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[Films d'horreur] Alaïs & Cillian

GOOD MORNING AMERICA :: Trick or Treat
La Croupière
général
J'ai posté : 1315 messages et j'ai : 0 et pour finir je crédite : loudsilence

La Croupière
Mar 23 Oct - 21:47
Round 1 : Fight !
GOOD MORNING AMERICA
@Alaïs Tucker & @Cillian Whistler vous venez d'entrer dans votre salle, nous vous rappelons alors le contexte choisi :
Citation :
Ici, c'est dans une reproduction d'une salle de bain sanglante que vous vous retrouvez. Les deux mains menottées l'un à l'autre, vous découvrez un corps inerte au milieu de la pièce, un mannequin évidemment, mais ça, vous ne pouvez pas en être sûr tant que vous ne vous en approchez pas. Vous l'aurez compris, vous venez d’atterrir dans l'univers de Saw, et votre vut sera de comprendre comme réussir à sortir d'ici, seul ou à deux... Votre partenaire sera-t-il votre allier ? Ou bien votre ennemie, la peur nous fait parfois faire de drôle de chose et prendre d'étrange décision...

Afin de pouvoir prétendre à sortir de cette pièce, il va vous falloir réaliser des petites actions, 3 actions par participants plus précisément. Les actions sont à choisir dans la liste qui suit, mais attention il y a tout de même une petite réglementation.
1. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule action par réponse
2. Chaque action n'est utilisable qu'une seule fois par rp, ce qui signifie que si votre partenaire en a choisi une, vous ne pouvez prendre la même.
3. Si jamais vous avez déjà participé aux jeux dans un précédent rp, vous n'avez pas le droit de réutiliser les actions que vous avez déjà fait.
Comme vous le voyez, rien de bien compliqué, mais c'est important tout de même !

Une fois que vous avez réussi à réaliser vos 3 actions par participants, alors nous vous pouvez poster dans le sujet prévu à cet effet et ainsi demander la suite des évènements.

Liste des actions réalisables

- Tu trouves une note ; la clé des menottes est bel et bien dans cette pièce. Tu décides d'aller la chercher sans compter sur votre partenaire qui ne désire en aucun cas s'aventurer plus loin, là où des ombres passent et des sons étranges vous font sursauter.

- Tu ne sais pas encore que le corps au centre de la pièce est un mannequin mais tu vois un papier sortir de sa poche et tu penses que cela peut vous servir pour la suite, tu essaies de t'en approche, mais tu ne cesse de laisser entendre toutes les insultes qui te passes par la tête pour évacuer la panique qui t’envahis.

- Reconnaissant l'univers de Saw, et sachant très bien ce qu'il se passe dans le film, tu décides de faire croire à ton partenaire qu'il n'y a aucun clé pour ouvrir vos menotes, que la seule façon de s'en défaire, c'est de vous couper les mains avec la scie (en plastique) que tu aperçois au loin et tu l'entraines vers celle-ci.

- Pris de panique, tu te mets à secouer tes mains dans tous les sens comme pour te calmer, oubliant alors totalement que tu es menotté à quelqu'un, lui arrangeant alors les poignets par la même occasion.

- Tu ne fais pas attention aux gestes de la victime coincé avec toi, tu observes partout autour de toi et sans même le faire exprès, alors que cette personne cherche à aller dans un sens, tu te mets à bouger dans le sens inverse, vous retrouvant tous les deux coincés par vos bras.

- Comprenant qu'il faut bouger le cadavre pour trouver des indices, tu proposes à ton partenaire de t'aider, mais sans que tu saches ni comment ni pourquoi, vous voilà alors coincé avec le mannequin sur les bras, sans plus vraiment pouvoir bouger.

- Une musique d'ambiance tourne en boucle, et cela te fait péter un plomb. Tu te mets à insulter la musique, le jeu et même ton partenaire sans même t'en rendre compte.

- Un téléphone sonne, tu entraines ton partenaire vers celui-ci, et tu l'obliges à se pencher pour te laisser décrocher. Un bruit strident s'échappe alors de l'appareil vous obligeant à porter vos mains sur vos oreilles, étant menotter l'un à l'autre, cela devient alors compliqué de ne pas finir en coup de boule.

- Le mannequin au milieu de la pièce se met à bouger, tu ne comprends ni comment ni pourquoi, mais tout ce que tu sais c'est que tu t'approches de lui pour lui donner de grand coup de pied, y mettant toutes tes forces... Ce que tu ne sais pas, c'est que c'est en réalité ta peur qui te fit halluciner.
Alaïs Tucker
outs admin
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Alaïs Tucker
Dim 28 Oct - 11:14

Most people are so ungrateful to be alive,
but not you, not any more...
Jigsaw
@Cillian Whistler

Tu ne sais pas ce que tu fais là Alaïs, enfin si, tu le sais, tu avais décidé de suivre ta petite soeur, tu avais accepté de vivre ce truc avec elle, oui, mais avec elle seulement ! Ce que tu n’avais pas prévu, c’était qu’en arrivant devant ce jeu grandeur nature à Central Park, on vous annonce que les règles du jeu ne sont pas celles que vous pensez, que vous allez devoir changer de partenaire, et sans que tu n’es le temps de dire ou faire quoi que ce soit, te voilà menotté à un homme que tu ne connais en rien et tu sens la panique t’envahir. Tu ne supportes pas qu’on te touche les mains, et tu as conscience que cette position risque de s’apprêter à ce genre de chose, et rien que d’y penser, tu perds pieds. Tu souffles alors fortement, tu prends de grand inspiration et, les sourcils froncés, tu cherches ta soeur dans cette foule autour de vous. C’est quoi ce délire ? Mais c’est une nouvelle fois sans réponse qu’on te fait finalement avancé dans une pièce plongée dans le noir total. Tes pieds cessent d’eux même d’avancer, ne sachant pas où tu trouves, et ne voulant pas prendre le risque de tomber, encore moins alors que tu es maintenu par le poignet à cet homme qui sera visiblement ton compagnon de supplice. Au fait, moi c’est Alaïs, et je ne sais franchement pas ce que je f… Oh putain ! Tu ne peux finir ta phrase autrement que par cette injure alors qu’une lumière sombre et vacillante vous permets désormais de voir ce qui se trouvent dans cette pièce. Une salle de bain rempli de sang, un corps inerte sur le sol, tu sens de nouveau la panique t'envahir alors que tu fais un pas en arrière comme par réflexe. Tu as beau te dire que vous êtes dans un jeu, que ce corps sur le sol ne peut être qu’un mannequin, cette mise en scène est tellement bien réussi que tu arrives tout de même à te laisser prendre à la peur. Tu observes pourtant la pièce, regardant partout autour de toi jusqu’à ce que tu remarques une scie sur votre droite. C’est en cet instant que ça fait tilt dans ta tête, que ce film que tu as tant détesté et que ta soeur ta obligé à regarder avec elle refait surface. Oh les batards ! Regarde là, ya une scie, je suis presque sûr que le seul moyen de nous débarrasser de ces foutus menottes c’est de décider lequel d’entre nous va perdre sa main… La froideur de ton visage, et le manque d’envie cruel d’être ici font que tout paraît vrai dans ce que tu dis, alors que tu gardes bien assez en tête qu’il s’agit d’un jeu d’Halloween organisé par la ville et que donc tu te doutes bien que jamais tu n’auras à faire de tel chose pour sortir de cette foutu pièce, mais même si cela ne se remarque pas vraiment, cela t’amuse un peu. C’est comme dans le film Saw, je ne sais pas si tu connais, mais en tous cas, c’est ce qu’on attends de nous ya aucun doute… Et comme si tu voulais laisser penser que tu crois réellement en ce que tu dis, tu te mets alors à bouger en direction de cette scie, obligeant ton partenaire à te suivre.


Défis réalisés:
Anonymous
Invité
Dim 28 Oct - 15:27

Most people are so ungrateful
to be alive... but not you, not any more... _ Alaïs&Cillian

Le problème principal dans toutes ces pseudos réjouissances annuelles, c’est qu’il est très délicat de toutes les éviter. Surtout quand cette jeunesse braillarde du bureau du Procureur se met à hurler des défis à tout va, et soudainement se mettre en tête qu’il serait quand même éminemment intéressant pour la cohésion d’équipe que de se prêter aux diverses animations de la ville lors d'Halloween. Je trouve ça d’un goût particulièrement discutable de jouer avec la mort quand il s’agit de notre quotidien. Qui plus est quand l’ombre de l’Avorteur flotte sur nos jours depuis qu’il a su s’extirper de certains enfers. Mais il a fallu cesser d’aboyer sur chacun, l’oeil bienveillant de Gladys appelant toute ma clémence sur cette idée exécrable. Je suis venu avec les autres presque à mon corps défendant, cherchant jusqu’à la dernière minute des excuses qui ne venaient pas -repeindre le mur, changer la nappe de la salle de repos, mon allergie soudaine à tout ce qui est orange...-, parce qu’éborgner la joie factice à laquelle ils se raccrochaient tous, c’était par trop cruel. Tout s’est passé très vite après, les fers théâtraux m’ont mordu les poignets, je me suis retrouvé non pas affublé de mon équipe mais d’une passagère clandestine dans un décor de cauchemar, accueilli par mon mutisme confondant. La panique filtre de ses membres, se transmet désagréablement à mes muscles, cette proximité m’est dérangeante, rendant ma posture plus revêche et je maudis Andy et ses idées saugrenues. Il aurait mieux valu garder une froideur de circonstance et verser dans la cruauté la plus inébranlable plutôt que de s’infuser ça. Je fais ostensiblement la gueule, mon visage plus sec qu’à l'accoutumée. Ses injures rendues à la situation, et ses mots déjà trop nombreux, me font murmurer sombrement :
_ Vu que nous voilà compagnons d’infortune, j’imagine qu’il faut aussi en passer par les présentations. Cillian Whistler.
Je peine à ne pas ajouter ma fonction, presque protocolaire dans la façon de me présenter. Le corps grotesque attire mon regard glacial, j’ai une sorte de dégoût qui passe sur mes traits. Comme je le disais, quelle idée torve que de jouer ainsi avec la mort, quand dans ma profession, les cadavres défilent. Si elle ne m’avait pas soufflé le contexte, j’avoue que je n’aurais pas songé à Saw. Ces films qu’affectionnaient tant Liri… J’ai un claquement de langue sec et désapprobateur quand elle dessine la solution, ironique.
_ Oh je vous en prie, c’est une scie de décor, on s’amusera à s’amputer une fois prochaine si cela vous manque. Venez par ici, il y a quelque chose, près du cadavre…
Dans la traînée rougeâtre qui émane du corps, inerte et désoeuvré tel une poupée de chiffons se baignant dans l'hémoglobine. Mon déplacement dessine un pas martial qui l’emmène à contre sens de ce but qu’elle souhaitait atteindre. Nous voilà à tirer dans deux sens contraires, posant les jalons d’une entente difficile.
code by bat'phanie



Défi réalisé:
Alaïs Tucker
outs admin
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Alaïs Tucker
Mar 6 Nov - 21:09

Most people are so ungrateful to be alive,
but not you, not any more...
Jigsaw
@Cillian Whistler

Tu es partagé entre la peur et l’amusement Alaïs, tu dois bien l’avouer. Tu n’aimes pas du tout cette ambiance, si ta soeur ne t’avais pas embarqué dans cette histoire, jamais tu ne te serais retrouvé coincé dans une pièce avec un inconnu et encore moins menotté à lui. Tu détestes cette sensation, prisonnière, dépendante d’une personne que tu ne connais en rien, mais tu n’as pas vraiment le choix désormais alors tu essaies de jouer le jeu, un minimum en tous cas. C’est d’ailleurs pour ça que tu parles de cette scie, et de ce que cela t’évoque, mais sans que cela ne paraisse tu fais surtout ça pour ne plus poser ton regard sur le corps étalé sur le sol. Tu as beau te répéter mentalement que ce corps n’est qu’un mannequin et que tout ceci n’est qu’un jeu, tu es bien trop mal à l’aise face à la mort pour supporter de poser le regard sur lui et tout le sang qui l’entoure. Tu ne veux pas finir par faire un malaise, tu ne veux pas non plus montrer tes faiblesses à cet homme qui t’accompagne. Tu te dis pourtant que tu ne le reverras sans doute jamais, et que donc cela n’a aucune importance, mais tu es ainsi, tu refuses que qui que ce soit puisse voir à quel point tu restes une petite fille apeurée, cachée derrière cette femme qui se rapproche pourtant de la trentaine. Des épreuves tu en as assez vécu dans la vie, et tu sais très bien ce qu’est la mort, et c’est en pensant à cela une nouvelle fois que tu te baffes mentalement d’avoir suivi Ishtar dans ce jeu débile. Tu te baffes d’ailleurs une nouvelle fois lorsque que tu entends cet homme s’adresser à toi. Ton petit discours concernant Sax et la façon de vous séparer n’a pas l’air de lui plaire, tu ne lui extirpe même pas un rire, et cette façon qu’il a de s’adresser à toi te clou le bec très rapidement. Tu ne sais pas qui est cet homme, et tu dois avouer que tu n’as pas vraiment fait attention à sa présentation tellement tu étais perdue dans ta contemplation des lieux, mais là, cette façon plus que poli de s’adresse à toi te donne presque autant de frissons que le cadavre sur le sol. Tu viens d’un monde ou le vouvoiement se fait rare, d’un monde ou les bonnes manières n’existent tout simplement pas, alors oui, cette homme t’impressionne du coup et réveille un petit complexe qui est tiens, toi la gamine qui a cessé tout étude et quitté sa vie pour t’occuper de ta petite soeur, toi l’inculte qui n’a rien trouvé de mieux que de bosser dans un bar de striptease pour te faire de l’argent. La, tu te sens ridiculement petite et lorsque tu ressens la douleur dans ton poignet lorsque le jeune homme décide d’aller en direction inverse de tes propres mouvements, tu lâches les armes. Tu le suis sans un mot, tu l’observes même plus précisement, et tu cherches à ne pas passer pour plus idiote que tu ne l’es. Vous vous approchez alors du corps, et tu sens la panique t’envahir de nouveau, du moins jusqu’à ce que tu remarques le bout de papier dans la poche du type ensanglanté. Hey regarde dans sa poche ! Aide moi ! Comme dis plus tôt, le vouvoiement, tu ne connais pas vraiment, ou du moins, tu l’oublies très facilement. Ce n’est pas du manque de respect, loin de là, ce n’est juste pas vraiment dans tes habitudes, et là, tu es bien trop perturbé par ce que tu vois pour prêter attention à ce que tu dis. Tu te penches alors sur l’homme, au ralenti, tendant le bras libre de menotte, tremblante comme jamais pour chercher à attraper ce foutu bout de papier. Putain de merde, mais quelle connerie d’être venir ici ! Si ma soeur sort vivante de cet expérience je la tue de mes propres mains pour m’avoir fait vivre cet horreur ! Non mais Saw quoi, le pire film qui soit ! Fais chier fais chier fais chier ! Si tu bouges ne serait-ce qu’un sourcil connard, t’es mort ! Tu parles comme si tu étais vraiment capable de meurtre alors que tu as déjà du mal à tuer un simple insecte Alaïs, mais, étrangement, c’est le seul moyen que tu as trouvé pour extérioriser ta peur afin d’aller au bout de ton geste pour attraper ce papier sans même savoir s’il va réellement servir ou pas. Une fois fais tu pousse un petit cri assez strident en te redressant et en cherchant à reculer au maximum de ce mannequin, n’oubliant pas que dans le film, ce mec est quand même le méchant de l’histoire et qu’il finit par se relever pour faire encore plus de mal, et sans même réfléchir tu donnes le papier au mec qui t’accompagne, le frappant presque au torse sans réellement t’en rendre compte. Tiens, fais en ce que tu veux ! Tu respires fortement, tu essais de calmer le palpitant de ton coeur en prenant de grande inspiration, ignorant désormais totalement ton compagnon de calvaire.


Défis réalisés:
Anonymous
Invité
Mar 13 Nov - 11:33

Most people are so ungrateful to be alive
But not you, not any more... _ Alaïs&Cillian

L’agacement. L’agacement et l’amertume, c’est bien tout ce qui demeure dans ce décor de carton pâte tandis que les fers mordent mes poignets, me renvoyant à la posture des repris de justice que je me plais tant à enfermer. Ce n’est jamais moi, derrière les barreaux, jamais. Jamais moi qu’on entrave, qu’on condamne. L’obligation de ce jeu ridicule est si désagréable que je peine à retenir certains mouvements brusques qui aimeraient briser la chaîne, la laisser nous libérer, nous distinguer l’un de l’autre. Cette inconnue, un peu intimidée, d’une classe sociale si distincte de la mienne. Etrangère à mon monde, j’ai presque de la peine pour elle, je sais que les combinaisons telles que les nôtres sont vouées à l’échec, elles ne devraient pas exister. Dans un monde, un véritable monde et pas celui de ce décor usurpé, nous ne nous serions jamais croisés. Je dévisage son profil, avec la dureté des inspections froides qui me caractérisent, sans doute pour oublier les teintes blafardes de la pièce, le sang factice qui me donne envie de hurler. Je ne goûte que peu ce genre de plaisanterie, interdit même un amusement qui pourrait alléger une situation qui semble nous mettre mal à l’aise l’un et l’autre. Elle suit le mouvement, jolie poupée placide, quelque part dans ma tête, c’est ce que j’attends d’elle. Le corps est à nos pieds, nous avons progressé dans un ensemble peu harmonieux, avant qu’elle ne revienne à la vie, Alaïs. C’est comme ça qu’elle s’appelle. J’aide malgré moi, vu qu’elle me tire vers le bas, je consens à ployer, avec un grommellement très audible, surtout quand elle se met à jurer tant et plus.
_ Je crois que ce mannequin risque de s’émouvoir de vos menaces terrifiantes. Vous avez une telle conviction dans la voix.
Je me moque légèrement, et un sourire réveille mon visage, un sourire en coin, qui ne dissimule guère l’ironie de la situation. C’est une gentille fille, sans doute que la dureté de ces crimes que l’on dégueule dans des films d’horreur, elle ne la connaît pas. D’un côté, sa façon d’être si naturelle, dans une situation pareille, me détend légèrement, et je ricane, trébuchant dans sa retraite précipitée :
_ Hmm. C’est bien ce que je pensais. Terrifiante. Et effroyablement sûre d’elle.
J’attrape son larcin au vol, reçoit le léger coup qu’elle donne avec un haussement de sourcil, et déplie le papier avec application, pour lire le scoop de l’année en lettres disparates, tandis que je murmure :
_ La clef est ici. Tu m’en diras tant. Le suspens est à son comble.
Je balance le papier par dessus mon épaule avec dédain, avant de tirer presque délicatement sur les menottes qui nous relient.
_ Cherchons, voulez-vous ? Je n’ai pas envie de m’éterniser ici. Et vous nous plus, à ce qu’il semble.
Ma voix se modèle à son angoisse, cherche l’apaisement comme lorsqu’il s’agit de percer les défenses d’un témoin délicat, de ceux qu’il ne faut absolument pas brusquer. Je dis son prénom avec l’exacte même douceur :
_ Alaïs ? Ça va aller ?
Je n’attends cependant pas réellement de confirmation de sa part, l’entraînant irrepressiblement dans les coins les plus dérangeants de la pièce, où les ombres en surnombre nous traquent, nous aveuglent. J’ai un léger frisson, car je sens son peu d’envie d’aller plus avant dans ce qui ressemble à une mise en scène d’abattoir, verdâtre. Un son vrille à nos oreilles soudain et le sursaut qui m’étreint, je ne peux guère le maquiller, ma respiration plus menue et rapide. Je lui jette un coup d’oeil, l’intimant à suivre le mouvement, plus loin encore, où les sons se précipitent pour accompagner une marche devenue des plus stressantes. La clef, la clef et sortir de là, c’est tout ce qui compte.
code by bat'phanie



Défis réalisés:
Alaïs Tucker
outs admin
J'ai posté : 1286 messages et j'ai : 189 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Ruby Rose et pour finir je crédite : Lo

Alaïs Tucker
Lun 26 Nov - 18:22

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Jigsaw
@Cillian Whistler

Tu déteste cette univers, tu as détesté le film et cette mise en scène te confirme très bien que ce n’est pas du tout ton monde. Tu te sent mal ici, tu détestes le sang, tu détestes les morts même si tu sais très bien que c’est un simple mannequin sous tes yeux. Tu as senti ta mère perdre vie, tu as senti les battements de son coeur cesser de battre au creu de ta main et depuis, tu ne peux te résoudre à toucher la main de qui que ce soit. Tu ne veux plus jamais ressentir ce genre de chose, et tu tiens toujours à rester loin de la mort, du moins, du mieux que tu peux. Tu vis dans un quartier de merde, et ce n’est pas rare de voir des mecs se frapper dessus jusqu’à ce que l’un d’eux y perde la vie, mais tu as toujours su passer au dessus tout ça, tu as toujours réussi à protéger ton âme de tout ça. Mais là, dans cette pièce remplie de désespoir, tu perds pieds, parce que là, tu ne peux pas t’échapper, tu ne peux pas fermer les yeux. Tu prends sur toi, tu essaie de ne jamais oublier qu’il ne s’agit que d’un jeu, tu essaie d’aider ce mec que tu ne connais en rien à trouver une solution pour vous faire sortir d’ici, mais cela ne veut pas dire que tu gères la situation, loin de là même. C’est d’ailleurs pour ça que tu doit reprendre ton souffle lorsque tu es parvenue à attraper ce bout de papier dans la poche du pseudo cadavre. Tu entends le rire et les moqueries de Cillian, tu les entends très bien même, tu n’en tiens juste pas compte. Si ta soeur était là avec toi, tu sais qu’elle serait fière de toi, parce qu’elle, elle te connait, elle sait comment tu fonctionnes et elle sait très bien que ce que tu viens de faire, c’est déjà bien trop pour toi. Il a raison ce gars, tu n’as pas envie de t’éterniser ici, tu n’avais déjà pas envie de venir à la base, tu l’as fais pour faire plaisir à ta soeur, tu l’as fait pour partager un peu de temps avec elle, mais tu ne t’attendais pas à ce qu’on vous sépare arrivés sur place. Tu regrettes désormais d’être ici, et c’est pour ça que c’est une réaction automatique qui se fait lorsqu’il te dit qu’il n’a pas plus envie que toi d’être ici. Non en effet… Tu veux sortir d’ici le plus vite possible, il n’y a aucun doute là dessus, mais pourtant, tu as bien du mal à bouger. Tu as peur Alaïs, tu ne sais pas vraiment de quoi, mais tu es pétrifiée en cet instant. En plus de ça, il y a cette musique d’ambiance qui tourne en boucle depuis que vous êtes dans cette pièce et cela t’agace bien plus que ça ne le devrait. Tu as mal au crâne, tu as beau savoir que c’est cette situation qui te rend mal ainsi, tu n’arrives pas vraiment à gérer ton état, alors quand Cillian te demande si ça va tout en avançant dans la zone la plus sombre de la pièce, tu te stoppes net, tu refuses tout simplement de faire un pas de plus tout en pétant un plomb. Non ca va pas ! Je suis dans une pièce de merde, pour un jeu de merde et avec un putain d’inconnu qui pète plus haut que son cul ! C’est quoi cette façon de parler ? Vous vous vous ! C’est bon, pète un bon coup ca ira mieux ! Et puis cette musique de merde aussi là, si elle pouvait s’arrêter putain ! Cela ne te ressemble pas tout ça, et tu le regrettes automatiquement en réalité. Tu portes tes mains à tes tempes, sans même demander son avis a ton accompagnateur de galère et l’obligeant donc à lever le bras lui aussi et tu te masses le crâne doucement avant de reporter ton regard sur cet homme qui doit très certainement regretter encore plus que toi d’être ici désormais. Je suis désolée… J’aurai pas dû… Vous n’y êtes pour rien, je n’aime pas cette ambiance, et tout ça… Je gère pas très bien les mal de tête, je suis vraiment désolée… Tu t’en veux, et malgré le peu de lumière présente dans ce lieu, cela se voit sur toi, et tu espères vraiment que l’homme ne t’en voudras pas trop.


Défis réalisés:
Anonymous
Invité
Dim 16 Déc - 16:17

Most people are so ungrateful to be alive
But not you, not any more... _ Alaïs&Cillian

C'est mon pas martial qui nous entraîne irrépressiblement dans les ombres, un instinct viscéral, d'aller chercher toujours plus loin, dans les affres de ces ambiances malsaines, plutôt que de me borner à la marche logique d'une telle soirée. Je pourrais tenter de m'amuser, imaginer un instant être un autre, aux côtés de cette fille déglinguée. Je pourrais simplement protester, chercher la caméra de contrôle dans la pièce, et dire au technicien d'ouvrir tout de suite avant que je ne foute le feu à son décor ridicule. User de mon pouvoir même, pour mettre un terme à la mascarade. Mais non, quelque chose chez moi cherche les failles, des indices, à appréhender une situation pour en demeurer le maître. Jusqu'à chercher à calmer ma comparse, pour au moins faire en sorte que le voyage soit un peu moins agaçant. Et c'est là une foutue débâcle. Les nerfs de la fille lâchent, ils lâchent tout à fait et ses injures m'arrivent en pleine gueule, figent mes traits, font briller mes yeux. Brûlure, brûlure. Toute ma froideur devient quasiment palpable, mon être s'insurge après avoir été si longtemps et de façon si étudiée encombré d'un rôle qui me donne toujours et la prestance et la sobriété. L'on m'insulte c'est vrai. Combien de prévenus dans la salle d'audience. Combien d'avocats adverses dans les couloirs. Mais jamais... Jamais avec cette candeur-là, une sorte de naturel effroyable. Toute ma posture se statufie avant que je n'éclate d'un grand rire, un rire qui vient du ventre, un rire comme je n'en ai pas vécu depuis... Je ne sais plus depuis quand. Elle a tellement raison. Tellement raison c'est vrai de me caricaturer ainsi, moi et mes costumes, moi et mon foutu langage pour oublier toute une jeunesse pourtant pas si lointaine et beaucoup moins recommandable. Oublier ce caractère qui flambe toujours, au fond de l'estomac, et qu'il faut rassasier avec virulence pour éviter de le voir s'afficher dans tout mon corps. Je ris car elle dit vrai. Je reprends mon souffle et la regarde, incrédule :
_ Personne n'ose jamais me parler comme ça. Vous savez, c'est ce qu'ils pensent tous au boulot.
Je secoue la tête, le sourire aux lèvres, avant de passer une main qui dérange mes cheveux. Je la regarde encore et agite mon poignet pour qu'en miroir son bras suive, comme une poupée désarticulée :
_ Ne t'excuse pas, petite chose, ce n'est pas comme si je n'étais pas conscient d'être une putain de caricature. Mais qu'est-ce que tu veux, ce qu'il y a au-dessous, personne ne le sait trop.
Je mets un doigt sur ma bouche, comme pour l'intimer au silence, comme si je lui confiais un secret. Et c'est peut-être vrai, car dans l'éclair d'une phrase, elle peut saisir de moi bien plus que je ne mets en lumière au quotidien. Ce haussement de sourcil, ce qualificatif de "petite chose" presque affectueux, cette manière dont j'avais de qualifier ma soeur. Je reprends quelque peu ma superbe et indique le cadavre pas si loin de nous :
_ Tu en as marre je crois, alors allons secouer le cadavre pour voir s'il a cette foutue clef sur lui.
Je l'entraîne, commence à me baisser, avec elle, dans un ensemble presque synchronisé puis ainsi entravé, je demande à ce qu'elle soulève son dos pour que je puisse fouiller dans la veste plus facilement :
_ Tiens-le, comme ça... voilà... Attends, un peu plus...
Un peu plus et je passe ma main sous l'autre bras, pour atteindre la poche intérieure, faisant malgré moi un sorte de noeud avec les fringues du mort et la chaîne de nos menottes, nous encombrant plus encore.
_ Bordel de dieu...
Je finis par secouer le bestiau qui s'agite comme une pantomime ridicule, tentant de faire tomber quelque chose de lui, ou au moins de nous libérer de son poids.
code by bat'phanie



Défis réalisés:
La Croupière
général
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La Croupière
Ven 21 Déc - 13:14
Final Round
GOOD MORNING AMERICA
@ALAÏS TUCKER & @CILLIAN WHISTLER nous vous félicitons ! Vous êtes parvenu à trouver une façon de vous échapper... Enfin... Presque !
Citation :
Une porte s'ouvre devant vous, mais ce n'est pas la sortie, au lieu de ça, vous vous retrouvez coincé dans une nouvelle salle, encore plus étrange. Pas de sang, certes, mais des textes étranges sont inscrits sur les murs, et il va vous falloir découvrir ce que cela signifie pour enfin prétendre à sortir en vie d'ici. La surprise dans tout ça, ce sont toutes ces portes qui vous entourent, laquelle est la sortie ? Vous allez les tester, certainement, de toute façon, vous n'aurez pas le choix, elles s'ouvriront pour laisser échapper 13 fantômes, tour après tour, jusqu'à ce que vous parveniez à trouver une solution. Survivrez vous à cette folie ?

Afin de pouvoir prétendre à sortir de cette pièce, il va vous falloir réaliser des petites actions, 3 actions par participants plus précisément. Les actions sont à choisir dans la liste qui suit, mais attention il y a tout de même une petite réglementation.
1. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule action par réponse
2. Chaque action n'est utilisable qu'une seule fois par rp, ce qui signifie que si votre partenaire en a choisi une, vous ne pouvez prendre la même.
3. Si jamais vous avez déjà participé aux jeux dans un précédent rp, vous n'avez pas le droit de réutiliser les actions que vous avez déjà fait.
Comme vous le voyez, rien de bien compliqué, mais c'est important tout de même !

Une fois que vous avez réussi à réaliser vos 3 actions par participants, alors nous vous pouvez poster dans le sujet prévu à cet effet et ainsi demander la suite des événements.

Liste des actions réalisables

- Oh merde il y a un fantôme qui s'approche alors vite, tu te caches derrière un miroir sauf que ... celui-ci est fissuré ce qui veut dire qu'il ne vous ait d'aucune utilité. Il faut chercher un autre et vite !

- Il faut sortir de là, c'est ce que tu te dis sauf que au loin, tu vois une bouteille d'alcool. Tu ne réfléchis pas tu fonces après tout, tu as besoin de décompresser. Tu en bois deux verres et puis soudainement ... tu commences à avoir des hallucinations

- Un bruit, un peu de vent, voilà tout ce qu'il faut pour t'effrayer et tu te mets à courir dans tous les sens, finissant par foncer dans ton partenaire, lui offrant alors un coup de boule mémorable qui vous met ko quelques secondes tous les deux.

- Une porte s'ouvre, un fantôme en sort, et au lieu d'aller te cacher pour lui échapper, tu décides de rester en plein milieu de la pièce. Résultat, te voilà recouvert d'eau tombé du ciel, totalement trempé, tu comprends alors que le but du jeu est de ne vraiment pas se faire voir par un fantôme.

- Un chat semble apparaître de nulle part, un chat noir évidemment. Mais il est si mignon que tu oublies momentanément ta peur, tu veux le caresser et le couvrir de papouilles. Sauf que le chat ne semble pas apprécier et il te saute au visage pour le couvrir de griffures. Te voilà relooké pour Halloween.

- Tu essaies de déchiffrer une inscriptions sur un miroir à côté de toi, et tu le fais à voix hautes sans te rendre compte qu'il s'agit d'une incantation. Résultats, les 13 fantômes sortes soudainement de leur cachette pour se diriger droit sur toi. Caches toi vite !

- De ta cachette, tu observes ces fantômes qui se promènent dans la pièce, étonné par la beauté du jeu d'image de synthèse proposé. Discrètement, t'approches de l'un d'eux, dans son dos, pour essayer de le toucher. Surprise, tu peux réellement le toucher, et tu hurles alors de peur avant de courir te cacher de nouveau

- Pris de panique dès la sortie d'un fantôme, tu cours vers ton partenaire pour le pousser au milieu de la place en hurlant qu'il sera bien meilleur que toi à manger, qu'il faut le tuer lui et non toi.

- Vêtu d'un courage venu de nul part, tu t'adresses à ton partenaire pour lui faire savoir que tu vas jouer les appas pendant qu'il cherche le bouton de la sortie. Un fantôme sort et tu l'insultes pour attirer son attention avant de te mettre à courir dans cette pièce ronde en hurlant de peur, poursuivi par le fantôme en question.
Alaïs Tucker
outs admin
J'ai posté : 1286 messages et j'ai : 189 dollars d'activité. Sinon, il paraît que : Ruby Rose et pour finir je crédite : Lo

Alaïs Tucker
Jeu 27 Déc - 22:08

Most people are so ungrateful to be alive,
but not you, not any more...
Jigsaw
@Cillian Whistler

Tu t’énerves Alaïs, tu pètes un plomb et en plus de ça tu viens même à insulter le mec qui se trouve avec toi, coincé dans ce jeu pas drôle du tout. Tu t’en veux immédiatement, ce n’est pas toi de parler ainsi, mais ce qui est bien toi, c’est cette impulsivité dont tu peux faire preuve de temps en temps. Il faut dire que dès que tu trouves dans une situation que tu ne gères pas, tu as bien du mal à te sentir à l’aise, et cette main, bien trop proche de la tienne de part ces menottes qui vous lit, on ne peut pas dire que cela t’aide beaucoup à te comporter de manière sereine et intelligente. Cette musique qui tourne en boucle, ce type qui te donne l’impression d’être une moins que rien, il n’en fallait pas plus pour te faire craquer. Mais tu as beau t’en vouloir, ce qui t’étonne le plus en cet instant en réalité c’est le rire très franc que cet homme laisse entendre à tes côtés. Tu es la première à lui parler de la sorte alors qu’apparemment tu n’es pas la seule à penser ainsi. Tu ne sais pas trop ce qui a de drôle la dedans, mais ça a au moins le mérite de te calmer, incapable de comprendre la situation, tu te contentes de t’excuser, parce que même si tu penses vraiment que cet homme en fait des tonnes pour pas grand chose, ce n’était pas une raison pour lui parler ainsi. Tu le laisses te traiter de petite chose, même si tu fronces les sourcils en entendant ce qualificatif, tu ne sais pas comment le prendre, pour l’instant, tu le prends même plus mal que bien, mais tu prends sur toi pour ne pas l’insulter de nouveau. Il faut que vous sortiez d’ici, et tu as bien conscience que pour y parvenir il faut faire un effort d’entente, alors oui, tu fermes ta bouche, non sans le fusiller du regard. Tu entend tout de même son aveux, tu comprends qu’il ne montre que ce qu’il veut bien laisser voir, tel un masque afin de cacher sa véritable personnalité, et même si tu peux comprendre pourquoi certaine personne agisse ainsi, tu trouves ça dommage. A quoi bon être quelqu’un d’autre ? Comment réussir à avancer dans sa propre vie, si on vit la vie d’un autre ? Non, c’est quelque chose que tu ne comprends définitivement pas, mais une nouvelle fois, tu fermes ta bouche. Tu hausses les épaules lorsqu’il te fait savoir qu’il s’agit là d’un secret, ou du moins, c’est ainsi que tu le traduis, même si tu n’es pas forcément sûr de bien comprendre ce que cet homme essaie de partager avec toi. C’est alors un petit rire qui s’échappe de tes lèvres lorsqu’il fait savoir que tu en as clairement marre d’être ici, et cette fois ci, tu ne gères pas vraiment ta réaction. Non tu crois ? Évidemment que tu n’en peux plus, tu veux sortir d’ici, et le plus vite possible serait le mieux. Mais pourtant, lorsqu’il évoque le fait d’aller secouer le cadavre pour trouver un indice, tu ne peux qu’ouvrir en grand les yeux. Quoi ? Non ! Je te touche pas à ça ! Jamais ! Non ! J’ai dis non… Mais pourtant te voilà baisser sur ce pantin, les yeux fermés parce que tu refuses de voir ce qui se passe. Tu n’as pas vraiment eut le choix, Cillian a bien plus de force que toi et s’il décide de t’entrainer avec lui vers le cadavre alors tu ne peux que suivre, et lorsqu’il se baisse, et bien tu n’as d’autre choix que de te baisser aussi si tu ne veux pas souffrir le martyre au niveau de ton poignet. Après tout, tu as besoin de tes mains pour bosser, alors autant en prendre un minimum soin. Tu essaies de suivre les indications qu’il te donne même si tu détournes toujours le regard, regardant à l’opposé de vous jusqu’à ce que tu sentes un poids sur vos bras, te sentant comme piégée, mais ce n’est pas le plus important, non le problème réel ici c’est que dans cette position, vos mains menottés se retrouvent collé l’une à l’autre, et une nouvelle fois, tu ne te sens pas bien du tout. Je vais vomir… Ce n’est pas une blague, tu détestes cette sensation, et ce depuis que tu as senti le coeur de ta mère cessé de battre alors que tu lui tenais la main. Tu détestes qu’on te touche la main, tu détestes ressentir le coeur de quelqu’un battre contre ta main, parce que cette image te reviens immédiatement en tête, et que tu détestes revivre cet instant. Cela te donne la nosé, et tu sais que tu peux réellement finir par vomir si tu restes ainsi, alors tu te mets à secouer tes mains autant que tu le peux pour vous débarrasser de ce patin, et ainsi pouvoir éloigner autant que possible ta main de la sienne. Tu respires fortement, tu essais de te calmer autant que possible alors que tu entends un petit gling qui laisse comprendre qu’un objet vient de rencontrer le sol. Tes yeux naviguent dans tous les sens et cette fois c’est toi qui entraîne ton comparse sans lui demander son avis. LA ! La clé ! Tu l’attrapes rapidement et tu ouvres vos menottes, te sentant enfin libre, et respirant un peu plus convenablement alors que tu frottes tes poignets comme pour soulager la douleur ressenti. Putain que ça fait du b… Pas le temps de finir ta phrase que tu vois une porte s’ouvrir devant vous. Tu ne sais pas trop si cela veut dire que vous avez finis, tu ne sais pas non plus si tu dois passer cette porte, une chose est sûr tu n’es pas des plus sereines. Tu regardes alors Cillian, d’un air interrogateur. Tu penses qu’on doit y aller ? Question con, tu l’avoues, vous n’avez pas vraiment d’autre choix en réalité, alors tu t’avances doucement pour passer dans la pièce suivante, espérant que ce sera tout simplement la sortie. Ce n’est évidemment pas le cas, et cela se comprend rapidement à la première phrase qui sort de ta bouche en cet instant. C’est quoi ce bordel encore ? Tu observes partout autour de toi, cette pièce est différente de l’autre, aucune trace de sang cet fois, juste une grande salle entièrement ronde, rempli de miroir ici et là, et encore une fois, tu remercie ta soeur et sa passion pour les films d’horreur. Et merde… 13 fantômes… Fais chier… C’est le titre du film, mais tu n’as jamais vraiment comprend la trame, tu ne t’y es jamais vraiment intéressé en réalité, tout ce que tu sais c’est que les miroirs permettent de faire fuir un fantôme qui vous attaque, à moins qu’il soit cassé. Mais en attendant, ton attention se porte surtout sur cette bouteille posée pas loin de toi. Sans réfléchir, tu l’attrape et en boit quelque gorgée. C’est une attraction créée par la mairie, tu t’attends sincerement à boire de l’eau, rien d’autre, ce que tu ignores, c’est qu’en réalité, tu viens de te droguer toi même. Mais si tu n’en as pas conscience, peut-être que Cillian le comprendras alors que tu le regardes désormais avec un grand sourire Hey ! Depuis quand vous avez un troisième oeil ! C’est assez… etrange… mais ça te fait rire et mine de rien, ça fait du bien…

”défis réalisés”:
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[Films d'horreur] Alaïs & Cillian
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