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Nikolaus Krämer
Dim 10 Nov - 18:46
Let's do bungee (help me) Ellen & Nikolaus
Il y avait des jours où tout allait mal. Des jours où on avait qu’une envie et c’était de crier au ciel de nous les lâcher un peu, d’en donner aux autres. Dans le cas de notre allemand, c’était plus qu’une simple journée qui commence mal. C’était une accumulation, en fait. Il était de retour dans sa phase un peu grognon, pas la faute du trop pleins de gens qu’il avait dû côtoyer. Que ce soit à cause du boulot qui lui en demandait plus ces temps-ci, ou encore des fêtes qu’il n’avait pu refuser pour éviter de se manger des noms de « Ben c’est ça, tu dis jamais oui ! » et ce genre de chose. Il n’y avait que Charlie qui ne l’embêtait pas. Mais c’était un poisson. Au moins avec son besoin de solitude, il ne risquait pas de terminer dans un bar et de s’ajouter un souci de plus dans son existence : celui de devoir dealer avec le corps d’un inconnu alors qu’il refusait toujours autant de les accepter tels qu’ils étaient. Bon par contre, il n’avait pas manqué de se cogner le petit orteil sur le pied de son lit, puis de perdre pied dans ses draps pour tomber. Y’avais eu un petit hurlement de rage là, oui. Il en était rendu au point de croire qu’il avait attiré une forme de curse, alors qu’il se préparait un peu plus calmement pour sa journée au boulot.
Sa journée au boulot, celle qu’il ne voulait absolument pas faire. Il devait se forcer pour paraître heureux, aujourd’hui, prétextant encore une fois d’avoir des appels importants à faire avant de disparaître (presqu’en évitant tout le monde, pour être honnête) dans son bureau. Ou plutôt s’y enfermer pour ne rien faire d’autre que grogner en constatant que la petite lumière sur son téléphone lui laissait comprendre qu’à force d’utiliser cette excuse, elle comptait bien arriver. Des appels à retourner, des mails à consulter, des efforts supplémentaires pour avoir l’air gentil alors que son air à l’autre bout du fil ressemblait plutôt à King Kong. Et si sa patience était presque à sec, son dernier appel avec une veille dame en manque d’être humain avec qui discuter l’avait définitivement achevé. Il n’aurait jamais cru un jour, utiliser le fameux vieux truc du téléphone qui ne fonctionne plus bien. Jamais. Encore moins songer à appliquer la manière drastique de tout simplement raccrocher sans plus ni moins. Résultat ? L’après-midi débutait à peine et il était presque crevé. Il se retrouvait avec un gamin qui hurlait au fond de lui, pour tout dire. Un gamin de 33 ans qui était sortit de son bureau avec un air lasse de vivre, qui avait prit sans réfléchir la direction d’Ellen qui venait tout juste de s’installer pour transférer les photos et se tirer une chaise. Pour cogner déposer son front contre le bureau et grogner. Pourquoi elle ? Oh parce qu’il s’entendait très bien avec cette jeune fille et ce permettait une relation plus amicale qu’employé et patron. Surtout aujourd’hui. « T’es occupée là? Tout de suite? » Bah oui crétin je travaille. Surtout que son PATRON était là hein. Allô. « J’suis le seul qui a envie de se barrer aujourd’hui? » Bah non crétin, encore, on rêve tous de ne pas être au boulot et d’être payé quand même. « J’te paye ta journée et on se barre, t’en penses quoi? J’suis pas d’humeur, mais on le dit à personne. J’ai pas envie de payer une tournée de Bungee à tous mes employés tu vois? » Cette fois dit en secret, à la demoiselle, pour éviter de se faire entendre.
C’était quand même le monde à l’envers, et la preuve que Niko était un patron un brin particulier. Le boss qui vous avouait vouloir se barrer, et en prime vous payait la journée de travail pour passer du temps avec lui.
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Elle n’était pas forcément de bonne humeur mais elle arrivait toujours à garder le sourire. Là, c’était surtout qu’on lui faisait perdre son temps, rien n’allait assez vite, rien ne lui convenait. Il était rare qu’elle se plaigne, elle n’est pas vraiment en droit de le faire et pourtant, aujourd’hui, elle ne se gêne pas. Elle a appris avec le temps que lorsque quelque chose ne lui plait pas, il ne sert à rien de le garder pour elle, il est toujours mieux de laisser sortir ce qui ne va pas pour avancer. Elle pourrait ainsi probablement aller très loin aujourd’hui vue tout ce qu’elle aurait à dire et reprocher à certain. Un soupir traverse ses lèvres et elle finit par abandonner, elle sait que c’est peine perdue et que jamais elle n’arrivera à faire suffisamment entendre sa voix pour qu’on comprenne ce qu’elle veut. Ellen, elle reste la timide petite étudiante qui a à peine la vingtaine. Elle est cette fille un peu rêveuse qui sait pourtant très bien ce qu’elle veut dans la vie. Vivre de sa passion, ça ne devrait pas être compliqué à comprendre. Avec ce travail, elle a une réelle chance et c’est tout ce qui compte pour le moment, ça et le fait qu’il faudrait qu’elle se dépêche si elle ne veut pas se faire taper sur les doigts. D’un pas décidé, la voilà qui se rend au petit bureau qu’on lui a attribué pour commencer à charger des photos, autrement dire, pour faire le travail des autres, c’était pas vraiment à elle de le faire mais elle ne dit rien, trop gentille qu’elle est. Une photo, deux photos, elle ne fait pourtant pas plus, la chaise à côté de la sienne est tiré et quelqu’un s’assoit. Il ne lui fait qu’un regard pour retrouver le sourire, pour savoir que finalement, ce moment passera peut-être plus rapidement qu’elle ne l’aurait imaginé. « T’es occupée là? Tout de suite? » Elle fait une pause, arrête de taper sur son clavier pour tourner son regard vers son patron qui semble au bord de la crise de nerfs, ou quelque chose qui y ressemblerait en tout cas. “Je n’aurais rien à faire si tu avais des employés qui faisaient ce qu’on leur demande. Mais faut croire que certain soufflent eux-même sur les bougies de leur intelligence.” Evidemment, elle ne dira pas précisément à qui elle fait référence mais il suffit de la connaître un peu pour savoir qu’elle ne porte pas du tout dans son coeur Natasha, pour savoir que ces deux là, moins elles se voient, mieux elles se portent. « J’suis le seul qui a envie de se barrer aujourd’hui? » Faut croire qu’elle n’est pas au bout de ses surprise la Beta et qu’il lui en réserve encore plus d’une. Elle le regarde avec le genre de regard interrogateur, le genre qui questionne sans juger. Elle se demande ce qu’il entend par là, ce qu’il a derrière la tête. « J’te paye ta journée et on se barre, t’en penses quoi? J’suis pas d’humeur, mais on le dit à personne. J’ai pas envie de payer une tournée de Bungee à tous mes employés tu vois? » Et là, elle éclate purement et simplement de rire devant une telle franchise. Il est le patron, elle est l’employée et pourtant, des deux, c’est elle qui reste la plus raisonnable. Il est complètement dingue de vouloir partir de la sorte alors que l’après-midi ne fait que commencer et pourtant, c’est vrai que c’est tentant, elle pourra toujours rattraper son retard demain vue qu’elle devine sans mal que personne ne fera son travaille à sa place. “Ca va être quoi l’excuse pour partir ?” Parce qu’il en faut quand même une d’excuse, c’est ce qu’elle se dit, elle qui suit les règles bien souvent, en général, très peu quand elle est avec lui en fait.
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Nikolaus Krämer
Mar 18 Fév - 20:52
Let's do bungee (help me) Ellen & Nikolaus
Il semblerait bien que Nikolaus ait demandé à la bonne personne pour cette folle idée. Ellen était bien meilleure que lui pour cacher ses émotions, toutefois. Lui qui venait presque de faire une petite crise de dépression à son bureau. Honnêtement, sa remarque venait de lui passer en majorité dans une oreille pour ressortir de l’autre. Il était parfaitement conscient qu’il n’était pas parfait, tous comme quelques-uns de ses employés mais, il n’avait pas encore la volonté pour avoir une discussion sérieuse, du moins pas aujourd’hui. Ou peut-être un peu plus tard. Un jour, qui sait. « Hein? » Il n’avait pas trop compris de qui elle voulait bien parler, bien entendu. « Je… Qui ? Enfin non pas tout de suite. Mais par contre, faudra me le dire un jour. Tu sais bien, les souris elles dansent quand le gros chat, alias moi, est pas dans le coin. Je crois bien que c’est la logique de base de toute entreprise. J’veux pas jouer à l’autruche par contre, sauf aujourd’hui. » Il devait bien mettre ses couilles de patron quand les choses n’allaient pas si bien. Une nouvelle réalité qui lui abaissait un brin le moral.
Mais le rire de la demoiselle a un petit effet bénéfique sur sa personne. Un peu de joie fait toujours un peu de bien après tout. Et il prend ce début de réponse, pour un oui à sa proposition sortant de l’ordinaire. Elle est même ouverte à la construction d’un plan. Lui qui était venu la tête vide, il n’avait pas pensé à ce fait qu’ils devaient se trouver une excuse. « Ah merde c’est vrai. Bon on a le choix entre l’approche drastique ou plus douce. J’pourrais m’ouvrir la main avec un ouvre enveloppe, avec du ketchup J’veux pas réellement me faire mal tu vois ? Ça va ruiner notre sortie. Et puis après tu m’amène à l’hôpital ? Par contre, je suis pas photographe pour rien : je fais un piètre comédien. » Il ne manquait pas d’imagination par contre. « Faudrait trouver un truc, qui n’implique pas le classique d’un contrat, parce qu’il faudrait amener tout notre matériel. À moins que… On aille cherche du matériel, j’ai besoin de bras. Et au retour, j’aurais qu’à dire que si c’était aussi long, c’est parc qu’on s’est perdu en chemin. Ensuite ? La commande n’a jamais été passé, surprise, et du coup on est là à s’obstiner pendant des heures pour revenir les mains vides. » Finalement il n’en avait pas tant que cela, de l’imagination lorsqu’il devait se montrer plus raisonnable et sérieux. « Mais attend, je suis le patron, je fais ce que je veux. » Sa mentalité d’homme trentenaire venait de le quitter oui. « Les gens vont croire automatiquement que c’est lié au boulot et ils ne se poseront pas de question. Non ? » Il trouvait sa réflexion relativement logique, mais en même temps, il avait un doute. Autant demander l’avis de sa partenaire de crime.
« Ah mais aussi, faudrait se trouver une activité palpitante. Ça pourrait nous aider à se trouver un plan entre deux qui sait. » Il avait opté pour le ton du murmure, de la cachoterie, pour éviter les oreilles indiscrètes. Quoi qu’elles n’auraient absolument rien compris de ce qui se passait. Le hamster de Nikolaus qui bien vite, roula à toute vitesse pour des idées les plus loufoques les unes que les autres. « On pourrait aller voler l’oreille d’einstein au musée de madame Tussaud? Ou parlant de vol, pourquoi pas le zoo? J’ai toujours rêvé d’avoir un panda roux et puis Charlie – c’est mon poisson- il commence à être un brin ennuyant tu vois ? Ou encore on disparait à L.A. j’ai toujours rêvé d’aller voir ce coin pays. Mais après je sais pas si c’est loin ? Quoi que y’a beaucoup trop d’humains donc c’est pas une bonne idée. Un tour d’hélicoptère alors ? Je suis tout ouïs à tes suggestions aussi. »
electric bird.
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Ellen C. Rodriguez
Dim 1 Mar - 21:53
Let’s do bungee Nikolaus & Ellen
C’est pas tous les jours qu’un patron va voir l’une de ses employés pour simplement lui dire qu’il n’a pas envie d’être présent au travail. Elle devrait être habituée Ellen, elle devrait savoir que c’est quelque chose de normal quand on a Nikolaus comme patron et pourtant, elle a l’impression que jamais elle ne s’y fera. Est-ce qu’elle travaille elle ? Evidemment, comme si elle avait le choix en réalité. Oh c’est vrai qu’elle pourrait l’avoir, elle pourrait faire comme tous ceux qui se tournent les pouces quand le patron à le dos tourné, comme tous ceux qui font juste semblant parce que ça fait bien. Elle, elle est la petite dernière, elle est la gamine qui a atterrit là et qui doit se faire une place. Alors forcément, c’est elle qui doit rattraper les erreurs, faire ce qui n’a pas été fait juste pour prétendre que tout roule. Dans d’autres circonstances, elle n’aurait rien dit mais c’est pas la première fois, elle a bien compris que ça ne serait pas la dernière si elle n’avait pas le courage de dire quelque chose. Mais finalement, il y a le regret qui s’insinue en elle. La délation, c’est pas trop son truc, c’est pas ce qui la fait frissonner. Elle aurait aussi bien pu dire ça comme ça, pour faire genre mais il lui suffit d’un regard vers Nikolaus pour savoir qu’il la prend au sérieux, qu’il sait qu’elle ne plaisante pas et que tôt ou tard, elle va lui devoir des comptes pour qu’il comprenne ce qu’elle entendait réellement par ses propos. Mais ça peut attendre, il veut juste partir, fuir tout ça et elle ne va le contredire, c’est lui le patron après tout alors pourquoi ne pas en profiter un peu pour une fois. Le tout, c’est d’avoir la bonne excuse. Enfin pour elle car si Nikolaus est bien le patron, Ellen, elle n’est que l’étudiante qui a la chance de travailler dans cette boîte de photographie. Ca serait bien mal vue vis à vis des autres employés. C’est pas trop son truc les on dit, c’est certains pourtant, elle veut pas qu’on la mette à part simplement parce qu’elle a le malheur de bien s’entendre avec le patron, ça ne serait pas juste. Ellen, perdue dans ses pensées. ellen qui pourtant écoute avec attention chaque mots, chaque paroles prononcés par Nikolaus. Il parle beaucoup trop comparé à elle qui se fait bien discrète. Peut-être parce que dans sa position, on ne parle pas, on exécute les ordres normalement, ou simplement parce qu’elle est comme ça, la discrétion fait partie d’elle, elle a toujours été ainsi. « Franchement ? Si je ne savais pas que tu fais de la photographie, je me dirais que tu écris des scénarios pour des films ou même des romans. C’est fou l'imagination que tu as, et le débit de parole aussi. » Fallait bien qu’elle le souligne, qu’elle lui fasse savoir que si elle est admirative des idées qu’il peut avoir, elle est aussi franchement dépité par la quantité de mots qu’il peut laisser entendre à la minute. « Mais tu as dit quelque chose de très pertinent… tu es le patron alors tu fais ce que tu veux, toi. C’est plutôt moi qui ait besoin d’une excuse, tu ne penses pas ? » Parce que l’excuse, c’est le patron qui l’a dit, elle est pas sûre que ça fonctionne la belle Ellen. Ca vaudrait le coup d’essayer tout de même, ça serait sympa de voir la réaction de certain en tout cas, pas sûr que ça plaise à tout le monde pour autant. « Voler l’oreille d’Einstein ? Sérieusement, t’as quel âge ? » Mais ça la fait rire malgré tout, elle est comme ça la gamine, tout en simplicité. « Pour le panda roux, je ne suis pas convaincue non plus… Los Angeles, c’est de l’autre côté du pays. T’es sûr de connaître notre pays au moins ? Je commence à douter là. Encore que t’aurais pu me sortir Honolulu. » Capitale de l’Etat d’Hawaï, ça aurait pu être sympa, s’ils n’avaient pas eu qu’une seule journée pour y aller et en revenir en tout cas. « Un tour en hélicoptère ça pourrait être sympa bien qu’assez rapide, je le crains... Tu me donnes envie de faire un truc fou mais j’arrive pas à savoir quoi ! Je ne vais pas te dire qu’on a qu’à aller taguer des murs ou voir des gens danser dans la rue à Harlem… je sais pas de quoi j’ai envie juste, qu’on se sauve vite d’ici avant qu’on ne m’apporte encore du travail. » Parce qu’elle les connaît tous autant qu’ils sont à force. C’est bien leur truc de lui rajouter du boulot quand ils voient qu’elle semble avoir terminé tout ce qu’elle avait à faire. « On pourrait aller dans un cabaret ? J’ai toujours eu envie de voir ce que ça faisait la mode frenchies, moulin rouge. » Elle prononce à la française avec un horrible accent anglais, elle fait de son mieux en tout cas. Mais c’est une idée bien stupide en tout cas, fallait juste qu’elle laisse entendre que ça fait partie de sa liste de choses à faire avant de mourir.
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Nikolaus Krämer
Lun 16 Mar - 18:31
Let's do bungee (help me) Ellen & Nikolaus
Il est vrai qu’à l’entendre parler, on aurait facilement pu croire qu’il était écrivain ou encore dans le monde des films. Si on ne voyait pas d’ailleurs son air changer pour une profonde réflexion. « Je n’aurais peut-être pas dû me diriger vers la photographie tout compte fait. Mais trop tard. Quoi que si un jour je parviens enfin à jongler parfaitement bien avec ma compagnie pour avoir plus de temps libre, je pourrais y songer un peu plus sérieusement en plan B. Les artistes ont tendances à faire 56 projets en même temps après tout. Je ne sais pas comment ils font. » Au moins il rigolait, ne prenant pas le moins du monde mal ce qu’elle venait de lui dire. Elle avait raison après tout : Il parlait beaucoup, lorsque l’envie lui prenait. Heureusement ce n’était pas tout le temps le cas, mais il semblerait bien que dans sa crise de désespoir, ce soit le cas. L’ennuie qui lui pousse à devenir cette autre personne, digne d’un TDAH buccale. Le retour de son air pensif ne se fit pas attendre, Ellen démontrant un point que niveau excuse, c’était plutôt elle qui en aurait de besoin. « T’as une grand-mère ? Elle pourrait être en train de mourir. Si tu veux faire une scène c’est facile. Je vais t’appeler, tu fais ta crise de larmes ou je ne sais trop, je te laisse quitter, puis je te suis éventuellement. L’appel est nécessaire, parce que j’ai déjà fait le coup et mon téléphone a sonné, je crois que ma date avait compris que ça ne fonctionnerait pas bien entre nous mais voilà. » Au moins son imagination ne manquait pas de ressources malgré les obstacles. « Évidemment t’es pas obligée de faire une vraie crise, mais tu peux au moins faire mine d’être désemparée. T’as déjà fait un cours en théâtre ou je trouve autre chose? » Allez, il allait bien rencontrer son mur un moment ou un autre. Espérons-le du moins sinon ils n’allaient jamais sortir d’ici.
La suite, ne fit que prouver l’aplanissement total des hiérarchies au sein de sa petite entreprise. À la question concernant son âge, Nikolaus avait rigolé. Alors qu’en vrai jamais on n’oserait voir une telle scène dans une réalité tout autre et bien plus sévère, bien plus digne de la culture américaine. « Mon corps a passé le cap des 30 ans. Pour le reste ? J’ai surement encore l’âme d’un adolescent. Moins les hormones. » Non il n’était pas obligé de spécifier, mais elle avait posé la question et il aimait bien répondre avec le plus d’informations que possible. Il semblerait. « J’ai une excuse pour pas connaître le pays : Je suis né en Allemagne. Et puis je suis un photographe sans diplôme. C’est normal que l’intérêt d’apprendre les États n’est jamais né en moi, je crois. Mais ça sonne vachement exotique Honolulu, c’est loin? » Il parlait de sa personne en même temps, honnêtement, sans se retenir le moins du monde. Il ne parlait pas à n’importe qui après tout mais bien à Ellen, alias une des employés avec qui il s’entendait le mieux. Il rigolait encore une fois aux dires de la demoiselle, tout de même bien heureux qu’avec ses conneries, elle ait bien envie de faire un truc complètement fou. « C’est vrai hélico égale rapide. J’veux prend le reste de la journée loin d’ici après tout. Mais tu as tout de même des bonnes idées, si j’avais un peu de talent en dessin qui n’est malheureusement pas le cas. La danse, on n’en parle pas. » Il était coincé, notre petit Nikolaus, à ce niveau. Il suffisait de lui proposer en blague de le prendre en tant que modèle pour des photos pour y voir son malaise évident. Comment avoir le talent de tout placer, que tout soit parfait, et se transformer en petit bleu incapable d’appliquer son art sur lui-même. « Par contre le cabaret ne requiert aucun talent. Je suis partant! Je ne suis jamais allé mais je suis bien curieux de voir aussi, va pour ça ! » Il était tout enthousiasme notre monsieur. « Bon alors pour l’excuse, je te donne le coup de fil ? » Il avait une main sur ses fesses déjà, à sortir le téléphone de sa poche. Après il ne devait pas rire, il ferait de son mieux pour le faire une fois sortit de l’édifice promis.
electric bird.
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Ellen C. Rodriguez
Sam 28 Mar - 15:04
Let’s do bungee Nikolaus & Ellen
Avec Nikolaus, elle n’a pas besoin de mâcher ses mots. Elle peut être naturelle, dire ce qu’elle pense sans que ça soit mal perçu. Un des avantages à être si jeune et à être devenue rapidement amie avec le patron. Elle ne cherche pas le favoritisme, loin de là même, mais c’est tout de même agréable de savoir qu’elle peut bénéficier de quelques passes droits. « Tu peux toujours essayer de développer le projet. Peut-être que tu pourrais lier ça à la photo, qui sait, t’es assez tordu d’esprit pour réussir à concevoir un truc. » Encore un truc qu’elle peut se permettre parce qu’ils sont amis, jamais elle ne l’aurait fait sinon. Mais c’est amusant de voir qu’une simple idée en l’air pourrait potentiellement donner lieu à quelque chose de concret. Mais au moins, ils sont sur la même longueur d’ondes, ils ne veulent pas rester en ces lieux une minute de plus. La seule différence, c’est que lui est le patron, quand elle n’est qu’une employée. Alors il peut partir sans avoir à se justifier, si c’était elle qui le faisait, ça serait probablement mal perçu. Est-ce qu’elle tente quand même le coup ? Elle ne sait pas trop. « J’aime pas trop mentir comme ça, faire ce genre de chose… mais si c’est le mieux à faire pour que j’ai la paix, alors je te fais confiance. Je suis assez bonne comédienne, t’en fais pas, tu pourrais même y trouver ton compte et m’embaucher le jour où on acceptera un de tes scénario à Hollywood. » C’est vrai qu’elle n’est pas à l’aise mais parfois, il faut ce qu’il faut pour que tout se déroule pour le mieux. Alors un mensonge de plus ou de moins, ça changera pas grand chose, c’est juste histoire d’être crédible, de pouvoir partir sans avoir à se poser plus de questions sur ce que les gens pourraient dire. « Ca j’avais bien compris que dans ta tête, on était loin de l’âge réel mais c’est ça aussi qui est amusant, on ne s’entendrait peut-être pas aussi bien sinon. » C’est même certains. S’il était le genre trop sérieux, à suivre les règles en toutes circonstances, il n’y a pas de doutes que leur relation ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. Ca lui manquerait sans doutes, il lui manquerait quelque chose en tout cas sans savoir de quoi il s’agirait. « Honololu c’est la capitale d’Hawaï, tu sais la petite île, état des Etats-Unis et… oh et puis je ne sais même pas pourquoi je m’embête à te dire ça, c’est pas aujourd’hui de toute manière que nous allons prendre l’avion pour y aller. » Mais il y a toujours le problème de savoir quoi faire. C’est bien beau de partir, de s’échapper de cet enfer mais il faut encore avoir une raison, au moins pour eux, pour ne pas se retrouver à vagabonder dans les rues new-yorkaise sans aucuns buts précis. Un tour en hélicoptère, c’est non, c’est trop rapide, ça ne les occupera pas bien longtemps et elle n’a pas vraiment envie de découvrir maintenant si elle supporte ce genre de chose ou non. Le dessin comme la danse sont laissés de côté, même si elle n’avait jamais dit qu’elle danserait pour le coup. Mais au moins, il y a un truc sur lequel ils tombent d’accord, cette histoire de cabaret. Elle ne sait pas vraiment comment ça lui est venu, ni pourquoi d’ailleurs. Juste que c’est un truc qui pourrait lui plaire à la jeune femme, qui pourrait être amusant à faire avec Nikolaus aussi. Voilà comment ils en sont arrivés à savoir quoi faire de leur journée, plutôt que de travailler. « Non, laisse tomber le coup de fil. » Déjà, elle rassemble ses affaires, l’air de rien. « La seule personne à qui je dois rendre des comptes ici, c’est toi, et si je suis avec toi, tout est bon, non ? Parce que franchement, autant te le dire, si on nous entend, qu’on vient me questionner plus tard, c’est là que je risque le plus de dire une connerie et ne pas comprendre ce qu’on me raconte... » Elle imagine déjà quelqu’un prendre des nouvelles, lui demander comment va sa grand-mère, sans qu’elle ne comprenne rien de ce qui se passe et qu’elle mette les deux pieds dans le plat.
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Nikolaus Krämer
Jeu 2 Avr - 0:40
Let's do bungee (help me) Ellen & Nikolaus
Une conversation qui pourrait bien créer des expressions typiques de gros chez certains, mais certainement pas chez le concerné, Nikolaus. Il aimait bien Ellen, sachant bien que ce n’était pas dit dans le but d’une insulte, mais plutôt de la petite rigolade. Ils avaient appris à se connaître après tout, tous sachant bien qu’ils pouvaient s’en permettre avec un et l’autre. Serait-il venu faire sa crise d’ennuie à n’importe qui? Bien sûr que non. « C’est une idée. Je promets d’essayer et de te montrer mon premier scénario le jour ou j’arriverais à jongler parfaitement bien avec l’entreprise et ma vie personnelle. » Ils déconnaient bien tous les deux, sortant du cadre du boulot de temps à autres pour aller prendre un café même. Aujourd’hui? C’était la sortie du cadre, mais plutôt forcé car tous les deux devaient travailler. « Si cette double carrière fonctionne bien pour moi, promis, je vais t’engager aussi pour être comédienne. » Il pouvait bien promettre ce qu’il voulait, il savait très bien que cette idée folle n’arriverait pas de sitôt.
Le délire qui se poursuivait, le volet de l’âge mental faisant surface, un nouvel échange qui pourrait une nouvelle fois choquer les oreilles indiscrètes. Mais Nikolaus lui, rigolait encore une fois. Il venait après tout, de lui tendre la perche vers la blague de sa mentalité, trouvant même un moyen de le rendre plutôt positif en fait. « Tu as bien raison. » Il ne s’amuserait pas avec la plupart de ses employés en général, s’il avait la mentalité d’une homme d’affaire, de 34 ans. Bien trop sérieux, bien trop occupé à émettre des cadres, et tout le reste, en oubliant l’aspect humain qui était au cœur des entreprises. Chose que lui, avait au moins compris. Il n’en serait certainement pas là de toute, son entreprise fonctionnant très bien, à sa façon, malgré ses obstacles et ses points à retravailler. Mais il apprenait, dans le processus, se laissant une chance, sans jamais baisser les bras. Sauf aujourd’hui. Il ne voulait rien savoir de tout ça, et rêvait de cette petite pause. « C’est très spécifique. Je prends note de ne jamais participer à un quizz géographique contre toi. Sauf si le sujet en question se trouve à être l’Allemagne. » Alias, son pays d’origine, ses racines qu’il se permettait d’aller visiter de temps à autres, pour son propre plaisir ou pour la famille.
Puis elle l’avait dit, la phrase logique qui ne faisait que souligner le temps qu’ils venaient de perdre à trouver la solution miracle alors qu’il n’y en avait pas. Au moins, ils s’étaient amusés avec l’imagination débordante de Nikolaus, avant d’en venir à cette conclusion qu’effectivement, elle n’avait des comptes à rendre qu’à son patron. Et il se trouve que son patron était la même personne qui lui demandait de se barrer d’ici pour aller faire une activité quelconque, peu importe quoi. « C’est vrai, tu as totalement raison. Tu sors avec moi, de toute, ils n’oseront pas trop se mettre le nez dans tout ça j’imagine. Ou alors je ne suis pas assez curieux dans la vie. Et puis bon, je ne peux pas non plus te contredire sur le reste, j’aurais aussi tendance à oublier le petit mensonge. » Car ce dernier ne serait qu’une excuse éphémère et qu’il n’était pas assez malin pour être un as dans l’art de la manipulation et du mensonge. Sauf pour lui-même, bien entendu. Mais ça, c’était autre chose. Dans tous les cas, ils se bougèrent enfin pour appliquer ce qu’il désirait tant : quitter le boulot pour le reste de la journée. Sans plus ni moins, en prenant la direction de la voiture du patron qui n’avait pas la moindre trace de rouille. Un gentil homme qui ouvrait la portière à sa passagère, avant de prendre place à son tour mais derrière le volant (bon ok elles s’ouvraient toutes seules). Pas pour conduire, vive les Tesla qui le faisait par elles-mêmes. « T’as une idée de l’endroit où ça se trouve ? Ne te gêne pas si tu dois arrêter à quelque part, autant en profiter. On n’est pas pressés. »
electric bird.
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Ellen C. Rodriguez
Lun 20 Avr - 12:17
Let’s do bungee Nikolaus & Ellen
Elle sourit, se permet même un rire parce que ça lui semble normal en compagnie de Nikolaus. Elle doute en revanche d’être la bonne personne pour faire la comédienne. Certes, elle sait se débrouiller, l’avantage de la gueule d’ange sans doutes et pourtant, elle n’a jamais eu cette envie que d’autres ont d’être en continu sous le feu des projecteurs. Elle se contentera de regarder, voilà tout. Pour l’heure, la question qui la taraude plus qu’autre chose, c’est de savoir où ils vont bien pouvoir aller. Parce que c’est bien beau de vouloir s’échapper, de vouloir fuir le travail mais quand on ne sait pas où aller, ça rend les choses un peu plus compliqué. Graffiti, danse, hélicoptère, partir loin. C’est tentant, très tentant et pourtant, elle sait qu’ils n’ont pas l’éternité devant eux pour faire tout ça. C’est pas aujourd’hui qu’ils pourront aller à l’autre bout du pays, en Californie par exemple et elle lui fait comprendre. Californie ou même Honolulu, l’idée n’est pas forcément la meilleure en cet instant précis et elle lui fait savoir, lui montre qu’elle a raison. « Qui te dit que même sur l’Allemagne, je ne suis pas incollable ? » C’est faux, elle ne sait pas grand chose à propos de ce pays, elle qui n’a jamais quitté son Amérique natale. La question qui se pose, en plus de savoir où aller, c’est comment elle pourrait partir sans éveiller les soupçons. Elle n’est qu’une étudiante qui a la chance de travailler alors elle ne peut pas se permettre de mettre en danger sa place, bien qu’il s’agisse du patron qui lui demande. Elle a envie de partir, sans doutes tout autant que lui mais pas de mensonge, elle ne saura jamais s’en sortir, s’en souvenir à la perfection. Alors elle préfère jouer franc jeu. Finalement, qu’est-ce qu’elle à craindre si elle part avec le patron ? Pas grand chose. Alors elle remballe ses affaires, affiche un sourire presque trop sincère pour être honnête et se lève pour le suivre, feignant l’ignorance des regards sur elle. On lui posera peut-être des questions, elle y répondra, elle n’a rien à cacher après tout alors pourquoi elle a aussi peur de ce que les gens pourraient penser d’elle, de son comportement ? C’est étrange alors qu’elle n’a jamais été comme ça de toute sa vie, elle déteste ça en tout cas. Elle le suit alors, prend sa place dans la voiture et attend bien sagement. Elle va être étrange cette journée, elle n’en doute pas une seconde. « Je pense que si on doit chercher quelque part, c’est du côté de Broadway, tu en penses quoi ? » En tout cas, à elle, ça lui semble être le meilleur endroit où chercher s’ils veulent vraiment aller dans un cabaret pour passer la journée. « Pourquoi tu es venue me chercher pour que je vienne avec toi ? T’as pas des gens de ton entourage pour faire ça plutôt qu’une de tes employées ? » Non pas que ça la dérange réellement en fin de compte, ça lui permet une journée d’évasion mais au moins, elle pourrait comprendre, elle pourrait savoir ce que ça veut réellement dire, pourquoi elle, pas une autre.
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Nikolaus Krämer
Mar 5 Mai - 0:03
Let's do bungee (help me) Ellen & Nikolaus
Était-il devant un être doté d’une intelligence culturelle et géographique? Peut-être bien que oui. Nikolaus avait un petit doute, tout d’un coup, ignorant s’il ferait mieux d’éviter de lancer un quiz surprise sur son pays natale ou risquer le tout pour le tout au risque de se faire détruire par ses connaissances. Il aurait l’air idiot dans le second cas, et son orgueil aurait mal sans le moindre doute. « Ça reste à voir. Je prends note de rajouter des questions sur l’Allemagne lors de ton évaluation. » C’était faux, bien entendu. Il était de toute manière plutôt difficile de le prendre au sérieux aujourd’hui, après sa petite crise existentielle. Aux yeux d’Ellen du moins, c’était bien elle qu’il était venu voir en privé, plutôt que d’en faire une pièce de théâtre. Un choix plutôt judicieux pour pouvoir quitter sans plus ni moins les lieux. Un peu ignorant qu’Ellen allait peut-être bien devenir la cible de questions et de curiosités. L’avantage à être le patron, était d’être à l’abris de la plupart de ces questionnements. Tout simplement par la faute de cette hiérarchie invisible, et qu’on ne se mêlait pas des affaires du grand patron. Mais malheureusement il n’y avait pas pensé et même si, il ne doutait pas de l’intelligence et de l’imagination d’Ellen. Ou alors elle n’aurait qu’à lui relancer la balle puisque toute cette histoire était de sa faute, et devrait dealer avec la curiosité du courageux employé qui viendrait de lui demander.
Bref. Cette partie de l’histoire avait été réglé, désormais le reste du plan devait s’activer. Il fallait trouver l’endroit dans la ville et son voisinage. « Broadway? Je pense que c’est pas con du tout et que ça doit être l’endroit idéal. » Il y avait une différence entre un spectacle de Broadway, et celui dans un coin bien plus tranquille et peu habité de la grande ville de New York, après tout, n’est-ce pas? Bon oui le prix venait avec, c’est un fait mais, ce n’était pas très important pour lui. Il avait les moyens et pouvait se le permettre largement. Il avait pris quelques minutes pour fouiller dans le quartier, avant de trouver une adresse et de la rentrer dans son GPS. Pour le reste, il n’avait même pas besoin de rien faire, elle allait s’y rendre sagement sans se soucier du reste. Ce qui pouvait lui permettre de garder l’attention sur sa voisine, qui n’avait pas tardée à lui poser une excellente question. Légitime même. Il l’avait choisi elle, parmi tous ses employés présents. Sa réponse première? Un haussement d’épaules. Un indice sur la nature plutôt coup de tête, en surface. « Tu sais mon entourage, sont des adultes responsables qui travaillent tous. Ils auraient dit qu’ils ne peuvent pas, tu vois? Ça j’imagine que c’est une des raisons logiques. » Ce qui était totalement vrai. Les gens étaient tous prisonniers de leurs train-train quotidiens. Trop occupé dans le rêve américain, dans le boulot, trop crevé pour faire autre chose une fois qu’ils étaient rentrés tard le soir parce qu’ils étaient des bourreaux de travail. « Après la solution facile? Bon oui y’a la logique de l’employé puisque je suis le patron et que je peux donner un congé gratos comme ça. Enfin un congé forcé et payé. » C’était pas mal ça en fait, le deal de la journée. Un congé forcé mais il lui payait malgré tout, en plus de l’amener avec lui faire une activité. « Sauf que toi, t’es pas juste une employée. J’veux dire, y’a pas de cette connerie hiérarchique entre nous. J’ai jamais été pour d’avoir des chouchou, mais tu me rend la tâche vraiment difficile. » Et le voilà qui affichait son sourire en coin bien amusé, avant de rigoler. C’est vrai quoi, Ellen, il s’entend plus que bien avec elle. C’était génial d’avoir dans ses employés, une avec qui il pouvait déconner.
Le chemin ne fut pas bien long, le trafique habituel mais qui pour une fois, roulait relativement bien. C’était l’avantage à être sur la route ni tôt le matin, à l’heure où les gens allaient travailler et ni à l’heure où ils rentraient tous chez eux. Le place de stationnement payé, Nikolaus se dirigea vers l’endroit en question, ouvrant la porte à la demoiselle. Mélange entre gentillesse et ce fait qu’il n’avait pas la moindre idée de comment ça fonctionnait, faute de ne jamais avoir prit le temps de visiter un pareil endroit. Ellen non plus d’ailleurs mais, c’était son idée après tout. Je paye, mais tu t’arrange pour le reste. C’était un compromis à ses yeux.
electric bird.
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Ellen C. Rodriguez
Sam 9 Mai - 11:02
Let’s do bungee Nikolaus & Ellen
Elle peut rire, elle n’a pas honte et ce sent bien avec son chef. C’est sans doutes étrange comme situation mais ça lui fait du bien. Et elle ne doute pas que ça sera une journée encore mieux, ils sont sur le point de partir, de quitter le bureau parce qu’ils ne supportent plus d’être enfermés, l’un comme l’autre. Un cabaret, c’est l’idée un peu con qu’ils ont. Un peu con mais qui pourrait être amusante, il faut bien le reconnaître alors une fois dans la voiture, quand il lui demande par où commencer, elle a l’idée simple que Broadway serait sans doutes un bon départ pour trouver un truc non seulement intéressant mais aussi qui soit ouvert à une telle heure. Ils n’ont plus qu’à y aller maintenant même si elle garde une question en tête, une question qui passe en boucle. Pourquoi elle alors qu’il aurait sans doutes pu demander à n’importe qui d’autre ? « Des adultes responsables ? Mais qu’est-ce qu’ils peuvent bien faire avec toi alors ? » Elle a un sourire sur les lèvres quand elle dit ça, elle plaisante évidemment et il le saura bien, il la connaît après tout. Elle sait qu’il est responsable, elle n’en doute pas mais quand elle se retrouve dans cette situation, comme aujourd’hui elle se permet de douter quelques instants. Elle l’écoute, elle entend ce qu’il lui dit et ça la fait sourire parce qu’elle y voit une forme de compliment en quelque sorte. Elle n’est pas juste une employée, elle est une amie. « Et puis avoue, tu ne peux pas résister à mon sourire et à ce regard. » Un regard tendre qu’elle lui adresse sans aucune honte, juste pour prouver ses dires, juste pour lui montrer qu’elle a raison et qu’elle n’a absolument pas honte de se servir parfois de sa gueule d’ange pour avoir ce qu’elle désire. « Merci en tout cas de m’avoir sortie de là et de me permettre de passer une telle journée. » Elle va découvrir quelque chose de nouveau en sa compagnie, sans trop savoir ce qui l’attend finalement mais c’est ce qui rend les choses encore plus intéressantes. L’inconnu, c’est pas souvent qu’elle peut se jeter là-dedans mais elle apprécie l’idée. Comme ce compromis qu’il lui propose quand ils entrent finalement dans un établissement. Il paye et elle fait le reste, ça ne devrait pas être trop compliqué. « Laisse moi donc user de mon charme. » Elle lâche un petit rire à ses propos avant de s’avancer vers quelqu’un qui se trouve derrière le bar. Elle ne sait pas exactement comment les choses se passent ici, elle va bien finir par le savoir. Elle demande des renseignements, explique un peu la situation et finit par désigner son patron rester un peu en retrait pour qu’il comprenne qu’ils sont deux, qu’ils peuvent dépenser un peu d’argent si on leur accepte cette petite faveur. C’est le jour, c’est fermé, ce qu’elle demande, c’est une faveur. Un sourire un peu trop grand de la part de la jeune femme, un regard tendre, presque trop innocent jusqu’à ce qu’elle finisse par obtenir ce qu’elle désire et qu’elle puisse retourner vers Niko, fière d’elle. « On nous laisse deux heures. Normalement, ils ne font pas ça, ils sont fermés mais ils veulent bien faire une exception… si on paye un petit supplément, ça te va ? » C’est lui qui paye après tout, elle a juste essayé de négocier, elle a juste fait en sorte qu’on accepte qu’ils restent et qu’ils passent cette journée dont ils ont tous les deux besoin.