés par vos bras.
Invité
Mer 12 Déc - 13:26
Trick or treat ?
Daniel & Carter
J'ai pas envie de faire d'efforts ni de me montrer conciliant vis-à-vis de cette jeune femme que j'ai trouvé détestable dès qu'elle a ouvert la bouche. Pourtant, je ne me suis pas montré particulièrement agréable non plus, perdant patience dès les premiers instants, alors que le jeu - qui ne m'amuse déjà plus vraiment - venait à peine de commencer. Avec Carter, c'est le Daniel coléreux et impatient qui fait son grand retour, prêt à tout anéantir sur son passage. Une facette de moi-même que j'avais essayé d'enfouir au plus profond de mon âme, mais qui refait aujourd'hui surface sans que je ne puisse rien contrôler. « Ouai mais toi, c'est écrit sur ton front que t'es chiante. » sifflé-je entre mes dents serrées, les mâchoires crispées par l'énervement qui ne cesse de gravir les paliers, les uns après les autres, pour bientôt atteindre son apogée. Je tire sur les menottes sans la moindre douceur, contraignant Carter à me suivre, alors qu'elle a déjà du mal à se déplacer. C'est presque comme si je prenais un certain plaisir à la voir galérer de la sorte, alors qu'il n'y a absolument rien de réjouissant à voir quelqu'un sautiller à cause d'une jambe immobilisée. La jeune femme finit par me balancer un mot dans une langue que je ne connais pas. Une langue slave, peut-être du russe. Mais même si je ne la parle pas, je comprends parfaitement qu'elle ne vient pas de me faire un compliment. Je la fusille du regard, alors que c'est parfaitement mérité.
Grognon, je décide de ne même pas répondre, ni de m'acharner davantage. Sans plus prêter attention aux moindres faits et gestes de Carter, j'avance dans une direction, elle dans l'autre, oubliant presque qu'une paire de menottes lie nos deux poignets et nous empêche de trop nous éloigner, même si c'est pas l'envie qui nous manque. Par la force des choses, nous finissons par nous percuter et je lâche un juron, encore plus contrarié que je ne l'étais déjà. Carter se tourne alors vers moi, me faisant face, posant son regard glaçant sur mon visage figé, dans l'attente d'une réaction de sa part. Elle finit par ouvrir la bouche, m'incendiant littéralement sur place. J'entrouvre les lèvres, crevant d'envie de la remettre à sa place, mais je les referme aussitôt. Même si ça m'écorche l'esprit de l'admettre, elle n'a pas tort, Carter. C'est stupide de s'en mettre plein la tronche alors que nous partageons un objectif commun : sortir d'ici. Je pousse un long soupir agacé, le regard fuyant quelques secondes pour trouver le courage de formuler un simple : « D'accord. » qui me demande une énergie considérable. Il m'en faut encore deux fois plus pour ajouter ceci : « Excuse-moi d'avoir été odieux. » Ca me fait mal de l'avouer, mais en même temps, ça me soulage un peu aussi. « Je crois qu'on a fait le tour de la pièce, et ce cadavre doit pas être là pour rien. Il faudrait peut-être essayer de le fouiller. » suggéré-je d'une voix plus douce, plus calme, plus apaisée, tandis que je me dirige déjà vers le corps inerte, en avançant au même rythme que Carter cette fois, sans la brusquer. Je l'aide même à s'installer à même le sol, pour que nous puissions avoir tous les deux accès au cadavre. Je me penche vers celui-ci et un flashback morbide me revient en mémoire à cet instant précis. Je me souviens de ce cadavre, sur l'île. Celui du pilote, coincé dans l'hélicoptère. J'ai aussitôt un haut-le-cœur et je dois détourner le regard pour ne pas déverser le contenu de mon estomac sur le mannequin. Il me faut quelques secondes pour me ressaisir et aussitôt, j'empoigne le corps pour le retourner dans tous les sens. Bientôt, avec les menottes, mes bras s'emmêlent avec ceux de Carter, et le cadavre nous empêche désormais de nous dégager. Je me mets à pester, passant une main sous le mannequin pour sentir quelque chose. Une feuille de papier. Je parviens à l'attraper et la tends tant bien que mal à Carter, pour qu'elle s'en saisisse tandis que j'essaye de me dégager. « Tiens, lis-le. Ça pourra peut-être nous permettre de sortir de là. »
(c) DΛNDELION
J'ai posté : 2210 messages et j'ai : 790 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Madelaine Petsch et pour finir je crédite : Avatar par bltmr & Signature par Magma.
« Ouai mais toi, c'est écrit sur ton front que t'es chiante. » Elle pourrait se rebeller, dire quelque chose et l’insulter mais dans le fond, elle sait tres bien qu’il a raison, que c’est écrit dans son regard qu’elle est la reine des pestes, qu’elle est bien trop chiante pour son propre bien. Elle se contente d’un petit mot tout en simplicité, un mot en russe, elle lui dit qu’il est un abruti sans se soucier de s’il la comprend ou pas. Elle encaisse le regard noir, c’est bien le dernier de ses soucis en réalité, lui est le dernier de ses problèmes. cette pièce, c’est pas vraiment ce qu’elle espérait pour passé sa soirée de halloween. Elle n’imaginait rien de particulier à vrai dire, dans son état, on ne se permet pas de faire trop de projet par peur d’avoir un empêchement. Elle a juste l’impression que quoi qu’elle puisse dire, faire ou penser, il fait exprès de l’agacer, comme si c’était un jeu concours qui viserait à la mettre hors d’elle. Elle prend une profonde inspiration la jeune femme pour tenter de se calmer, elle peut le faire sans doutes, elle aurait pu. Mais non, au lieu de ça, elle laisse éclater son agacement en lui faisant bien comprendre qu’elle en a marre, qu’elle n’en peut plus et que ça ne peut pas continuer ainsi s’ils veulent sortir de ce lieu, tous les deux vivants. Elle tente de rester cordiale dans ses mots, posées aussi et de ne pas s’emporter. C’est à moitié une victoire, tout passe par son regard qu’elle garde fixer sur ce parfait inconnu qu’elle a face à elle. Oui d’ailleurs, c’est peut-être ça qui la dérange le plus, d’être avec une personne dont elle ne sait rien, qu’il puisse lui arriver quelque chose en quelques secondes à peine. « D'accord. » Elle était sur le point de reprendre, de continuer mais elle en a la voix coupé. Il l’approuve, il est d’accord avec ce qu’elle vient de lui dire. “Pardon ? Qu’est-ce que tu viens de dire ?” Elle a peur d’avoir mal compris, d’être simplement en plein rêve et que d’une seconde à l’autre, elle va se réveiller. Si ça voulait dire sortir de cette pièce, c’est certain qu’elle ne dirait pas non, elle en serait même ravie. « Excuse-moi d'avoir été odieux. » Elle le fixe, elle a peur qu’il y ait une embrouille là-dessous et ça ne lui plait pas du tout cette sensation de devoir rester sur ses gardes, constamment. Elle pousse un soupir, s’il prend sur lui, elle doit faire de même. “Je n’ai pas été mieux, je te présente mes excuses.” Présenter des excuses, ce n’est pas ce qu’elle préfères la Vaughn, elle a toujours mieux à faire. « Je crois qu'on a fait le tour de la pièce, et ce cadavre doit pas être là pour rien. Il faudrait peut-être essayer de le fouiller. » Elle se demande d’abord s’il est sérieux ou s’il se fout d’elle mais à en croire le regard qu’il lui lance, il pense ses mots et ils vont devoir le faire, fouiller un cadavre. Elle avance lentement, elle v à son rythme et cette fois-ci, il l’attend. C’est pas facile avec les menottes, ils sont bien vite emmêlé, pris au piège avec ce cadavre et Carter, elle prend juste une nouvelle inspiration pour ne pas penser à cette situation plus en détail. « Tiens, lis-le. Ça pourra peut-être nous permettre de sortir de là. » C’est là qu’elle réalise qu’il a un bout de papier dans la main et qu’il lui tend, La béquille est coincée de manière à ce qu’elle soit à peu près libre de ses mouvements, elle lit, elle sourit, avant d’éclater de rire. Elle déteste ça, elle les déteste ceux qui ont créé ça. “La porte est ouverte. Dans notre panique on a même pas penser à regarder.” Et elle repart dans un fou rire la delta sans pouvoir le contrôler. Elle essaye pourtant parce qu’elle doit reprendre, elle veut reprendre. “Les clés sont sur la porte, sans doutes à l’extérieur, sur un trousseau.” C’est devenu maintenant de la désolation qui se reflète sur les traits de la jeune femme. Elle n’arrive pas à y croire, qu’ils aient préféré s’engueuler plutôt que d’aller à l’essentiel, que d’essayer cette porte. Elle le regarde, elle sait que ça sera sans doutes la dernière fois et c’est tant mieux, ils ne sont pas fait pour s’entendre, encore moins pour se comprendre.